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D'après une étude, les avions modernes volant à haute altitude créent des traînées de condensation qui durent plus longtemps que celles des modèles plus anciens (volant plus bas). Ainsi, ces traînées persistantes contribueraient davantage au changement climatique que le carbone produit par la combustion du carburéacteur.
L’entrepreneur Thomas Guyot alerte, dans une tribune au « Monde », sur la contradiction entre la hausse du trafic aérien et ce que l’on sait de son incidence sur le climat.
Selon une étude britannique, bien que les déplacements internationaux ne représentent que 0,4 % des voyages, ils sont responsables de 59,1 % des émissions de CO2. Des résultats clairs qui donnent un aperçu des impacts positifs qui pourraient être obtenus par un simple changement de comportement.
Selon une nouvelle étude de l’ONG Transport & Environment, les compagnies low-cost ont vu leurs émissions carbone s’envoler en 2023.
Un collectif de huit chercheurs, ingénieurs et experts de l’aéronautique et de l’environnement appelle, dans une tribune au « Monde », à dépasser les clivages pour s’entendre sur des solutions concrètes de décarbonation de la filière, y compris la sobriété.
La quantité d'électricité à produire pour atteindre les objectifs fixés par l’UE en matière d’électro-carburants est incompatible avec une hausse conséquente du trafic.
Et si, en matière de tourisme on optait pour une une innovation audacieuse ? le passeport carbone, pourrait contribuer à réduire l'empreinte environnementale des voyages aériens et maritimes.
Une "innovation intense", portée par une poignée de néo-constructeurs aéronautiques: l'aviation légère accélère pour relever le défi de sa décarbonation, même s'il reste encore des obstacles à franchir. "En ce moment, l'innovation est intense, surtout avec le décarboné", analyse Bruno Darboux, président du pôle Aerospace Valley, qui évoque une accélération de la filière "jamais vue auparavant".
Les débats sur l’avenir du trafic aérien occultent que le recours à l’avion demeure réservé à une minorité.
Alors que le Salon du Bourget bat son plein, de plus en plus de critiques s’élèvent contre le transport aérien en raison de son fort impact climatique.
La décarbonation du secteur aérien est au cœur du Salon du Bourget, qui a ouvert ses portes le 19 juin. Pour façonner "l’avion vert", l’industrie privilégie le développement des carburants durables. Biocarburants, carburants de synthèse ou hydrogène, France 24 décrypte différentes pistes mises en avant et leurs limites.
Des carburants non fossiles aux nouveaux moteurs et matériaux, le secteur aérien, sous pression pour réduire son impact sur le climat, devra jouer sur tous les leviers pour espérer atteindre la neutralité carbone tout en continuant à transporter des milliards de passagers.
Des alternatives virtuelles ou en train sont privilégiées pour éviter les trajets en avion.
Air France a dû revoir sa copie. La compagnie proposait depuis cette année à ses passagers une option "environnement" pour réduire l’empreinte carbone de leur vol. Une pratique trompeuse selon plusieurs associations qui ont interpellé l’entreprise dans une tribune et une pétition. Si Air France a fait marche arrière, ce n’est pas la première fois qu’elle se fait rappeler à l’ordre sur sa stratégie de compensation carbone.
Toutes les compagnies aériennes doivent renoncer à cette pratique mensongère
Ces calculs omettent souvent les émissions indirectes et importantes liées à la construction des infrastructures nécessaires.
De plus en plus de personnes se demandent quelle est l’empreinte carbone d’un trajet en avion, et c’est tant mieux. Le problème, c’est qu’il existe plusieurs calculateurs, plus ou moins anciens, et qui très souvent prennent très peu de critères en compte et oublient parfois des données essentielles.
Le français Engie et l'américain Infinium ont dévoilé lundi un partenariat pour produire à partir de 2026 des carburants synthétiques neutres en carbone pour l'aviation ou le transport maritime, à partir du CO2 émis par les hauts fourneaux du sidérurgiste ArcelorMittal à Dunkerque.
L'introduction d'avions propulsés à l'hydrogène à partir de 2035 permettra de limiter les émissions de CO2 mais pas de réduire à eux seuls l'empreinte carbone du secteur aérien, selon une étude de l'ONG International Council on Clean Transportation (ICCT) publiée mercredi.
Des matériels de piste au roulage des avions, la réduction de l'empreinte environnementale du transport aérien passe aussi par l'optimisation des opérations au sol, à l'impact certes infime par rapport aux émissions des avions en vol mais où les gains peuvent être immédiats.