Sobriété

OA - Liste

Une de ObsAnt

Pour voir les références d’un(e) auteur(e), cliquez sur son nom. Pour revenir à la page, utilisez le bouton refresh ci-dessous.

Résultats pour:
EIA

2024

Total ment. Le journaliste Mickaël Correia a réuni trois années d’investigations sur TotalEnergies dans un ouvrage coup-de-poing.
Le 13 mars, Hugues Falys, éleveur bovin, a lancé une action en justice contre le pétrolier pour sa responsabilité dans les dérèglements climatiques. Les événements météo extrêmes qui ont frappé sa ferme depuis 2016 lui ont causé d’importants dégâts. 

2023

L'hydroélectricité occupe une place toujours plus importante dans le mix électrique de l'Équateur, souligne l'EIA américaine (Energy Information Administration) dans un article publié ce 21 septembre(1) : cette filière a compté pour 79% de la production nationale d'électricité en 2021, contre 55% en 2011. La richesse de la ressource hydraulique en Équateur rend dans le même temps ce pays de près de 18 millions d'habitants « vulnérable aux sécheresses et aux faibles niveaux d’eau pendant la saison sèche d’octobre à mars ».
Mickaël Correia explique la façon dont il creuse son sillon journalistique : mettre en lumière ce que les multinationales des énergies carbonées feignent d’ignorer, analyser les pouvoirs politiques et économiques de ces entreprises qui contribuent le plus directement au dérèglement climatique. Un travail de fourmi, accessible et nécessaire pour enrayer le statu quo : sans l’instauration d’un rapport de force, ces entreprises continueront à rendre la planète invivable tant qu’elles pourront en tirer profit.
le journaliste Mickaël Correia enquête depuis maintenant plusieurs années, mettant le doigt sur les inégalités criantes qu’ils renforcent et génèrent. Une de ses boussoles : dénoncer les responsables. « Il y a des crimes climatiques, donc des criminels » affirmait-il récemment. Dans ce premier volet, il ne manque pas de tancer une certaine « écologie bourgeoise », et affirme ainsi son souhait de voir advenir un front écologiste qui inclurait pleinement les classes populaires, tout en s’articulant aux questions sociales, féministes et antiracistes.
Mégafeux hors de contrôle au Canada, records de température à la surface des océans, glaces de l’Arctique disparaissant plus vite que prévu... Les dérèglements climatiques s’amplifient à un rythme inouï. Alors que l’habitabilité de notre planète est menacée, l’inaction des États perdure.
Avec ses détroits entre la mer Noire et la mer Méditerranée (Bosphore et Dardanelles), la Turquie constitue un point de passage majeur pour le transport maritime d’hydrocarbures (les trois quarts des frontières de la Turquie sont maritimes). 
Mégabassines, raffineries, chaîne logistique d’Amazon, autoroutes... Dans son nouvel ouvrage, le philosophe Alexandre Monnin rappelle comment le capitalisme nous lègue des héritages empoisonnés. Il appelle à la « désinnovation » et à une écologie de la fermeture pour ces infrastructures qui compromettent notre survie future.
Terwijl politieke leiders bijeenkomen voor een tweede conferentie in het Europese Parlement over hoe we “voorbij groei” gaan, pleit een groep academici en maatschappelijke organisaties om de geopolitieke crisis aan te grijpen als een kans om in Europa van onze groeiafhankelijkheid los te komen.
Le Nigéria est l'un des principaux producteurs d'hydrocarbures du continent africain, le pétrole et le gaz naturel constituant les « piliers de l’économie nationale » de ce pays de près de 220 millions d'habitants, souligne l’EIA américaine (Energy Information Administration) dans le rapport ci-après publié fin avril.

2022

Sèche eau. Dans ce département où l’alimentation des rivières dépend essentiellement de l’enneigement et des glaciers, la sécheresse historique de 2022, qui continue d’essorer la France, attise les conflits d’usage de l’eau.
Sur fond de tensions géopolitiques et dans un contexte de crise énergétique, Charm el-Cheikh, en Égypte, accueillera du 6 au 18 novembre la COP27. Le sommet international sur le climat devra s’atteler à un double défi : baisser drastiquement les émissions globales tout en répondant aux dommages irréversibles causés par le changement climatique dans les pays du Sud.
En 2021, la Chine a à elle seule compté pour 26,5% de la consommation mondiale d'énergie, et même pour 53,8% de la consommation planétaire de charbon. Les observateurs usent souvent de superlatifs pour exposer les données énergétiques relatives à ce pays de près de 1,4 milliard d'habitants et la croissance de l'empire du Milieu devrait se poursuivre : selon des prévisions de l'AIE publiées en mai 2022, la Chine pourrait par exemple compter pour 45% des installations mondiales de capacités électriques renouvelables en 2022-2023.
Entre la canicule « Total énergies 1 » et la canicule « Total énergies 2 » (nous reprenons cette idée trouvée sur les réseaux sociaux de nommer les épisodes caniculaires du nom des responsables du réchauffement climatique) nous avons rencontré Mickaël Correia dont le dernier livre, Criminels Climatiques, met un uppercut à l’écologie bourgeoise du « tous responsables, tous les petits gestes comptes » en montrant le visage de ceux à cause de qui nous suffoquons. Journaliste issu de médias indépendants, Mickaël Correia propose une écologie du rapport de force, qui désigne des responsables et propose donc des leviers d’actions autre que le désespoir ou la complaisance : deux positions généralement tenus par la partie aisée de la population.
Dans son ouvrage Criminels climatiques, publié aux éditions La Découverte, Mickaël Correia conduit une vaste enquête sur trois mastodontes des énergies fossiles en remontant les pipelines, les stratégies et les techniques qui leur permettent de continuer à polluer. À Vert, il livre quelques fragments de ce vaste système au croisement des pouvoirs politique, culturel, économique et financier.
« Si ce trio était un pays, il incarnerait la troisième nation la plus émettrice, juste derrière la Chine et les États-Unis. » Dans Criminels Climatiques, Mickaël Correia réalise une enquête sur les 3 entreprises les plus émettrices de gaz à effet de serre au monde, pourtant inconnues du grand public. Un livre passionnant où se croisent pétrole, gaz, charbon, mais aussi Anton Tchekhov et le monde du football.
Dans cet essai, Mickaël Correia, journaliste à Médiapart, révèle les limites de l’action individuelle face à Energy China, Saudi Aramco ou encore Gazprom. A lire de toute urgence… climatique.
Mickaël Correia est journaliste à Mediapart, spécialiste des questions climatiques. Dans son livre “Criminels climatiques”, il enquête sur les trois principales multinationales fossiles que sont Saudi Aramco, Gazprom et China Energy. Peu connues du grand public, ce sont pourtant les entreprises les plus polluantes, les plus climaticides et les plus prospères au monde ; elles sont d’ailleurs chacune solidement enracinées en France.
Alors que Total annonce des bénéfices record, son premier actionnaire, Amundi, est peu connu en France. Plus gros investisseur européen, il gère pourtant l’épargne de plus de quatre millions de Français. Si ce poids lourd de la finance affiche des ambitions écologiques, sa croissance fulgurante se fait en réalité au détriment du climat.
Cent entreprises sont responsables de 70 % des émissions globales de gaz à effet de serre. Et parmi elles, Aramco, Gazprom et China Energy sont les championnes internationales du pétrole, du gaz et du charbon. Cette enquête inédite révèle comment ces trois géants industriels déploient tout un arsenal de stratégies redoutables – corruption, néocolonialisme, lobbying, greenwashing, soft power, etc. – pour perpétuer notre addiction au carbone. En continuant coûte que coûte à extraire les ressources des entrailles de la Terre, ils attisent sciemment les flammes qui brûlent notre planète et agissent en criminels climatiques.
Le changement climatique ne détraque pas seulement le thermomètre mondial, il a aussi un impact sur notre santé mentale. Comment y faire face ? On fait le point dans le cinquième épisode des \"Calottes sont cuites\", le podcast de GEO et Météo-France.
Compagnon de route historique de CQFD, Mickaël Correia émarge désormais chez Mediapart, où il s’occupe des questions écologiques. Ce 13 janvier, il publie Criminels climatiques, livre-enquête sur les trois multinationales qui émettent le plus de gaz à effet de serre au monde. Entretien autour du bouquin et des questions très politiques qu’il soulève, loin, très loin, de l’écologie des petits gestes et de la responsabilité individuelle.

2021

L'Arabie saoudite joue un rôle central sur les marchés pétroliers : ce pays n'est certes plus le principal producteur de pétrole et d'autres hydrocarbures liquides (les États-Unis occupent la 1re place mondiale, comme le montre l'infographie ci-après) mais il reste le principal exportateur mondial(1) et dispose de près de 15% des réserves prouvées de pétrole dans le monde(2).
La COP26 se déroulera du 31 octobre au 12 novembre prochains à Glasgow. L’enjeu de ce sommet climatique crucial ? Décider de la feuille de route pour mettre en œuvre l’accord de Paris de 2015. Alors que les émissions de gaz à effet de serre continuent de grimper en flèche, tout échec signerait « un aller simple vers le désastre », a alerté le secrétaire général de l’ONU.
Une hausse de la consommation mondiale de charbon d'ici à 2050 Plus qu’une transition énergétique des sources d’énergie les plus carbonées vers des sources bas carbone, c’est une hausse généralisée de la demande de toutes les énergies qu’esquisse l’EIA. Même la consommation mondiale de charbon pourrait, après une baisse de la demande entre 2025 et 2030, augmenter d'ici la moitié du XXIe siècle (+ 13,6% entre 2020 et 2050).

2020