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Le chef du groupe paramilitaire russe − à l’origine d’une rébellion contre l’état-major en juin −, son adjoint et huit autres passagers étaient présents selon les autorités dans un petit avion privé qui s’est écrasé, mercredi, en Russie. Beaucoup d’interrogations subsistent.
Evguéni Prigojine, chef de Wagner, n'a pas réussi à aller jusqu'au bout de ses plans.
Le président russe s’est exprimé ce lundi 26 juin à la télévision russe, pour la première fois après la mutinerie de l’organisation paramilitaire Wagner.
La rébellion d'Evguéni Prigojine, patron du groupe Wagner, s’est achevée sans le départ pourtant exigé par le chef des mercenaires du ministre de la Défense Sergueï Choïgou. Ce dernier apparaît sur la sellette depuis le début de la guerre en Ukraine, mais Vladimir Poutine n’en finit pas de le soutenir. Jusqu’au bout ?
Le chef de Wagner a affirmé lundi 26 juin dans un premier message audio après la fin de sa rébellion que son but n’était pas de renverser le pouvoir russe mais de sauver son groupe paramilitaire menacé d’être absorbé par l’armée.
La révolte des mercenaires de Wagner a exposé au grand jour des faiblesses patentes dans la position du président russe Vladimir Poutine, soulevant des questions sur sa capacité à affronter les dangers qui menacent sa survie politique, estiment les analystes.
La brève chevauchée du patron du Groupe Wagner, Evgueni Prigojine, souligne l’erreur magistrale d’avoir laissé prospérer une milice privée, sur les marges du pouvoir. Et risque d’affaiblir durablement le président russe.
Les forces du groupe paramilitaire Wagner se sont repliées dimanche en Russie, mettant un terme à la rébellion lancée par leur chef Evguéni Prigojine qui a fait trembler le Kremlin et révélé, aux yeux des Occidentaux, "fissures" et "divisions" dans le camp de Vladimir Poutine.
On a osé. On a osé penser un instant que Poutine pourrait être sérieusement ébranlé, voire renversé, par le coup de force de Prigojine. Et, pour la première fois en seize mois, on a pu rêver à une fin prochaine de la guerre en Ukraine.
Après vingt-quatre heures de tension extrême, qui auront vu le groupe paramilitaire dirigé par Evgueni Prigojine occuper la ville de Rostov et s’approcher dangereusement de Moscou, un accord semble avoir été trouvé, ouvrant la voie à une désescalade.
Arrêtée dans sa course vers Moscou par un deal dont nul ne connaît les détails, la milice de Prigojine pourra-t-elle survivre alors que ses mercenaires ont provoqué l’un des pires bilans de l’aviation russe depuis l’invasion de l’Ukraine ?
Plusieurs pilotes et membres de la force aérienne russe ont perdu la vie dans la mutinerie menée par le groupe paramilitaire Wagner vendredi et samedi. Le nombre de victimes varie entre 13 et 20, selon des blogs militaires pro-russes.
Le chef de Wagner Evguéni Prigojine a finalement renoncé à sa rébellion contre le commandement de l’armée russe à la faveur d’un accord négocié samedi par la Biélorussie. Si la "menace de guerre civile" évoquée par Vladimir Poutine semble écartée, cette affaire porte néanmoins un sérieux coup à l’image du maître du Kremlin, révélant des failles dans l’appareil d’État, en pleine contre-offensive ukrainienne.
Pour éviter que ne coule “le sang russe”, Evgueni Prigojine a abruptement suspendu sa marche vers Moscou, samedi 24 juin, et ordonné à ses hommes de regagner leurs camps. La spectaculaire volte-face du patron de Wagner est un soulagement pour le Kremlin, même si Vladimir Poutine apparaît “durablement fragilisé”.
Les services d'espionnage américains ont reçu à la mi-juin des informations indiquant que le chef du groupe paramilitaire russe Wagner, Evguéni Prigojine, comptait entrer en rébellion armée contre Moscou, a rapporté samedi le Washington Post.
Le patron du groupe paramilitaire Wagner a fait finalement machine arrière et se retire de Russie après avoir appelé à un soulèvement. Malgré les menaces de Poutine samedi, il semble s’en tirer sans trop de représailles, en apparence, grâce à un accord.
Selon plusieurs analystes militaires, l’insurrection éclair de la milice privée russe puis son annulation tout aussi rapide, le 24 juin, ouvrent une séquence de doute pour Moscou et son armée, et rendent le destin de Prigojine incertain.
Les forces du groupe paramilitaire Wagner ont commencé à quitter leurs positions en Russie sur ordre de leur chef Evguéni Prigojine, qui a fait volte-face après avoir frontalement défié l'autorité du président russe Vladimir Poutine.
La crise militaire déclenchée ce week-end en Russie par Evguéni Prigojine semble avoir pris le pouvoir russe par surprise. Pourtant, le chef du groupe de mercenaires Wagner était de plus en plus isolé dans le paysage politique russe et semble avoir voulu tenter le tout pour le tout. En vain ?
Le groupe paramilitaire dirigé par Evgueni Prigojine, en guerre contre l’état-major militaire russe, a pris le chemin de la capitale russe après avoir pris le contrôle de Rostov.
Le chef du groupe paramilitaire Wagner Evguéni Prigojine avait lancé dans la nuit de vendredi à samedi une offensive pour renverser le commandement militaire.
Le groupe paramilitaire russe Wagner dirigé par Evguéni Prigojine, est entré en rébellion armée contre Moscou. 24 heures après, voici ce que l'on sait des principaux événements qui sont intervenus depuis vendredi soir.
Après une nuit de chaos, le leader du groupe paramilitaire Wagner a déclaré ce samedi 24 juin avoir pris le contrôle des sites militaires de Rostov sur le Don. Pourquoi les mercenaires ont-ils choisi cette ville du sud-ouest de la Russie pour lancer leur rébellion armée ? Explications.
Ancien délinquant, ponte de la restauration et chef de guerre… France 24 revient sur les multiples casquettes d’Evguéni Prigojine, protégé de Vladimir Poutine et désormais en rébellion contre le maître du Kremlin. 
Evgueni Prigojine, le patron de Wagner, a lancé le vendredi 23 juin une rébellion armée en Russie. Les médias ukrainiens observent attentivement le déroulement des événements. Ils espèrent un affaiblissement global de leur adversaire – voire un effondrement – mais ils restent prudents.
Des habitants de Kiev se disent samedi “très heureux” de la rébellion du groupe Wagner, espérant qu’elle affaiblisse les troupes russes en Ukraine et favorise la contre-offensive de Kiev.
Dans la nuit de vendredi à samedi, le chef de Wagner, Evguéni Prigojine, a lancé une rébellion armée en Russie.
Le chef de la milice Wagner est entré ouvertement en dissidence de l'armée russe. A Rostov, près de la frontière ukrainienne, les habitants sont stupéfaits par la présence des paramilitaires et de leurs chars en plein centre-ville.
La situation en Russie, où Evgueni Prigojine, chef du groupe paramilitaire Wagner, a lancé une offensive armée, est suivie de près en Europe. Alors que Vladimir Poutine a dénoncé “un coup de poignard dans le dos”, la presse européenne scrute les développements de cette guerre ouverte, qui pourrait, selon elle, coûter très cher au Kremlin.
Un 'coup de poignard dans le dos'. C’est ainsi que le président russe Vladimir Poutine a qualifié samedi le revirement...


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wagner guerre russie ukraine

août 2023

Le chef du groupe paramilitaire russe − à l’origine d’une rébellion contre l’état-major en juin −, son adjoint et huit autres passagers étaient présents selon les autorités dans un petit avion privé qui s’est écrasé, mercredi, en Russie. Beaucoup d’interrogations subsistent.

juin 2023

Evguéni Prigojine, chef de Wagner, n'a pas réussi à aller jusqu'au bout de ses plans.
Les forces du groupe paramilitaire Wagner se sont repliées dimanche en Russie, mettant un terme à la rébellion lancée par leur chef Evguéni Prigojine qui a fait trembler le Kremlin et révélé, aux yeux des Occidentaux, "fissures" et "divisions" dans le camp de Vladimir Poutine.
La brève chevauchée du patron du Groupe Wagner, Evgueni Prigojine, souligne l’erreur magistrale d’avoir laissé prospérer une milice privée, sur les marges du pouvoir. Et risque d’affaiblir durablement le président russe.
La révolte des mercenaires de Wagner a exposé au grand jour des faiblesses patentes dans la position du président russe Vladimir Poutine, soulevant des questions sur sa capacité à affronter les dangers qui menacent sa survie politique, estiment les analystes.
La rébellion d'Evguéni Prigojine, patron du groupe Wagner, s’est achevée sans le départ pourtant exigé par le chef des mercenaires du ministre de la Défense Sergueï Choïgou. Ce dernier apparaît sur la sellette depuis le début de la guerre en Ukraine, mais Vladimir Poutine n’en finit pas de le soutenir. Jusqu’au bout ?
Le chef de Wagner a affirmé lundi 26 juin dans un premier message audio après la fin de sa rébellion que son but n’était pas de renverser le pouvoir russe mais de sauver son groupe paramilitaire menacé d’être absorbé par l’armée.
Le président russe s’est exprimé ce lundi 26 juin à la télévision russe, pour la première fois après la mutinerie de l’organisation paramilitaire Wagner.
Selon plusieurs analystes militaires, l’insurrection éclair de la milice privée russe puis son annulation tout aussi rapide, le 24 juin, ouvrent une séquence de doute pour Moscou et son armée, et rendent le destin de Prigojine incertain.
Les forces du groupe paramilitaire Wagner ont commencé à quitter leurs positions en Russie sur ordre de leur chef Evguéni Prigojine, qui a fait volte-face après avoir frontalement défié l'autorité du président russe Vladimir Poutine.
Les services d'espionnage américains ont reçu à la mi-juin des informations indiquant que le chef du groupe paramilitaire russe Wagner, Evguéni Prigojine, comptait entrer en rébellion armée contre Moscou, a rapporté samedi le Washington Post.
Pour éviter que ne coule “le sang russe”, Evgueni Prigojine a abruptement suspendu sa marche vers Moscou, samedi 24 juin, et ordonné à ses hommes de regagner leurs camps. La spectaculaire volte-face du patron de Wagner est un soulagement pour le Kremlin, même si Vladimir Poutine apparaît “durablement fragilisé”.
Après vingt-quatre heures de tension extrême, qui auront vu le groupe paramilitaire dirigé par Evgueni Prigojine occuper la ville de Rostov et s’approcher dangereusement de Moscou, un accord semble avoir été trouvé, ouvrant la voie à une désescalade.
Le patron du groupe paramilitaire Wagner a fait finalement machine arrière et se retire de Russie après avoir appelé à un soulèvement. Malgré les menaces de Poutine samedi, il semble s’en tirer sans trop de représailles, en apparence, grâce à un accord.
Arrêtée dans sa course vers Moscou par un deal dont nul ne connaît les détails, la milice de Prigojine pourra-t-elle survivre alors que ses mercenaires ont provoqué l’un des pires bilans de l’aviation russe depuis l’invasion de l’Ukraine ?