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2024

La fonte des calottes glaciaires est probablement largement sous-estimée, affirme une étude publiée ce mardi 25 juin dans la revue Nature Geoscience. Car l’eau de mer s’infiltre sous les glaces terrestres, accélérant leur disparition.
Ce 19 mars, l’organisme dépendant des Nations unies publie son panorama annuel sur l’état du climat. Des données inédites révèlent que la température moyenne de la Terre s’est hissée 1,45°C au-dessus de celle de l’ère préindustrielle.

2023

La fonte des glaces de l'Antarctique occidental devrait s'accélérer considérablement au cours des prochaines décennies et pourrait augmenter le niveau des mers, même si le monde respecte ses engagements pour limiter le réchauffement climatique, selon une étude publiée lundi 23 octobre.
La fonte qui glace. Le processus de fonte de l’Antarctique ne peut pas être inversé et contribuera à la hausse du niveau des océans, même en limitant le réchauffement climatique, alerte une nouvelle étude.
Selon une étude parue dans la revue Nature Climate Change, rien n’empêchera la fonte glaciaire du pôle Sud. Un processus qui ne pourra plus être inversé, même en respectant la limite de 1,5 degré de l'Accord de Paris.
L’Antarctique n’en finit pas de s’amenuiser. Dans une étude publiée le 12 octobre dans la revue Science Advances, une équipe de chercheurs montre que plus de 40 % des plateformes de glace du continent blanc (c’est-à-dire les langues de glace situées à l’extrémité des glaciers et flottant sur l’océan) ont perdu en volume entre 1997 et 2021. 7 500 milliards de tonnes d’eau douce ont été relâchées dans l’océan via ce biais, selon les estimations des scientifiques.
L’étendue maximale atteinte cette année est de 1,03 million de kilomètres carrés inférieure à la plus faible précédemment enregistrée, soit près de deux fois la superficie de la France.
En danger, mais pas encore condamnés. Selon une vaste étude, les glaciers de l’Antarctique pourraient encore être sauvés de l’effondrement, à condition de ralentir drastiquement le réchauffement climatique.
L’océan Austral, sorte de « ceinture » qui protégeait l’Antarctique de la fonte des glaces, ne suffit plus. Le pôle Sud est désormais en proie à « des conditions extrêmes » qui provoquent des réactions en chaîne pour l’ensemble de la planète.
Le ralentissement des courants océaniques profonds, causé par la fonte des glaces de l’Antarctique, est plus rapide que prévu. Voici le résultat d’une étude dévoilée le 25 mai dans la revue Nature. Jusqu’alors, les scientifiques estimaient que cette circulation ne ralentirait de 40 % que d’ici à 2050. Or, les derniers résultats, basés sur des mesures de terrain dans le bassin antarctique australien, couplées à un volet de modélisation informatique, sont plus alarmants que prévu : le processus a en fait déjà ralenti de 30 % entre les années 1990 et 2010.
Selon une étude parue dans « Nature Climate Change », le ralentissement des courants océaniques profonds se produit « en avance sur le calendrier », menaçant la vie marine et risquant d’accélérer le réchauffement climatique.
En 2022, la glace de mer de l’Antarctique a atteint son niveau le plus bas jamais enregistré et la fonte de certains glaciers européens a largement dépassé les records.
L’Antarctique est une victime directe du réchauffement actuel. Le glacier Thwaites (situé dans la Terre Marie Byrd), surnommé le glacier de l’Apocalypse, fond plus vite que prévu. Suite à l’observation d’un duo de scientifiques et du robot Icefin, les résultats ne sont pas positifs : dans les crevasses du glacier, l’eau salée et l’eau chaude sont présentes. Des signes d’érosion accélérée – avec des conceptions en forme d’escalier inversé – ont aussi récemment été relevées. La conséquence est terrible : la fonte s’en trouve nettement accélérée. Focus sur le continent de glace et ses multiples enjeux.
La fonte rapide des glaces de l’Antarctique risque de ralentir considérablement les courants d’eau profonde dans les océans, avec des conséquences catastrophiques pour les écosystèmes et le système climatique, selon une étude parue le 29 mars dans la revue Nature. Les courants océaniques jouent un rôle majeur pour notre planète. Au niveau de l’Antarctique, de milliards de litres d’eau froide, très salée et riche en oxygène, coulent chaque année vers les profondeurs de l’océan, avant de circuler vers les (...)
Des scientifiques ont modélisé l’impact de la fonte des glaciers en Antarctique dans une étude récente.
La fonte rapide des glaces de l'Antarctique menace de ralentir considérablement les courants d'eau profonde dans les océans, limitant la diffusion de l'eau douce, de l'oxygène et des nutriments pour plusieurs siècles, selon une étude parue dans la revue Nature.
Malgré les modèles déjà pessimistes du Giec, l’océan se réchauffe plus rapidement que les scientifiques ne le pensaient, selon deux études parues ce mardi. Les conséquences pourraient être terribles pour la planète, selon la climatologue Céline Heuzé.
Les nouvelles ne sont pas bonnes sur le plan climatique.
Le glacier Thwaites est l'un des plus gros blocs de glace en Antarctique. Il est particulièrement sensible aux changements climatiques et son effondrement contribuerait significativement à l'élévation du niveau de la mer. Des scientifiques révèlent que sa fonte est moins importante que prévu sous la banquise, mais beaucoup plus élevée dans des fissures et des crevasses.
Il n'y a jamais eu aussi peu de glace en Antarctique en janvier.
Sous l'effet du réchauffement climatique, le dégel des sols de l'Arctique relâche des pathogènes parfois endormis depuis des dizaines de milliers d'années.
Un virus a été réveillé en laboratoire après 50 000 ans passés dans le permafrost sibérien. Un phénomène qui peut se produire dans la nature suite au réchauffement climatique. Qu’en sait la science ?

2022

Des chercheurs ont découvert un processus jusqu’alors inconnu qui amplifie la fonte des plateformes de glace en Antarctique.
Si elle se poursuit au rythme actuel, la fonte de la banquise arctique risque d’augmenter la fréquence des évènements El Niño de forte intensité. C’est du moins ce qu’avance une étude récemment publiée dans la revue scientifique Nature Communications.
Il y a quelques dizaines d’années, la mer Arctique était couverte de glace. Sa surface s’est maintenant réduite de plus de moitié en été, et l’eau est en contact avec l’air. Ce changement influe sur le climat mondial de plusieurs façons. La perte d’albédo de la glace accélère le réchauffement planétaire. Les eaux se réchauffent et le permafrost fond. L’évaporation accrue de la mer ouverte pourrait par exemple être responsable des chutes de neiges plus abondantes sur l’Europe. Elle semble aussi provoquer un réchauffement du Pacifique tropical.
Les températures extrêmes et la sécheresse enregistrées ces dernières semaines ont également un impact sur la banquise.
La France s'apprête à vivre une vague de chaleur -- une plume de chaleur, disent les experts -- qui s'annonce record. Probablement un effet du réchauffement climatique anthropique. Et à l'autre bout du monde, du côté de l'Antarctique, une autre manifestation de ces changements induits par les Hommes : des glaciers qui fondent comme jamais depuis plusieurs millénaires.
Des géophysiciens américains révèlent pour la première fois l’existence d’un système profond d’eaux souterraines en Antarctique occidentale. Comprendre l’influence de ce gigantesque réservoir sur le comportement de la calotte glaciaire sera essentiel pour prévoir l’évolution du continent blanc dont la glace fond à toute allure.
Un nouveau modèle montre que l’eau de fonte qui s’infiltre sous les glaciers les met en danger d’effondrement soudain dans la mer, un phénomène peu étudié jusqu’ici, qui toucherait les plus épais et les plus rapides d’entre eux.
Un nouveau modèle montre que l’eau de fonte qui s’infiltre sous les glaciers les met en danger d’effondrement soudain dans la mer, un phénomène peu étudié jusqu’ici, qui toucherait les plus épais et les plus rapides d’entre eux
Pour la première fois depuis 1978, l’étendue de glace flottant autour du continent est passée sous la barre des 2 millions de km2. Gerhard Krinner, chercheur au CNRS, détaille les implications d’une telle fonte.
Pour la première fois depuis le début des relevés, en 1978, l’étendue de la glace qui flotte autour du continent blanc est passée sous la barre des 2 millions de km2.
La banquise en Antarctique a fondu comme jamais depuis 44 ans, alerte une étude publiée dans la revue "Advances in Atmospheric Sciences".
La banquise antarctique a atteint à la fin de l’été austral, en février, son niveau le plus bas depuis 44 ans, selon une étude publiée mardi, alors que l’Antarctique semblait jusqu’à présent mieux résister au changement climatique que l’Arctique.
C'est une fonte inédite que subit l'Antarctique. Jusqu'ici plutôt épargnée par le changement climatique contrairement à l'Arctique, la banquise antarctique est passée sous la barre des 2 millions de kilomètres carrés. Un record depuis le début des relevés il y a 44 ans et un signe de l'impact croissant du changement climatique.
Most marine-terminating glaciers in the Northern Hemisphere are shrinking; some have completely left the water.
Des records quotidiens de température ont été battus en Antarctique au mois de mars, signale jeudi Copernicus, le service environnemental de l'Union européenne.
Un grand fragment de banquise s’est détaché mi -mars de l’Antarctique – Est. Jusqu’ici, elle avait été épargnée par la fonte. Le mois de mars a apporté des températures anormalement élevés, de 40 degrés au-dessus des normes antarctiques. Ces températures élevées sont causées par des flux atmosphériques imprévus. Une rivière atmosphérique a piégé la chaleur au dessus de l’Antarctique. La plateforme de glace Conger, qui se réduisait depuis les années 2000, s’est détachée à la mi-mars.
Appelée «Conger», cette plateforme de glace s’est effondrée mi-mars, alors que les températures du pôle Sud atteignaient des records de chaleur. Cette fonte est l’un des évènement les plus significatifs en Antarctique depuis 20 ans.
Le réchauffement climatique est particulièrement alarmant dans l’Arctique, où il est survenu ces dernières décennies à un rythme trois voire quatre fois supérieur au reste de la planète, selon les dernières études scientifiques.
Le glacier Thwaites, surnommé le glacier de l'apocalypse, est particulièrement surveillé depuis des années. Un gros glacier à l'ouest de l'Antarctique situé dans la Terre Marie Byrd. Des spécialistes ont signalé une nouvelle fissure importante détectée récemment.
De nouveaux travaux de modélisation ont montré que si l’évolution actuelle du climat se poursuit jusqu’en 2100, la calotte antarctique pourrait contribuer jusqu’à plus de cinq mètres à l’élévation du niveau des mers les siècles suivants. Ces résultats, qui ne tiennent pas compte de la hausse liée à la fonte de l’inlandsis groenlandais et des glaciers de montagne, ont été publiés dans le Journal of Glaciology.

2021

Dès 1989, la Chine a, pourtant, misé sur la science pour commencer à peser sur la diplomatie de l’Arctique. Elle a créé l’Institut chinois de recherches polaires à Shanghai. Le but affiché : étudier le réchauffement climatique en Arctique. Ce réchauffement climatique change la donne dans la région. La fonte de la banquise permettrait d’offrir une nouvelle route à Pékin pour approvisionner plus rapidement les pays européens de ses marchandises. La Chine s’est, ainsi, dotée d’un brise-glace : le Xue Long.
La fonte de la glace de mer a entraîné une prolifération considérable du phytoplancton sous la glace, attirant les espèces méridionales vers les pôles. Les espèces de poissons des latitudes inférieures se déplacent vers les mers périphériques de l'océan Arctique, déplaçant et supplantant les espèces indigènes. Et les prédateurs tels que les ours polaires, subissent les conséquences de la disparition de la glace.
Selon les chercheurs, la hausse des températures océaniques conduira à l’effondrement des barrières de glace. La fonte de ces glaciers qui se prolongent sur la mer entraînerait une élévation mondiale du niveau de la mer de plusieurs mètres. En plus, l’océan Austral est le principal puits de carbone de la planète : il séquestre plus ou moins 35 % de CO2 en surplus dans l’atmosphère. Mais l’absorption accrue du dioxyde de carbone entraînera l’acidification de l’océan et pourrait perturber les réseaux trophiques.
Le carbone noir, nom donné aux particules polluantes provenant notamment du fioul lourd qui propulse les navires, se retrouve sur la calotte glaciaire de l'Arctique et contribue à l'accélération de sa fonte.
La banquise située sur les côtes de l'Arctique fond jusqu'à deux fois plus vite qu'estimé jusqu'ici, selon une étude, rendue publique vendredi par l'University College London (UCL), aux implications inquiétantes pour le réchauffement climatique.
Une nouvelle étude de modélisation montre l’importance de limiter le réchauffement climatique pour éviter une fonte accélérée des glaces de l’Antarctique.
Une étude parue dans la revue Geophysical Research Letters appelle à une meilleure prise en compte de l’activité biologique au niveau des rivières d’eau de fonte au Groenland. En effet, des mesures de terrain suggèrent qu’une plus grande activité bactérienne s’associe à une fonte accrue en saison chaude.
océan Austral, aussi appelé océan Antarctique, ne ressemble à aucun autre. Les océans du monde entier captent en effet plus de 90 % de la chaleur excédentaire générée par l’utilisation de combustibles fossiles et un tiers des rejets de CO2 qui en résultent.Le cycle annuel de formation et de fonte des glaces de mer autour de l’Antarctique fait partie des phénomènes déterminants pour la planète

2020

Une masse de glace de 113km2 vient de se détacher de la plus grande plate-forme de glace de l’Arctique, située au Groenland. La conséquence directe, estiment les chercheurs, des températures anormalement chaudes essuyées dans la région au cours de ces dernières semaines.
En Arctique, la banquise fond plus vite que les modélisations actuelles le prédisent, ont averti mardi des chercheurs de l'Université de Copenhague. "Nos analyses des conditions dans l'océan Arctique montrent que nous avons clairement sous-estimé le taux d'augmentation de la température dans l'atmosphère au plus proche du niveau de la mer, laquelle a finalement fait fondre la banquise plus rapidement que nous l'avions prévu",...
De nouvelles images satellites de la NASA montrent que les calottes glaciaires de la baie Saint-Patrick, située au Canada, ont complètement disparu.. Mark Serreze, directeur du Centre national des données sur la neige et la glace, est très pessimiste pour l'avenir des calottes glaciaires. En 2017, il alertait déjà la société du phénomène de fonte des glaces en prédisant que celles-ci allaient disparaître "d'ici 5 ans".
Au bout du monde, au-delà du cercle polaire, deux scientifiques russes, Serguei Zimov et son fils Nikita, mènent une expérience unique : le Pleistocene Park. Ici, les Zimov restaurent l’ancien écosystème des steppes de Sibérie pour sauver la planète d’une catastrophe annoncée : la fonte du permafrost. Ce glacier souterrain contient des milliards de tonnes de carbone. En se libérant, ce dernier accélère le réchauffement climatique. Selon l’hypothèse révolutionnaire des Zimov une réintroduction des grands herbivores en Sibérie pourrait ralentir la dégradation du permafrost.
Le réchauffement record de l’Arctique et la fonte spectaculaire de la banquise ont de graves conséquences sur les écosystèmes fragiles de la région. Pourquoi l’Arctique s’est-il davantage réchauffé que les tropiques et les latitudes moyennes ? Nous savons maintenant que c’est en partie causé par de faibles concentrations de gaz à effet de serre très puissants, des substances qui appauvrissent la couche d’ozone (SACO) telles que les chlorofluorocarbures (CFC).

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