Rise for climate belgium

OA - Liste

Documentation

Pour voir les références d’un(e) auteur(e), cliquez sur son nom. Pour revenir à la page, utilisez le bouton refresh ci-dessous.

Cela fonctionne également avec les mot-clés de chaque référence.

espace50x10

filtre:
mines ressources minières

2025

Ça chauffe pas mal sous les maillots de camouflage ces derniers mois et années : Ukraine, Moyen-Orient, Taiwan, Pakistan, RDC, Darfour… Dès lors, dans les salons de l’armement, ça va Bourget, car les dépenses gonflent telles des bulles spéculatives pour soutenir l’industrie de la guerre. Comment l’exploitation mondialisée des ressources (énergétiques ou non) influencent les relations avec son prochain mais également les objectifs du service militaire : à quoi sert-il ? Qui dessert-il ce … service ?
Téléphones, voitures électriques ou autres robots à batterie… le monde a de plus en plus besoin de matières premières dites "critiques". Si l'Union européenne importe aujourd’hui ces métaux rares, elle mise dans le futur en partie sur l’extraction. Où se trouvent ces matières premières en Belgique ? Plongée dans le sous-sol de notre plat pays.
La Wallonie doit creuser de nouvelles mines dans son sous-sol, à la recherche de terres rares. Pour le président du MR Georges-Louis Bouchez, c'est la seule façon de réduire notre dépendance à la Chine.
Depuis le début de la guerre en Ukraine, les combats ont souvent été décrits en termes de villes assiégées, de lignes de front mouvantes et de frappes stratégiques. Mais un autre front, moins visible, est en train de se dessiner : celui des ressources critiques. Et parmi elles, le lithium, surnommé « l’or blanc » de notre époque, attire toutes les convoitises. Récemment, les forces russes ont pris le contrôle d’un gisement de lithium majeur situé près du village de Shevchenko, dans la région de Donetsk, à l’est de l’Ukraine. Ce site, encore peu connu du grand public, recèle pourtant l’une des plus grandes réserves de lithium d’Europe, sur une surface de plus de 40 hectares.
Elle ressemble à la kryptonite de Superman. Mais au lieu de priver un super-héros de ses pouvoirs, cette roche bien réelle pourrait alimenter les batteries de millions de voitures électriques à travers l’Europe. Son nom : jadarite. Ce minéral blanc et discret, découvert en Serbie, fascine les scientifiques autant qu’il excite les géologues industriels. Car derrière sa composition chimique unique se cache peut-être l’un des secrets les mieux gardés de la transition énergétique verte.
Une étude scientifique souligne la présence de cachalots dans une zone marine où les États-Unis veulent extraire des métaux rares. De quoi rappeler la nécessité d'approfondir les connaissances scientifiques sur l'impact de l'exploitation minière en eaux profondes, souligne Greenpeace.
Comprendre comment la bataille pour les ressources façonne les conflits, les alliances et nos futurs. Écologie ou puissance : faut-il choisir ?
Dans un contexte de tensions sur l’approvisionnement en ressources minières stratégiques, le marché international des terres rares est en pleine recomposition. D’anciens leaders, comme les États-Unis, reviennent en force, tandis que des nouveaux venus tentent de gagner leur place. Leur ambition ? Concurrencer la Chine, qui en détient le monopole actuel.
La question revient régulièrement : doit-on ouvrir de nouvelles mines en Wallonie pour participer à la transition énergétique et numérique ? La plupart des acteurs académiques et politiques s’accordent sur des arguments semblables : “oui, nous devons prendre notre part, l’Union européenne a fixé le cap, il en va de notre autonomie vis-à-vis de la Chine”. Et d’aucuns d’ajouter : “ce n’est pas juste de faire subir à des populations du Sud les pollutions de notre modèle de consommation”.
Peut-on vraiment parler de transition énergétique quand, en réalité, matières et énergies croissent ensemble sans se succéder ? L'historien de l'environnement Jean-Baptiste Fressoz inaugurera les conférences du programme STRIVE, coordonné par le Centre de compétences en durabilité.
Les négociateurs américains et chinois se sont entendus à Londres, les 9 et 10 juin, sur un accord aux contours encore flous. Trump affirme que Pékin va reprendre les exportations de terres rares, et promet de rouvrir les universités américaines aux étudiants chinois en échange.
"La voie du tout-technologique est une impasse. Ses implications “extractivistes” finiront par nous rattraper collectivement." Philippe Bihouix Fascinés, nous assistons aux progrès technologiques qui s’enchaînent dans tous les domaines. Notre rapport à la "tech" a collectivement adopté tous les codes d’une religion messianique, mêlant légère crainte de l’avenir – ainsi des conséquences de l’intelligence artificielle – et promesse d’un monde meilleur, où l’abondance matérielle régnera et où le climat et la planète pourront être '"réparés". Mais avons-nous les moyens matériels des innovations à venir, les ressources pour nourrir cette future croissance "verte" ? Rien n’est moins sûr. Quelle autre voie suivre que celle promise par les techno-illusionnistes ?
La conférence de l'ONU sur les océans s'est ouverte lundi à Nice par des appels à la mobilisation et au multilatéralisme pour éviter le chacun-pour-soi dans les eaux internationales, avec en filigrane une dénonciation de la politique unilatérale du président américain Donald Trump, absent du sommet.
Exploiter les métaux rares présents sur les planchers océaniques, au risque d’abîmer des écosystèmes encore méconnus : ce dilemme qui travaille la communauté internationale sera au centre des discussions de la Conférence des Nations unies qui s’ouvre à Nice le 9 juin.
Nécessaires pour la production automobile mais aussi dans la défense ou l’électro-ménager, les aimants en terres rares commencent à manquer dans les usines, un peu partout dans le monde, après les restrictions d’exportation de la Chine, qui en a le monopole.
Le gouvernement américain a abrogé lundi 1er juin les protections dont jouissait la Réserve nationale pétrolière d’Alaska, un écrin de biodiversité. L’industrie pétrolière s’en est félicitée.
A une semaine du sommet de l’ONU sur les océans, la ministre de la Transition écologique a écrit à ses homologues pour les inviter à faire pression sur deux compagnies d’extraction minière, The Metals Company et Allseas, qui veulent s’allier avec les Etats-Unis de Donald Trump.
Bokum, membre d'une des dernières tribus de chasseurs-cueilleurs d'Indonésie, presque totalement isolée du monde moderne, se désespère: sa forêt vierge, stupéfiante de beauté sur une île des Moluques, est riche en nickel. Et abrite depuis six ans la plus grande mine de ce métal au monde, exploitée par des groupes chinois et français.Au milieu d'une nature à couper le souffle, les machines abattent et creusent, et la mine s'étend pour répondre à la demande phénoménale de nickel, principalement pour fabriquer de l'acier inoxydable, et indispensable à la plupart des batteries des véhicules électriques. Pas moins de 17% du nickel mondial vient de cette seule mine, selon son site en 2023. L'Indonésie en est de très loin le premier producteur.
Critical minerals, which are essential for a range of energy technologies and for the broader economy, have become a major focus in global policy and trade discussions. Price volatility, supply chain bottlenecks and geopolitical concerns make the regular monitoring of their supply and demand extremely vital.
Chanee, activiste écologiste franco-indonésien, dénonce les conséquences désastreuses de l’extraction du nickel et du charbon en Indonésie, au moment où Emmanuel Macron arrive pour une visite d’État
Une société minière australienne a annoncé la semaine dernière avoir produit des terres rares lourdes pour la première fois hors de Chine, une étape clé pour la diversification d'une chaîne d'approvisionnement cruciale pour de nombreux secteurs. L'annonce de l'entreprise Lynas Rare Earths révèle également les difficultés à trouver de nouveaux fournisseurs de ces matériaux devenus indispensables aux industries de l'électronique, des énergies renouvelables ou de l'armement. Que sont les terres rares?
La compagnie publique chilienne Enami a annoncé jeudi un partenariat avec le géant minier anglo-australien Rio Tinto pour exploiter le lithium dans le nord du Chili, où les salars présentent des concentrations particulièrement élevées de ce métal stratégique. Il s'agit du deuxième projet de ce type conclu par Rio Tinto au Chili, après l'annonce lundi d'un partenariat avec l'entreprise publique Codelco.
Dans cet épisode, on parle des ressources et de leur extraction. Le nickel, le cuivre, le lithium... Comment en extraire suffisamment pour nos besoins, tout en respectant les limites planétaires ? Analyse avec Philippe Bihouix, ingénieur spécialisé en ressources minérales, et auteur.
L'entreprise publique chilienne Codelco a annoncé lundi un partenariat avec le géant minier anglo-australien Rio Tinto pour exploiter le lithium du salar de Maricunga, dans le nord du Chili, deuxième gisement mondial en concentration de ce métal clé pour la transition énergétique.
Pour l’ingénieur Philippe Bihouix et la docteure en énergétique Yamina Saheb, les tensions géopolitiques sur les matières premières auraient été là même sans la transition énergétique. D’où la nécessité de mobiliser collectivement citoyens, entreprises, et institutions et sortir des logiques néolibérales.
Dans un contexte de tensions internationales sur l’approvisionnement en ressources minérales stratégiques, la France a lancé la mise à jour de son inventaire national. Celui qui a été réalisé entre 1975 et 1995 se focalisait sur les métaux d’alliages essentiellement et donc ne couvre pas forcément et systématiquement les substances critiques du moment, telles que le lithium, le gallium ou le germanium.
Face aux tensions qui pèsent sur l’approvisionnement en métaux critiques, la France et l’Union européenne songent à relancer l’industrie minière. Mais reste à savoir si ce renouveau minier est compatible avec la protection de la nature. Un projet de recherche entend fournir au législateur les outils pour répondre à cette question.
En proposant son titane ou son aluminium à la France, l'Arabie saoudite espère trouver des "opportunités" pour développer sa propre industrie, notamment aéronautique, face au contexte géopolitique mondial bousculé par la guerre en Ukraine et la guerre commerciale lancée par le gouvernement Trump.
Le Parlement ukrainien va examiner jeudi la ratification de l'accord avec les États-Unis sur l'exploitation des ressources naturelles du pays, signé après des semaines de négociations houleuses, a annoncé la ministre de l'Economie qui espère un vote positif. Ce document concerne l'extraction de minerais, de pétrole et de gaz en Ukraine, qui fait face depuis trois ans à une invasion russe. S'il ne comporte pas de garanties de sécurité pour Kiev, l'Ukraine espère qu'il pourra ouvrir la voie à l'octroi d'une nouvelle aide militaire américaine.
Le Parlement ukrainien a ratifié jeudi l'accord "historique" avec les États-Unis sur l'exploitation des ressources naturelles du pays, signé après des semaines de négociations houleuses, a annoncé la ministre ukrainienne de l'Économie.
Le président américain Donald Trump a renouvelé sa menace d'annexer le Groenland par la force militaire si nécessaire, selon des propos tenus dimanche sur la chaîne américaine NBC. Les États-Unis ont "très besoin" de la grande île arctique pour la sécurité nationale, selon le républicain.
Si l'accord américano-ukrainien sur l'exploitation des ressources naturelles est salué par les deux Etats, il n'offre aucune garantie précise de sécurité à Kiev par Washington qui cherche à réduire son aide militaire à ce pays ravagé par la guerre déclenchée par Moscou. Ce règlement, qualifié par Kiev de "véritablement équitable" et de "gagnant-gagnant" par Washington, est l'aboutissement de semaines de pressions et de tractations à la suite de la spectaculaire altercation du 28 février dans le Bureau ovale entre les présidents Donald Trump et Volodymyr Zelensky.
Alors que l'Autorité internationale des fonds marins (AIFM) a pris du retard sur l'adoption d'un code minier, Donald Trump et le Canadien The Metals Company se sont engouffrés dans la brèche pour lancer la toute première exploitation commerciale minière en fonds marins, au détriment des impacts environnementaux.
Les États-Unis de Donald Trump et l'Ukraine ont signé mercredi à Washington un vaste accord économique mettant en place un fonds d'investissement dans la reconstruction de ce pays ravagé par la guerre et donnant aux Américains un accès aux ressources naturelles ukrainiennes. Cet accord intervient en parallèle à de multiples tractations diplomatiques en cours pour trouver une issue au conflit, trois ans après son déclenchement par la Russie.
L’Ukraine et les États-Unis ont ratifié mercredi 30 avril un accord pour la création d’un «fonds d’investissement» pour reconstruire le pays ravagé par la guerre. Il donne aux Américains un accès aux ressources ukrainiennes.
Comment fonctionne l'accord ? Les deux Etats doivent mettre en place un fonds d'investissement à parts égales pour la reconstruction de l'Ukraine et qui devrait donner aux Etats-Unis un accès à ses ressources naturelles: minerais, terres rares, gaz, pétrole. D'après la ministre ukrainienne de l'Economie, Ioulia Svyrydenko, il s'agira de financer des "projets d'extraction" de ces ressources naturelles, dont Kiev "conservera l'entière propriété et le contrôle". Les bénéfices dégagés par le fonds seront réinvestis en Ukraine, laquelle n'aura "aucune dette" à rembourser pour l'aide américaine fournie depuis 2022. Il s'agira de financer uniquement des projets d'extractions et d'infrastructures minières, pétrolières et gazières en Ukraine pour les dix prochaines années.
Alors que la société canadienne The Metals Company et les Etats-Unis s’allient en vue d’extraire des minerais des grands fonds océaniques, les experts avertissent sur les quantités exploitables limitées, le coût et les risques de la production.
Le gouvernement chinois a instauré un contrôle sur l’exportation de sept métaux stratégiques, sur lesquels Pékin dispose d’un quasi-monopole dans la chaîne d’approvisionnement.
Jeudi dernier, le président américain a annoncé lancer l’extraction à grande échelle des métaux présents dans les profondeurs de l’océan, y compris dans les eaux internationales. Une première mondiale qui chamboule le droit de la mer et relance le bras de fer diplomatique sur la préservation de ces écosystèmes uniques au monde.
Figure de la lutte internationale pour la défense des océans, Anne-Sophie Roux revient pour Vert sur le décret signé jeudi dernier par Donald Trump visant à lancer l’exploitation commerciale des fonds marins dans les eaux internationales.




propulsed by