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2025
Après l’accord à Gaza, le président américain pourrait reporter son attention sur le conflit avec la Russie. Au menu des discussions à venir avec son homologue ukrainien : défense anti-aérienne et missiles longue portée.
Le président du comité Nobel a donné sa version des faits, tandis que la Maison Blanche a également commenté cette décision.
Le directeur du Budget de la Maison Blanche, Russ Vought, a annoncé vendredi sur X que les "réductions d'effectifs avaient commencé" pour les fonctionnaires fédéraux alors que les Etats-Unis sont en situation de paralysie budgétaire.
Les capacités additionnelles de production d’électricité renouvelable devraient dépasser les 740 gigawatts en 2025, un nouveau record, selon le rapport publié par l’institution mardi 7 octobre. Une croissance essentiellement tirée par la Chine.
Face à la destruction imbécile et délibérée de notre monde par une clique d’industriels décérébrés, pourquoi avons-nous tant de scrupules à nous mettre en colère, à nommer les coupables et à les mettre hors d’état de nuire ? Pourquoi sommes-nous aussi nuls ? Parce que la colère, c’est mal ? Non, ça, c’est ce qu’on nous a enseigné pour nous rendre dociles et anxieux. Et ça a marché ! Nous avons été amputés d’une émotion vitale, la seule qui pourrait encore nous sauver aujourd’hui, la seule qui ait jamais fait trembler les puissants : la colère. Est-elle réellement aussi mauvaise qu’on le dit ? Est-elle forcément synonyme de violence ? Qui a intérêt à nous faire croire cela ? Le moment n’est-il pas venu de la réhabiliter ? de l’organiser ? d’investir nos colères individuelles dans de grandes “banques de colère” ? Il ne tient qu’aux femmes et aux hommes de bonne volonté de s’emparer de la seule émotion qui puisse changer le monde. Les brutes qui nous assassinent, elles, n’hésitent pas.
Face à la destruction imbécile et délibérée de notre monde par une clique d’industriels décérébrés, pourquoi avons-nous tant de scrupules à nous mettre en colère, à nommer les coupables et à les mettre hors d’état de nuire ? Pourquoi sommes-nous aussi nuls ? Parce que la colère, c’est mal ? Non, ça, c’est ce qu’on nous a enseigné pour nous rendre dociles et anxieux. Et ça a marché ! Nous avons été amputés d’une émotion vitale, la seule qui pourrait encore nous sauver aujourd’hui, la seule qui ait jamais fait trembler les puissants : la colère. Est-elle réellement aussi mauvaise qu’on le dit ? Est-elle forcément synonyme de violence ? Qui a intérêt à nous faire croire cela ? Le moment n’est-il pas venu de la réhabiliter ? de l’organiser ? d’investir nos colères individuelles dans de grandes “banques de colère” ? Il ne tient qu’aux femmes et aux hommes de bonne volonté de s’emparer de la seule émotion qui puisse changer le monde. Les brutes qui nous assassinent, elles, n’hésitent pas.
Alors que le nombre de touristes a connu une progression fulgurante depuis dix ans, le continent immaculé, qui suscite un intérêt croissant parmi les chercheurs, se dégrade peu à peu.
Alors que l'Ukraine continue de lutter, elle fait face à une nouvelle menace : le blanchiment d'argent via les cryptomonnaies. Exploité par des réseaux criminels, ce phénomène coûte des millions au pays.
Selon « Politico », « l’approche en solitaire » de cet homme d’affaires devenu émissaire spécial diplomatique du président américain « a mené de manière répétée à des erreurs avec la Russie ».
Entre sa future salle de bal à la Maison Blanche et ses projets d'embellissement de la ville de Washington, Donald Trump, qui se rêve en président-bâtisseur, a lancé des chantiers d'une envergure inédite.
Le 15 août, Donald Trump a rencontré Vladimir Poutine. Le 18, il a reçu Volodymyr Zelensky ainsi que la présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen, le secrétaire général de l’Otan Mark Rutte et plusieurs dirigeants européens (Emmanuel Macron, Friedrich Merz, Keir Starmer, Giorgia Meloni et Alexander Stubb). Ces échanges ont donné lieu à de nombreuses images marquantes et à quelques déclarations d’intention, mais une paix durable paraît toujours une perspective très lointaine.
Que retirer de la rencontre cruciale lundi à Washington entre le président américain Donald Trump et son homologue ukrainien Volodymyr Zelensky, avec l’appui de sept dirigeants européens représentant les nations comme la France et la Grande-Bretagne, ainsi que l’Union européenne et l’OTAN ? Réponse en 5 points.
"Cette guerre va se terminer", a dit Donald Trump lundi en recevant Volodymyr Zelensky et plusieurs dirigeants européens, qui ont affiché leur volonté de travailler ensemble à la paix et à la sécurité future de l'Ukraine.
Plusieurs dirigeants européens accompagneront le président ukrainien ce lundi à Washington, où une rencontre avec Donald Trump est prévue, trois jours après le sommet avec Vladimir Poutine.
Deux satellites climatologiques parmi les plus performants de la NASA sont en sursis. Les deux satellites visées (OCO-2 et OCO-3) sont bien plus que des instruments scientifiques. Elles servent à cartographier en temps réel les concentrations de dioxyde de carbone (CO₂) dans l’atmosphère terrestre, tout en mesurant la photosynthèse à l’échelle globale.
Entre août 2024 et mai 2025, l’Institut australien des sciences marines a rapporté le blanchissement « le plus étendu » provoqué par des températures océaniques étouffantes en 2024 qui ont engendré « des niveaux de stress thermique sans précédent » depuis les premiers relevés, il y a près de quarante ans.
Près de Gourdon (Lot), les abattages massifs d’arbres s’intensifient depuis trois ans. Ces coupes, bien que légales, heurtent les habitants, promeneurs et autres chasseurs… qui dénoncent une déforestation abusive. Vert s’est rendu sur place pour mieux comprendre.
Dans une note, l’Office antistupéfiants alerte sur l’emprise grandissante du trafic de drogue en France, l’un des pays européens les plus concernés par le phénomène, alimenté par des groupes criminels toujours plus puissants et influents.
L’écologie peut-elle être un outil de libération ? Dans ce talk percutant et engagé, Fatima Ouassak démonte les récits dominants d’une écologie blanche, urbaine, bourgeoise, déconnectée des enjeux des quartiers populaires et des héritages coloniaux. À travers son livre Terre et liberté et son engagement militant, elle relie climat, antiracisme, féminisme et justice sociale. Elle évoque la colonisation, l’école discriminatoire, la liberté de circuler comme droit fondamental, et la nécessité d’une écologie pirate, radicale, ancrée dans la réalité des luttes. Un échange essentiel pour repolitiser l’écologie et en faire une arme pour les oubliés de l'écologie.
L'administration du président américain Donald Trump ne gouverne plus, elle "occupe" le pays au service de l'industrie des énergies fossiles, tonne un influent sénateur démocrate. Sheldon Whitehouse, l'un des élus américains les plus engagés sur les questions climatiques, tire la sonnette d'alarme dans un entretien sur la toute-puissance du lobby de l'or noir à Washington. "Il ne s'agit même plus d'un gouvernement", fustige devant la presse l'élu du Rhode Island, âgé de 69 ans. "C'est une force d'occupation de l'industrie des combustibles fossiles qui s'est infiltrée dans les postes-clés".