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2025
This article examines the technocentric bias that characterizes climate mitigation literature, focusing on the reports of the IPCC's Working Group III. This bias stems from structural features of the scientific field that prioritizes innovation, leading to the overrepresentation of technological solutions in climate research. Funding mechanisms further reinforce this tendency by incentivizing collaboration with industrial R&D, creating a self-reinforcing loop in which scientific authority and industrial interests converge. The IPCC's institutional positioning—as a policy-relevant yet politically cautious body—amplifies this dynamic by favoring allegedly “cost-effective” technological pathways that lack practical feasibility.
Un nouvel implant cérébral permet de traduire les pensées intérieures en paroles, mais ne fonctionne que si l’utilisateur pense à un mot de passe prédéfini. Ce dispositif garantit que le système ne traduise pas accidentellement des phrases que les utilisateurs préfèreraient garder pour eux. Il offrirait ainsi aux patients la possibilité de s’exprimer plus aisément, sans nécessairement s’efforcer de parler, tout en préservant la confidentialité de leurs pensées – une première dans le domaine des implants cérébraux.
Elle n’avait pas pu écrire son propre nom depuis deux décennies. Audrey Crews, aujourd’hui quadragénaire, vient pourtant de le faire à nouveau — non pas avec sa main, mais uniquement par la pensée. Cette prouesse, rendue possible par un implant cérébral développé par Neuralink, incarne l’émergence concrète d’une nouvelle ère : celle de la fusion entre le cerveau humain et la machine.
Dans les laboratoires de Northrop Grumman au Maryland, un moteur-fusée vient de rugir pour la troisième fois lors d’un test décisif. Mais cette flamme n’éclaire pas seulement un banc d’essai terrestre : elle annonce une révolution spatiale sans précédent. Car ce propulseur est destiné à accomplir ce que l’humanité n’a jamais tenté : lancer une fusée orbitale depuis la surface d’une autre planète.
Le smartphone ne peut pas installer le dernier jeu tendance, le pantalon taille-haute est démodé en 3 postes sur Instagram, un ordinateur qui prend 20 ans en une mise à jour, une nouvelle machine à café avec maintenant 25% plus de goût rend l’ancienne obsolète, le lave-vaisselle est en panne et irréparable 17 secondes et 22 centièmes après la fin de la garantie ? Ne cherchez plus, c’est tout trouvé !
Pendant vingt ans, elle est restée dans le domaine de la théorie pure. Aujourd’hui, cette technique mystérieuse aux allures de science-fiction vient de franchir une étape décisive qui pourrait bien changer la face de l’informatique mondiale. La « distillation d’états magiques » n’est plus un rêve de physicien : elle est devenue réalité dans les laboratoires de QuEra.
Microsoft a notamment franchi jeudi pour la première fois les 4 000 milliards de dollars de capitalisation boursière. C’est la deuxième entreprise à dépasser ce seuil symbolique après le leader des puces IA, Nvidia.
Récemment, un article publié par une agence de presse a récemment affirmé que OpenAI allait bientôt faire une annonce importante. La société à l’origine de ChatGPT pourrait prochainement lancer son propre navigateur Internet et ainsi, concurrencer celui de Google. Pourquoi une telle initiative ?
Ils ont tous connu des réussites hors normes dans la tech. Une vingtaine de milliardaires de la Silicon Valley ont la conviction que la démocratie a vécu et entendent prêter main-forte à Donald Trump. Plongée parmi les « tech bros ».
Skydweller Aero et Thales ont renforcé les capacités du Skydweller — un drone de surveillance maritime alimenté à l’énergie solaire, capable de voler durant 90 jours d’affilée — en l’équipant d’un radar de nouvelle génération, dopé à l’IA. Doté d’une portée de 200 kilomètres, ce capteur sophistiqué est en mesure de suivre simultanément des milliers d’objets, qu’ils évoluent dans les airs ou à la surface de l’eau, conférant un avantage opérationnel notable.
Comment démonter le mythe de la croissance infinie défendue entre autres par des géants de la Silicon Valley tel Elon Musk ou Jeff Bezos ? Comment mieux utiliser les ressources terrestres ? Afin de comprendre les enjeux vitaux qui nous talonnent, la BD "Ressources. Un défi pour l’humanité" apporte un éclairage pertinent pour nous inviter à penser et agir autrement. Son coauteur, Philippe Bihouix, ingénieur français promoteur des low-tech, était l’invité de Tendances Première.
Alors que la miniaturisation des technologies est de plus en plus effective, la Chine vient de dévoiler un drone aussi petit qu’un moustique. Il s’agit ici d’un nanodrone arborant des ailes et des pattes, dont les missions seront relatives à l’espionnage et la reconnaissance tactique.
Des chercheurs chinois ont transformé des abeilles en cyborgs grâce au plus léger contrôleur cérébral jamais conçu. Le dispositif envoie des impulsions dans le cerveau de l’insecte pour guider ses mouvements, avec un taux de succès de neuf commandes sur dix lors des tests. L’objectif serait d’exploiter l’endurance et la flexibilité naturelles des abeilles pour des opérations de reconnaissance militaires ou de secours en zones à risque.
Donald Trump se rend mardi en Pennsylvanie, Etat industriel de l'est des Etats-Unis, pour annoncer des investissements d'entreprises privées dans l'énergie et les infrastructures, au moment où le secteur de la tech est confronté aux besoins toujours croissants en électricité de l'intelligence artificielle. Le président américain fera cette annonce lors du premier Sommet sur l'énergie et l'innovation de Pennsylvanie à l'université Carnegie Mellon de Pittsburgh. Le secteur des technologies s'est jeté à corps perdu dans le développement de l'IA générative, mais craint que les besoins massifs en électricité ne puissent être satisfaits par l'infrastructure existante, en particulier aux Etats-Unis.
Imaginez une arme capable de paralyser une ville entière sans faire exploser le moindre bâtiment, sans tirer une balle, sans faire de victimes directes. Une frappe silencieuse qui plongerait instantanément les infrastructures dans le noir, désactivant radars, communications, et lignes de défense. Ce n’est plus de la science-fiction : la Chine vient de dévoiler ce qui pourrait bien être la prochaine évolution de la guerre moderne.
Nous sommes à un moment unique de l’histoire. L’année 2025 pourrait bien être retenue par les générations futures comme un point de bascule entre deux époques radicalement différentes. D’un côté, un 20e siècle qui s’achève, marqué par des systèmes politiques, économiques et énergétiques rigides qui ont façonné notre monde pendant près d’un siècle. De l’autre, un 21e siècle naissant, porté par des technologies révolutionnaires qui promettent de redessiner notre manière de vivre, de travailler, et même de penser.
Et si une simple fenêtre pouvait extraire de l’eau potable de l’air, même dans les endroits les plus secs du monde ? C’est l’exploit que viennent de réaliser des chercheurs du MIT avec un dispositif révolutionnaire : un panneau vertical de haute technologie capable de collecter de l’eau directement dans l’atmosphère, sans électricité, et ce, même dans la Vallée de la Mort, le désert le plus chaud et le plus sec d’Amérique du Nord.
L’informatique quantique, longtemps cantonnée aux laboratoires et aux démonstrations théoriques, se rapproche chaque jour un peu plus de nos usages quotidiens. Une avancée récente, réalisée par une équipe de chercheurs de l’Université de Sydney, pourrait bien marquer un tournant majeur dans cette course technologique. Ils ont en effet conçu une puce électronique capable de fonctionner à seulement quelques millièmes de degré au-dessus du zéro absolu, au plus proche des qubits, ces briques élémentaires de l’ordinateur quantique. Cette prouesse ouvre la voie à la fabrication d’ordinateurs quantiques beaucoup plus stables, accessibles et économes en énergie.
Nvidia, le géant de l'intelligence artificielle, devient la première entreprise de l’histoire à franchir le seuil symbolique des 4 000 milliards de dollars de capitalisation boursière. Une ascension fulgurante qui alimente les craintes d’un déséquilibre systémique, voire d’un futur krach financier, dans un marché dominé par les "Magnificent seven", ces géants de la tech hypervalorisés.
A un peu plus d'une heure de la Silicon Valley, un robot à roulettes équipé d'un panneau solaire fait la chasse aux mauvaises herbes dans un champ de coton californien.Guidé par des caméras et de l'analyse en temps réel grâce à l'intelligence artificielle (IA), Element, son nom, repère les végétaux indésirables.