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2025
Les Français·es sont de plus en plus inquiets face aux évènements climatiques extrêmes, dévoile un sondage Ipsos ce mardi. Que les sondé·es soient de gauche ou de droite, elles et ils souhaitent majoritairement une politique environnementale plus ambitieuse, alors que le gouvernement multiplie les reculs en la matière. On vous explique.
Les responsables de la diplomatie se disent prêts à plus de « frontalité » dans leur réponse aux immixtions attendues en faveur de l’extrême droite, notamment en période électorale.
L’extrême droite rejette l’accord, qui prévoit la libération de 2 000 prisonniers palestiniens, mais ne souhaite pas, à ce stade, quitter la coalition.
Sujet tabou, la droite aurait pourtant beaucoup à gagner en se saisissant de ces dossiers, analyse Ferréol Delmas, directeur général du think tank Ecologie responsable.
Le spécialiste des Etats-Unis revient dans une tribune au « Monde » sur la longue histoire d’une rhétorique d’extrême droite : l’ennemi intérieur. Le président Trump a, selon lui, fait de ce narratif un véritable mode de gouvernement, à même de justifier une politique autoritaire et une militarisation croissante, jusqu’à redéfinir le territoire américain en champ de bataille.
Une enquête d’opinion, portant sur un panel de 12 000 personnes, montre une dichotomie entre les positions des hommes politiques et les attentes des citoyens en matière d’énergie.
Avant les élections législatives du 28 septembre, la Moldavie fait face à une vaste campagne d’influence sur les réseaux sociaux, imputée à la Russie. Mais l’extrême droite roumaine est également active pour discréditer le gouvernement pro-européen de la présidente moldave, Maia Sandu.
En affirmant à la tribune de l’ONU que la capitale du Royaume-Uni entend «passer à la charia», le milliardaire Trump reprend des théories conspirationnistes diffusées en ligne par l’extrême droite, et tacle le maire musulman Sadiq Khan, une de ses cibles préférées depuis des années.
Le deuxième mandat présidentiel de Donald Trump marque le retour en force de la religion aux États-Unis. Une montée en puissance en politique et dans l’espace public comme en témoignent les 65.000 personnes rassemblées dans le stade de Gendale en Arizona pour rendre hommage au "martyr" Charlie Kirk. Trump a séduit les électeurs évangéliques et une partie des chrétiens conservateurs. Il est soutenu par l’extrême droite antisémite mais aussi par la droite juive pro-israélienne, une "synthèse que seul Trump est capable de faire". Le 47e président américain a réussi à convaincre cet électorat malgré sa personnalité extravagante, éloignée des préceptes religieux. Calcul politique ? À n’en pas douter. Et depuis son investiture, le conservatisme religieux se déploie.
Dans un essai lucide et nerveux, l’éditeur Hugues Jallon dissèque les ressorts du fascisme qui «devient réel» et identifie ses complices. Une lecture nécessaire pour lui barrer la route.
Le parti d’extrême droite a fait sa rentrée politique ce week-end et a lancé sa campagne municipale tout en appelant à des élections législatives anticipées. Entre désir d’incarner «l’alternance» et obsession migratoire, les cadors du RN ont réservé quelques saillies aux énergies renouvelables et aux politiques sur l'écologie. Vert était sur place.
Pour la droite radicale américaine, Charlie Kirk est mort en "martyr" et toute critique ciblant le militant conservateur doit être punie: ces derniers jours, des dizaines de personnes ont ainsi perdu leur emploi après un simple message sur les réseaux sociaux.
Au Parlement européen, les députés RN et leurs alliés ont noué une alliance de fait avec la droite pour saborder les régulations et les objectifs du Pacte vert. Et ne rechignent pas – à rebours de leurs (…)
Sur l’ensemble des assassinats commis par des «extrémistes» répertoriés depuis 2005, 347 meurtriers sont liés à des organisations d’extrême droite.
Une majorité de juges de la Cour suprême brésilienne a voté ce jeudi 11 septembre pour reconnaître l’ex-dirigeant coupable d’avoir conspiré afin de se maintenir au pouvoir malgré sa défaite électorale face à Lula en 2022.
Jusqu’où ira le gouvernement israélien dans sa stratégie de destruction et de prise de contrôle des territoires palestiniens, au mépris du droit international et humanitaire ? Alors que le gouvernement Netanyahou a lancé son opération de contrôle total de Gaza, que la mort et la désolation se sont installées dans l’enclave palestinienne, qu’un vaste plan de colonisation de la Cisjordanie a été lancé, le leader d’un petit parti d’opposition, Benny Gantz, a proposé à Benjamin Netanyahou de former une coalition alternative avec l’objectif de sauver les otages israéliens, sans les partis d’extrême-droite qui imposent leur diktat à Israël. Deux ministres sont issus de ces partis prônant le suprémacisme juif, Itamar Ben-Gvir et Bezalel Smotrich. Qui sont-ils ? Sont-ils les seuls à plonger Israël dans le chaos ?
Le ministre des finances, Bezalel Smotrich, qui plaide pour la construction des 3 000 logements de la colonie E1, juge qu’elle porterait un « coup de grâce » à la possibilité d’un Etat palestinien.
Depuis qu’elle forme des coalitions avec le parti d’extrême droite Vox, la droite espagnole a peu à peu renoncé sur l’environnement. Un virage qui s’est accéléré ces derniers mois, jusqu’à être officialisé lors du dernier congrès du Parti populaire, la principale formation de droite en Espagne.
Le Rassemblement national prépare une proposition de loi pour « miner » du bitcoin avec le surplus d’électricité des centrales nucléaires, témoignant du prosélytisme parlementaire de l’extrême droite sur le sujet.
Le milliardaire assume son profil réactionnaire et alimente l’extrême droite grâce aux entreprises qu’il finance. Mais en achetant ses produits, le consommateur ignore souvent qu’il la finance aussi.