8 mars

OA - Liste

vers la Une


A l’occasion de la « Journée internationale des femmes » (définition ONU) ou de la journée célébrant les combats pour les droits des femmes, voici une liste (non-exhaustive) de signatures féminines référencées par l’Observatoire dans le cadre des thématiques traitées dans notre veille documentaire:

2024

En Arabie saoudite, la gigantesque ville de Neom est l’un des projets phares du prince héritier Mohammed ben Salmane. Les forces de l’ordre auraient reçu l’ordre de tuer les habitants qui s’opposent à l’évacuation des terrains, selon une enquête de la BBC.
Entretien avec Guillaume Meunier, qui est Consultant Bas Carbone à l’Institut Français pour la Performance du Bâtiment le jour, et qui passe aussi ses courtes nuits à peupler les réseaux sociaux d’analyses précises et factuelles sur les enjeux écologiques de la fabrique de la ville.
La mairie de Lille a signé lundi deux conventions inédites avec les fournisseurs d'énergie Enedis et Dalkia afin de mieux concilier plantation d'arbres et réseaux souterrains, et faciliter l'adaptation de la ville face au dérèglement climatique.Selon Serge Martin, délégué territorial Enedis, la convention signée avec Enedis est "une première nationale à l'échelle d'une grande ville" Si l'expérimentation est un succès, elle sera généralisée à l'échelle de la métropole lilloise, a indiqué la mairie.
« Partout, pouvoirs économiques et politiques font front commun. Non pas pour retisser des liens respectueux avec la Terre face à une crise écologique sans précédent. Non pas pour lutter contre des injustices sociales et les inégalités territoriales déjà béantes. Non pas pour défendre les régimes démocratiques face à la multitude de dérives autoritaires qui les fragilisent. Non, leur communion porte sur un point et un seul : poursuivre sans relâche la métropolisation du monde. » Pourtant, seul·es 13% des Français·es considèrent la grande ville comme un lieu de vie idéal. Pollutions, stress, mobilité et connexion permanentes sont devenues une norme que beaucoup ne parviennent plus à supporter. Étouffante, la grande ville bétonne, cloisonne et nous coupe de la nature et du vivant.
Guillaume Faburel est un géographe à contre-courant, qui dénonce la barbarie des grandes villes et prédit leur démantèlement nécessaire, à l’heure où tous les promoteurs de la startup nation ne parlent que de smart city et de mégalopoles. Interview.
Au sud du Brésil, la ville de Curitiba a pris très tôt un virage écolo. De ses emblématiques autobus mis en place dans les années 70 aux jardins partagés d’aujourd’hui, elle inspire les métropoles qui veulent se verdir.
Afin de lutter contre les inondations, mais aussi contre la pollution des nappes phréatiques, l'utilisation du biochar présente de multiples intérêts.

2023

Dans un contexte où le réchauffement climatique aggrave l’exposition au risque de nombreux territoires, AMITER vise à faire émerger de nouvelles (...)
Transition, bifurcation, décision… Villes et métropoles ont-elles assimilé l’enjeu des bouleversements climatiques à venir ? Si la prise de conscience est réelle, les actes ne sont pas toujours à la hauteur.
La végétalisation de la ville et sa biodiversité sont indispensables pour rendre les cités de demain plus vivantes et, par là, plus vivables. Mais si la plupart des collectivités ont intégré cette réflexion, les actions ne suivent pas toujours. Plaidoyer pour un véritable « urbanisme écosystémique ».
Bruxelles est soumise au phénomène des îlots de chaleur urbains. Un phénomène qui influence et influencera la manière de vivre et de penser la ville.
Au coeur de l'urgence d'adaptation des villes au réchauffement climatique : l'îlot de chaleur urbain. Il surchauffe les villes de deux degrés de plus en journée, dix la nuit, par rapport aux zones rurales.
Le parlement a voté le 13 juillet dernier la loi visant à faciliter la mise en œuvre des objectifs de lutte contre l’artificialisation des sols et à renforcer l’accompagnement des élus locaux, dite loi ZAN (publiée au JO du 21 juillet 2023). Elle ne remet pas en question les objectifs de réduction de l’artificialisation de la loi Climat et Résilience, mais cherche à surmonter
Belgique: Le collectif de citoyens « Attaque la ZACC » estime que le projet ne tient pas compte des nouveaux risques liés aux inondations, estime le collectif, dénonçant sa réalisation comme « irresponsable », et pointant du doigt une « artificialisation » des sols d’une zone de plus de 80ha, entre Herve et Battice.
Emmanuelle Favre, maire de Saint-Loubès, en Gironde, souligne les vertus d’un Plan local d’urbanisme pensé avec les habitants et visant la préservation des espaces naturels et la sobriété.
Cet été, Novethic enquête sur la façon dont Paris s'adapte à un scénario extrême. Pour Dan Lert, l'adjoint en charge de la transition écologique, il s'agit de passer d’une "ville radiateur à une ville oasis". Comment ? En plantant des arbres, en installant des ombrières, des fontaines à eau, en débitumant au maximum et en créant des lieux de baignade dans la Seine et ses canaux.
Dans La ville stationnaire, un livre clair, bien illustré et abordable, Sophie Jeantet, Clémence De Selva et Philippe Bihouix passent au peigne fin la croissance des villes qui est devenue insoutenable. Au menu : étalement urbain, déconstruction de la smart city, la Zéro Artificialisation Nette, et une tonne de solutions.
Paris est la capitale européenne la plus mortelle en cas de canicule. Une situation qui s’explique par le phénomène d’îlot de chaleur urbain et des logements peu adaptés aux fortes températures.
Le rapport du GIEC (2022) sur l’adaptation au changement climatique confirme des craintes déjà établies : les canicules estivales seront plus fréquentes, longues et intenses. En ville, ces canicules estivales intensifient le phénomène d’îlot de chaleur urbain, et présentent des enjeux à court et long termes : socio-sanitaires notamment sur le confort thermique, économiques, environnementaux. L’été 2022 a été le second été le plus chaud depuis 1900 en France (Météo-France).
Peinture antichaleur, assurance spécifique, dispositif d’alerte avec code couleur… Cette métropole de l’ouest de l’Inde tente de s’adapter à l’intensité grandissante des vagues de chaleur à répétition. Un modèle pour d’autres villes du pays, et au-delà.
Depuis avril, la commune d’Elne (Pyrénées-Orientales) installe dans le centre-ville des potagers urbains à la place des parkings. Le but : recréer des réserves utiles dans les sols et recharger les nappes phréatiques.
La réédition de ce « manifeste biorégionaliste », déjà recensé dans nos pages, entre en résonance avec l'exigence, désormais critique, de refonder l'architecture à partir de l'attention portée aux territoires et à leurs écologies. L'ouvrage de Mathias Rollot s'ouvre par un constat : la catastrophe écologique et sociale a déjà eu lieu. Il pose ensuite une question : « Pourquoi vouloir encore parler d'“architecture'', alors que les défis actuels sont avant tout d'ordres sociétaux, climatiques, politiques ? »
La Wallonie devrait disposer d’une nouvelle stratégie territoriale d’ici peu. Septante-cinq pour cent des nouveaux logements construits d’ici 2050 devront l’être dans les centres. Lancement des opérations en 2030. De quoi inquiéter les grands propriétaires fonciers qui possèdent des terrains en périphérie. D’autant que les moins-values ne seront pas indemnisées.
Comment loger les habitants, en limitant la croissance des villes? Quelles voies emprunter pour des villes vivables demain? Pour répondre à ces questions complexes de l'évolution des villes dans un contexte de réchauffement climatique, nous avons interrogé un expert Philippe Bihouix, auteur de "La
Rafraîchissez efficacement votre collectivité. ’outil d’aide à la décision que vous co-construisez avec nous, pour vous accompagner dans le choix de solutions de rafraîchissement urbain pérennes et durables
Paris, Bordeaux, Montpellier, Grenoble ou Lyon travaillent sur des forêts urbaines adaptées, alors que 71 % des espèces d’arbres seront en situation de risque sanitaire d’ici à 2050.
La métropolisation est un modèle singulier d’urbanisation, celui de la ville-monde, avec un rythme de croissance des villes, quasi exponentiel depuis quatre à cinq décennies. Par ce rythme, l’équivalent d’une ville comme New York sort de terre tous les mois dans le monde. Ceci est le fait de l’ère néolibérale, stade singulier du capitalisme dans lequel les activités urbaines se dématérialisent, la rente immobilière s'accroît et les économies urbaines évoluent par tertiarisation et tri des populations. Ceci entraîne de grandes mutations, y compris dans les suds avec délocalisation des industries extractivistes et polluantes. Voilà pour le fait géographique global. Il est également total car les citadins sont sommés d'adopter des modes de vie consuméristes, et ce par nombre de projets urbains qui se ressemblent étrangement, avec toujours plus de mouvements et de fluidité, de connexion et d’agilité, de divertissement et de festivités...
Fortement encouragée, la pratique du vélo fait de plus en plus d’adeptes. Supprimer les places de parc, transformer les routes en pistes cyclables, limiter la vitesse du trafic, jusqu’où faut-il transformer la ville pour laisser la place aux vélos?
La 3ème séance du séminaire « L’art de gouverner les transitions » avait pour objet d’étude le foncier et ses liens avec les politiques de l’habitat.
L’attention au « vivant » a récemment été la cible d’un procès en dépolitisation intenté par une partie du mouvement anticapitaliste. En partant de l'histoire du Marais Wiels, un plan d'eau accidentel ayant émergé dans un quartier populaire de Bruxelles, cette enquête écologique montre qu’il est possible de mettre au jour des stratégies anticapitalistes multi-espèces, nécessaires à la bifurcation écologique des luttes sociales.
Vagues de chaleur et inondations meurtrières ont éprouvé de nombreuses régions cet été de l'Asie à l'Europe. Les métropoles sont particulièrement vulnérables...
C'est une addiction française qui a été ravivée par la crise sanitaire. Désir de liberté, d'espace, de tranquillité, le pavillon reste ancré dans l'imaginaire comme l'habitat idéal. Deux sociologues, Hervé Marchal et Jean-Marc Stébé lui dédient un livre : "Le pavillon, une passion française". Mais derrière le rêve, la réalité est plus sombre. Le pavillon, excentré des centres-villes, territoire de l'automobile, est le premier responsable de l'artificialisation des sols. Est-il voué à disparaître ? Réponse avec Hervé Marchal.
Les grandes agglomérations laissent peu de place à la biodiversité, en la cantonnant souvent à un rôle esthétique. Il est urgent de repenser les villes afin de les rendre plus viables pour la faune, la flore, donc pour Homo sapiens.
À l’aune du zéro artificialisation nette, les collectivités et EPCI doivent construire une stratégie de nature en ville basée sur la préservation et la renaturation des sols. Leur prise en compte, élément clé de l’écosystème urbain, est cruciale.
Community displacement has emerged as an unintended cost of climate resilience efforts. Here’s how cities can boost both livability and equity.
Le risque d’inondations progresse dans la métropole de Grenoble avec le changement climatique. Un enjeu qui impose à la métropole d’adapter son économie, et notamment son industrie.
Les zones vertes de la métropole sont capables d’absorber les émissions carbone des voitures, des camions, des bus et plus encore pendant une partie de l’année. Une preuve tangible de l’utilité et du besoin criant de végétaliser les villes.
Nous sommes en 2050. L’effondrement a entraîné une réorganisation de l’Île-de-France. Les flux de la mondialisation se sont considérablement réduits. Les hypermarchés ont disparu, les voitures aussi. C’est tout le système économique et politique qui a été repensé autour de la sobriété énergétique et des autonomies alimentaires. Démographie, gouvernance, énergie, subsistance, transport : toutes les dimensions de la vie post-pétrole sont ici abordées sans concession.

2022

L’habitat pavillonnaire amorce-t-il, en France, une phase de déclin après des décennies de progression ? La part de logements individuels au sein de l’ensemble des résidences principales diminue et s’élève à 55,9 % en 2022 contre 56,6 % en 2015. Le nombre de nouveaux logements individuels construits, qui dépassait 250 000 par an au…
Mode de construction ancestral en terre crue, le pisé est surtout répandu en Rhône-Alpes et a longtemps été utilisé en zones rurales. Plus écologique que le béton, il présente aussi de nombreux avantages qui séduisent de plus en plus particuliers et collectivités.
Dans « La ville stationnaire », un ingénieur et deux architectes livrent leur plan de lutte contre l’artificialisation des sols : la ville écolo, la cité du futur, sera celle qui cesse de s’agrandir. Débutons par un paradoxe statistique. Sur les cinq dernières années, la population française a cru à hauteur de 165 000 personnes par an. Vu la moyenne de personnes par ménage (2,2 aujourd’hui, contre 3,1 en 1960), on peut s’attendre à une augmentation proportionnelle du nombre de logements, soit autour de 80 (...)
Dans les années 1970, à la suite de mai 68, il y eut en France un mouvement de “retour à la terre” d’urbains fuyant les villes et la société de consommation. Plusieurs mouvements de ce type se sont ensuite succédé jusqu’à aujourd’hui, avec la volonté de retrouver une vie plus en phase avec la nature. Faut-il les imiter pour limiter ses émissions de gaz à effet de serre, et plus généralement son empreinte environnementale ? 
, plusieurs technologies, qui sont des solutions inspirées de la nature, peuvent nous aider à réduire notre empreinte carbone et adapter nos villes aux changements climatiques. « Notre intérêt en matière de biodiversité ne date pas d’hier, rappelle-t-elle. La nature est une source d’inspiration forte de 3,7 milliards d’années d’évolution sur Terre couronnée de succès. »
Comprenant les nombreux bienfaits générés par les végétaux en milieu urbain, et forcées de répondre à une demande sociale de plus en plus forte, les métropoles occidentales se sont lancées depuis quelques années dans une véritable course à la végétalisation. Un mouvement qui pourrait bien redessiner le paysage urbain du 21ème siècle.
La croissance des villes est devenue insoutenable : le secteur de la construction est l’un des principaux émetteurs de gaz à effet de serre et engloutit des quantités énormes de ressources, pendant que l’étalement urbain dévore les sols naturels et agricoles.
Le plan régional Good Move est entré en application durant les vacances d’été et d’abord dans les quartiers populaires de la première ceinture bruxelloise. Ce sont les habitants de Cureghem qui se sont réveillés les premiers, un beau matin, au cœur d’un enfer urbain, dans une “prison à ciel ouvert”.
Utilisé depuis l’Antiquité, le béton a imposé sa suprématie dans la construction au xxe siècle, grâce à l’incorporation de l’acier qui a permis de créer le béton armé. Économique, abondant, il a permis une expansion matérielle sans précédent. Mais les effondrements de grandes structures en béton armé révèlent le caractère périssable de cette « pierre artificielle », tandis que son hégémonie continue d’engendrer pollution, corruption et uniformisation du monde.
Des méga feux aux inondations, l’été a montré qu’il était urgent d’adapter les territoires aux conséquences de la crise climatique. Mais pour les élus locaux et les spécialistes de l’aménagement du territoire, impossible d’agir sans prendre le temps de la réflexion et de la concertation.
Bruxelles - Urbanisme, environnement
« Paris face au changement climatique » : c’est le titre d’un essai intéressant paru ce mois-ci aux éditions de l’Aube. L’auteur, Franck Lirzin, a été l’un des dirigeants du groupe immobilier Gecina. Voici ci-dessous les éléments que j’en retiens.
Les références à la « biodiversité » dans les projets urbains comportent de nombreuses ambiguïtés. Tanguy Louis-Lucas s’est intéressé au rôle joué par les promoteurs dans la montée en puissance de cette thématique.
L’Europe a connu en juin un épisode caniculaire précoce et le mercure atteint des records historiques partout autour du globe. Les conséquences du réchauffement climatique se font particulièrement sentir dans les grandes villes. Comment lutter contre le phénomène d’îlot de chaleur urbaine ? Quelques pistes dans cette vidéo du journal “Le Temps”.
Et si une vie trop urbaine nous éloignait des enjeux environnementaux ? Des structures urbaines peu mobiles, un lien trop occasionnel avec le vivant, les villes auraient tendance à limiter nos connaissances et notre imaginaire sur les relations qu’entretiennent les écosystèmes. Pire encore, cette influence pernicieuse participerait à réduire l’adoption de bonnes pratiques en faveur de l’environnement. On vous explique ce nouveau lien révélé dans une étude menée par des chercheurs du National Institute of Standards and Technology.
En Argentine, la ville de San Carlos de Bariloche, dite plus couramment Bariloche, jouit d’un tourisme florissant. Pour y faire face, elle a mis en place un ambitieux plan pour un tourisme écologique à l’horizon 2025, qui concerne aussi d’autres domaines particulièrement émissifs comme le transport ou l’énergie.
Parler du changement climatique, c’est chaque fois convoquer les derniers événements catastrophiques auxquels nous faisons face. Qu’on pense à la vague de chaleur qui a fait plier l’Inde et le Pakistan récemment, qu’on pense à celles qui sont en train de toucher l’Europe, plus un mois ne se passe sans qu’un signal d’alerte ne soit émis. Inondations, canicules, incendies. Plus précoces, plus intenses, plus dévastateurs, ces épisodes nous rappellent toujours plus à notre fragilité et à l’urgence d’agir.
Depuis l’adoption en février 2020 de la loi anti-gaspillage pour une économie circulaire dite « loi AGEC », sa mise en œuvre s’est accélérée, avec la parution de plusieurs décrets d’application très attendus. L’économie circulaire a donc le vent en poupe, et notamment dans le domaine de l’urbanisme, à l’heure où les chantiers du Grand Paris Express et leurs 45 millions de tonnes de déblais font l’objet de controverses.
Immergés dans des bassins géants installés sous terre, des cristaux se forment lentement autour de tubes réfrigérants. En cette période de canicule, ce centre de stockage de glace participe à la climatisation du quartier d'affaires de La Défense. Dans un monde qui se réchauffe, les "réseaux de froid urbain" à l'échelle de quartiers ou de villes entières, encore très marginaux dans le monde, visent à offrir une alternative plus environnementale à la multiplication des climatiseurs individuels problématiques pour le climat.
Face à la vague de chaleur annoncée, la première ministre, Elisabeth Borne, va réunir, mardi 14 juin, les préfets de région et les directeurs des agences régionales de santé. Le gouvernement prévoit de créer un fonds de 500 millions d’euros pour la « renaturation » des villes, a annoncé la porte-parole Olivia Grégoire. Le gouvernement entend favoriser « le développement d’îlots de fraîcheur en ville en s’engageant très fortement à accompagner les collectivités locales dans l’adaptation aux conséquences du dérèglement climatique », a déclaré Mme Grégoire à l’issue du conseil des ministres. Aussi, ce fonds servira à « cofinancer, aux côtés des collectivités locales qui en expriment le besoin, ces opérations de renaturation. »
les arbres de grande taille ont une meilleure capacité à stocker du carbone (donc, à capter le carbone de l’air pour réduire le CO2 dans l’atmosphère), à diminuer la pollution atmosphérique, et permettent d’éviter plus efficacement le ruissellement des eaux pluviales.
Et si une vie trop urbaine nous éloignait des enjeux environnementaux ? Des structures urbaines peu mobiles, un lien trop occasionnel avec le vivant, les villes auraient tendance à limiter nos connaissances et notre imaginaire sur les relations qu’entretiennent les écosystèmes. Pire encore, cette influence pernicieuse participerait à réduire l’adoption de bonnes pratiques en faveur de l’environnement.