Avions, aviation, aéronautique, trafic aérien, aéroports, …
Pour voir les références d’un(e) auteur(e), cliquez sur son nom. Pour revenir à la page, utilisez le bouton refresh ci-dessous.
Résultats pour:
aviation co2
Le Réseau Action Climat propose une série de mesures pour « réduire le trafic aérien de manière juste et efficace ». L’idée la plus notable consiste à taxer plus fortement les voyageurs qui prennent souvent l’avion.
D'après une étude, les avions modernes volant à haute altitude créent des traînées de condensation qui durent plus longtemps que celles des modèles plus anciens (volant plus bas). Ainsi, ces traînées persistantes contribueraient davantage au changement climatique que le carbone produit par la combustion du carburéacteur.
L’entrepreneur Thomas Guyot alerte, dans une tribune au « Monde », sur la contradiction entre la hausse du trafic aérien et ce que l’on sait de son incidence sur le climat.
Selon une étude britannique, bien que les déplacements internationaux ne représentent que 0,4 % des voyages, ils sont responsables de 59,1 % des émissions de CO2. Des résultats clairs qui donnent un aperçu des impacts positifs qui pourraient être obtenus par un simple changement de comportement.
Pour celles et ceux qui ont les moyens de fréquenter les aéroports, se pose avec toujours plus d’acuité la question de l’impact sur le réchauffement climatique de ce mode de déplacement. L’occasion de repenser le rapport aux voyages.
Selon une nouvelle étude de l’ONG Transport & Environment, les compagnies low-cost ont vu leurs émissions carbone s’envoler en 2023.
Le gouvernement s’est réjoui d’une baisse de nos émissions de CO2. Las, celle qui touche le secteur des transports, très polluant, est toujours loin d’être suffisante.
Une nouvelle étude publiée par plusieurs organisations ce jeudi 22 février révèle l’impact de 1 300 aéroports sur le climat et la santé humaine.
Et si, en matière de tourisme on optait pour une une innovation audacieuse ? le passeport carbone, pourrait contribuer à réduire l'empreinte environnementale des voyages aériens et maritimes.
L’activité humaine contemporaine émet dans l’atmosphère des gaz à effet de serre en telle quantité que le climat en est modifié. L’humanité doit - nous devons - réduire drastiquement les émissions dès à présent afin de maintenir des conditions favorables à la vie sur Terre. La dépendance de toute notre économie aux énergies fossiles est la principale cause de ces émissions. Pour réaliser des actes aussi fondamentaux que manger, se loger, se vêtir, se déplacer, nous brûlons généralement des combustibles fossiles. Se déplacer en avion est aujourd’hui un moyen très efficace de rejoindre le lointain : ce mode de transport permet un élargissement des horizons. C’est en revanche aussi une des manières les plus efficaces d’émettre une quantité importante de gaz à effet de serre dans un temps court1 . L’usage de l’avion de manière régulière est par ailleurs réservé à une faible part de la population mondiale. Même au sein d’un pays occidental comme la France, la « démocratisation » annoncée n’a pas vraiment eu lieu2
Le plan du gouvernement vise à réduire les émissions françaises de gaz à effet de serre (GES) de 33,8 % en 2030 par rapport à 2022. Mais sans contraintes, certains secteurs continueront d’aller dans le mauvais sens.
La France n’a pas respecté ses objectifs climat et énergie en 2022. Les associations écologistes réclament des mesures fortes. Le gouvernement, lui, reste flou sur la méthode qu’il compte employer.
Les débats sur l’avenir du trafic aérien occultent que le recours à l’avion demeure réservé à une minorité.
Le secteur des transports fait régulièrement l'objet de comparaisons, souvent orientées par les promoteurs de tel ou tel moyen, sur leur impact environnemental. Les uns se réclament parfois plusieurs fois plus vertueux que les autres, et réciproquement, à jeu d'arguments plus ou moins fondés, souvent focalisés sur l'aspect ou le poste sur lequel ils excellent.
D'un côté, on a la crise climatique. Et de l'autre, on a un redécollage en trombe du secteur aérien après la pandémie.
Malgré les polémiques sur l’impact environnemental démesuré de l’aviation privée, la flotte mondiale de jets privés a plus que doublé en vingt ans et le nombre de vols a atteint un nouveau record en 2022.
Ceux qui prophétisaient la fin des voyages d’affaires se sont trompés : les cadres du monde entier ont déjà laissé tomber les réunions Zoom pour reprendre l’avion, rapporte le “Financial Times”.
Ces changements apportés à l'un des plus grands hubs aériens d'Europe devraient entrer en vigueur à partir de 2025-2026.
Interdire les jets privés, c’est le but d’une proposition de loi très simple, débattue en commission par les députés le 28 mars. « Certaines pratiques des riches ne sont pas acceptables », explique une députée EELV. Mardi 28 mars au soir, la commission du développement durable de l’Assemblée nationale examinera la proposition de loi pour interdire les jets privés. Elle est présentée par les députés écologistes dans le cadre de leur niche parlementaire. La députée Europe Écologie-Les Verts (EELV) de (...)
La transition environnementale créera davantage d’emplois qu’elle n’en détruira.