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haïti
Le gouvernement haïtien a dénoncé, lundi 9 décembre, le « massacre abject » survenu ce week-end dans la capitale, où près de 200 personnes ont été tuées selon l’ONU.
Depuis deux semaines, la capitale fait face à une nouvelle explosion de violences. Au total, 700 000 personnes sont déplacées dans ce pays des Caraïbes.
Au moins 150 personnes ont perdu la vie cette semaine à Port-au-Prince, capitale d'Haïti, s'est inquiété mercredi l'ONU, qui dénonce la "violence des gangs". Ces derniers avaient uni leurs forces en début d'année pour renverser le Premier ministre Ariel Henry.
Le groupe criminel Gran Grif, en guerre contre une milice d’autodéfense dans le département de l’Artibonite, aurait perpétré la tuerie jeudi. La violence ne faiblit pas malgré l’arrivée en juin de policiers kenyans pour aider à rétablir l’o
La situation en Haïti est "cataclysmique", avec 1.554 tués au cours des trois premiers mois de 2024, a alerté jeudi l'ONU, déplorant que les "frontières poreuses" facilitent l'approvisionnement des gangs en armes et munitions.
Le mois de janvier 2024 a été "le plus violent depuis plus de deux ans" en Haïti, a indiqué vendredi le Haut-Commissariat de l'Onu aux droits de l'homme à Genève (Suisse). Au moins 806 personnes ont été tuées, blessées ou kidnappées en janvier 2024 et quelque 300 membres de gangs ont également été tués ou blessés, soit un total de 1.108 personnes, trois fois le nombre enregistré en janvier 2023, précise le Haut-Commissariat dans un communiqué.
Vendredi 15 septembre dès 6h, toutes les frontières terrestres, maritimes et aériennes entre Haïti et la République Dominicaine seront fermées. L’annonce vient du Luis Abinader, Président de la République Dominicaine suite à un conflit autour des eaux de la Rivière Massacre partagées par Haïti et la République dominicaine.
Des dizaines de morts, des milliers d’habitations inondées : les intempéries du week-end ont laissé de profonds dégâts, aggravés par le manque de préparation du pays et l’insécurité, souligne “Le Nouvelliste”.
Des dizaines de morts, des milliers d’habitations inondées : les intempéries du week-end ont laissé de profonds dégâts, aggravés par le manque de préparation du pays et l’insécurité, souligne “Le Nouvelliste”.
La protection civile haïtienne a annoncé lundi un bilan de 42 morts et 11 disparus après des inondations et glissements de terrain dans sept des dix départements du pays. Selon l'ONU, plus de 13 000 personnes ont été déplacées par ces intempéries qui ont aussi causé d'importants dégâts matériels.
Haïti n'en finit pas de sombrer dans un chaos sécuritaire et politique. Depuis le début de l'année, plus d'un demi-millier de personnes sont mortes dans des violences liées à des groupes armés, selon l'ONU. Comment sortir de cette impasse ? Comment les Haïtiens s’organisent-ils face aux défaillances multiples ? France 24 a interrogé l’avocat Arnel Rémy, membre du barreau de Port-au-Prince et à la tête du Collectif des avocats pour la défense des droits de l'Homme (Caddho).
Le terminal de Varreux, situé au sud-ouest de la capitale Port-au-Prince, était tombé aux mains d’un gang le 12 septembre. Les affrontements se poursuivent sur place.
Alors que depuis plusieurs semaines le pays le plus pauvre d’Amérique latine est en proie à des pénuries, des pillages et des manifestations incessantes, des foyers de choléra ont été identifiés. Ce qui pourrait renforcer la “plus grande catastrophe des quarante dernières années”, écrit notamment le plus grand quotidien de Port-au-Prince, “Le Nouvelliste”.
Somalie, Haïti, Kenya, Afghanistan, Guatemala… Le risque de famine progresse de façon alarmante dans le monde et les conséquences du réchauffement climatique aggravent le phénomène. Une étude d’Oxfam sur dix pays particulièrement exposés aux catastrophes climatiques, comme la sécheresse, montre que le nombre de personnes souffrant gravement de la faim y a plus que doublé depuis 2016.
L’un des entrepôts pillés contenait 1 400 tonnes de nourriture destinée aux repas scolaires des enfants les plus pauvres. Port-au-Prince a enregistré vendredi sa quatrième journée consécutive de violences.
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Depuis plus de deux ans, les gangs, qui jouissent d’une très large impunité, ont étendu leur emprise territoriale au-delà des bidonvilles de la capitale haïtienne.
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Désabusés face au chaos politique qui prévaut depuis des mois, les Haïtiens sont, depuis le début de la semaine, confrontés à une dégradation effrénée de leurs conditions de vie à cause des gangs qui contrôlent les accès aux terminaux pétroliers.
Le bilan du séisme qui a ravagé Haïti le 14 août a fait plus de 2.200 morts et détruit une région entière. Aujourd'hui, le pays peine à se relever, et pour cause, les aides humanitaires n'accèdent que très difficilement aux zones sinistrées.
Le séisme s'est produit à 8H29 heure locale (12h29 GMT) à 12 km de la ville de Saint-Louis-du-Sud, située à quelque 160 km de la capitale haïtienne Port-au-Prince, selon les données de l'Institut américain de géophysique (USGS).
Des équipes de sauveteurs cherchaient des survivants dimanche en Haïti au lendemain d’un séisme de magnitude 7,2, dont le bilan s’est alourdi dimanche, atteignant 724 morts et plus de 2800 blessés enregistrés, selon les services de protection civile du pays.
Au moins 724 personnes ont été tuées et 2 800 blessées dans un tremblement de terre samedi. Avant le passage de la tempête tropicale Grace ce lundi, les secours tentent de dégager les victimes et de soigner les blessés, entravés par l’insécurité et le manque criant de moyens.
Des centaines d’Haïtiens, contraints de fuir leur domicile face aux affrontements entre gangs dans un quartier de l’ouest de Port-au-Prince, ont reçu une première assistance humanitaire, a fait savoir, dimanche 6 juin, la protection civile haïtienne.