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2024

Alors que les combats entre l'armée israélienne et le Hamas sont poursuivies mardi dans plusieurs secteurs de la bande de Gaza, la Défense civile, organisme dépendant du Hamas, a annoncé mardi la mort de 57 personnes dans plusieurs frappes israéliennes.
Des groupes armés palestiniens de Gaza ont commis "des centaines" de crimes de guerre lors de l'attaque sans précédent du 7 octobre en Israël, selon Human Rights Watch (HRW), qui a publié, mercredi, un rapport sur le sujet, aussitôt démenti par le Hamas.
Alors que cette semaine l’armée israélienne a lancé une nouvelle opération d’envergure sur la ville de Gaza, dix experts indépendants des Nations unies ont accusé Israël de « mener une campagne de famine ciblée à Gaza ». Francesca Albanese, rapporteuse spéciale de l'ONU sur la situation des droits de l’homme dans les territoires palestiniens, est l’une des autrices de ce compte rendu. Elle a répondu aux questions de RFI.
Les Israéliens se concentrent désormais sur la destruction des infrastructures du Hamas.
Israël continue de bombarder la bande de Gaza mardi, émettant des ordres d'évacuations qui ont contraint des centaines d'habitants à fuir à nouveau plusieurs secteurs du sud du territoire palestinien, déjà dévasté par près de neuf mois de guerre. L'agence de l'ONU pour les réfugiés palestiniens (Unrwa) estime "qu'environ 250 000 personnes ont été touchées par ces ordres".
Une enquête publiée ce mardi 25 juin par le consortium «Forbidden Stories» révèle que plus de cent journalistes, essentiellement palestiniens, ont été tués. Tsahal a affirmé «ne pas blesser intentionnellement des journalistes».
Les accusations d’antisémitisme proférées par les autorités israéliennes font mouche dans la population, prise dans les méandres de la politique israélienne sur fond de bruits de canons.
Le secrétaire d'État américain Antony Blinken a qualifié la réponse du Hamas de "signe d'espoir".
“The Wall Street Journal” a eu accès aux messages de Yahya Sinwar envoyés aux membres du Hamas participant aux négociations autour d’une trêve avec Israël. Abondamment repris dans la presse israélienne, ils révèlent le “froid mépris pour la vie humaine” du cerveau des massacres du 7 octobre.
L'ambassadeur israélien aux Nations unies a annoncé vendredi avoir été notifié de l'ajout de l'armée israélienne à la "liste de la honte" de l'ONU, qui doit être publiée le 18 juin et recense les responsables de violations des droits des enfants dans des zones de conflit. Le Hamas aurait également été inclus, rapporte une source diplomatique.
Alors que les médiateurs accentuent la pression pour qu'Israël et le Hamas acceptent un plan de Cessez-le-feu à Gaza, le ministre israélien de la Défense a affirmé que le mouvement islamiste palestinien ne pourrait gouverner Gaza et que l'État hébreu était en train de "préparer une alternative de gouvernement".
Le mouvement islamiste palestinien Hamas a jugé "positive" vendredi soir la nouvelle feuille de route israélienne en vue d'un cessez-le-feu dans la bande de Gaza et de la libération d'otages dévoilée par le président américain Joe Biden.
La Défense civile de la bande de Gaza a annoncé mardi la mort de 21 personnes dans une frappe israélienne sur un camp de déplacés dans le sud du territoire palestinien, deux jours après un bombardement similaire à Rafah. La Maison-Blanche continue de juger qu’Israël n’a pas lancé contre cette ville du sud de la bande de Gaza une offensive “majeure”, susceptible de remettre en cause le soutien américain.
L’Autorité palestinienne a accusé Israël d’avoir perpétré « un massacre » dimanche, en frappant un centre pour personnes déplacées à Rafah. L’attaque, qui a fait au moins 35 morts selon les autorités de Gaza, a été confirmée par l’armée israélienne, qui assure avoir visé « un quartier général du Hamas ».
En bombardant un camp de déplacés dans la grande ville du sud de Gaza, faisant plusieurs dizaines de morts, l’État hébreu répond avec horreur à la Cour internationale de justice, qui lui a ordonné de suspendre ses opérations militaires, estime le journal palestinien “Al-Quds”.
La Belgique espère réunir un large groupe de pays européens afin d'aboutir à une reconnaissance de l'État palestinien dans le cadre d'un processus qui mettrait fin à la violence en cours depuis le 7 octobre, a expliqué lundi le Premier ministre, Alexander De Croo, à l'issue d'un entretien à Bruxelles avec son homologue palestinien, Mohammad Mustafa, en compagnie de la ministre belge des Affaires étrangères, Hadja Lahbib.
Le secrétaire général de l'ONU Antonio Guterres a condamné lundi une frappe israélienne à Rafah qui a fait des dizaines de morts, soulignant que "ces horreurs doivent cesser".
La branche armée du Hamas palestinien a dit dimanche avoir visé Tel-Aviv avec un "important barrage de roquettes" dans un message publié sur le réseau social Telegram.
Le ministère des Affaires étrangères du gouvernement espagnol du socialiste Pedro Sánchez a averti samedi Israël que les ordonnances émises par la Cour internationale de justice (CIJ) sont "contraignantes" et a exigé leur respect.
Le procureur de la CPI a réclamé ce mardi des mandats d’arrêt contre deux dirigeants de l’Etat israélien, parmi lesquels le Premier ministre, et du Hamas.
Lundi 20 mai, Kharim Khan, le procureur de la Cour pénale internationale, a demandé que soient émis des mandats d’arrêt contre le Premier ministre israélien, son ministre de la Défense, le chef du Hamas à Gaza et deux autres responsables du mouvement palestinien. Un coup dur pour les dirigeants de l’État hébreu qui redoutaient cette décision et qui avaient tenté de s’y opposer, commente la presse internationale.
Un groupe de militants pacifistes israéliens ont tenté de protéger dimanche un convoi humanitaire à destination de la bande de Gaza, pour empêcher qu'il soit attaqué par des activistes israéliens comme d'autres ces derniers jours, a constaté une correspondante de l'AFP.
Madrid a refusé à un navire transportant une cargaison d'armes à destination d'Israël l'autorisation d'accoster dans un port espagnol, a déclaré jeudi le ministre espagnol des Affaires étrangères, Jose Manuel Albares.
De violents combats ont eu lieu lundi entre les soldats israéliens et le Hamas à Rafah et à Jabaliya, dans le sud et dans le nord de la bande de Gaza. Des Palestiniens ont continué de fuir des secteurs de Rafah, mais certains disent ne pouvoir partir faute de moyens.
Les bombardements israéliens ont largement mis à mal les infrastructures de santé dans la bande de Gaza. Le Comité international de la Croix-Rouge (CICR) a ouvert mardi un hôpital de campagne de 60 lits à Rafah avec 11 sociétés nationales.
«The New York Times» s’est procuré sept dossiers des services de renseignement du mouvement islamiste entre 2016 et 2023. Via un réseau d’informateurs, le Hamas y compilait des renseignements sur des milliers de Palestiniens.
Une offensive terrestre israélienne sur Rafah conduirait à une "catastrophe humanitaire colossale", a prévenu vendredi le secrétaire général de l'ONU, Antonio Guterres, au moment où les opérations militaires contre le Hamas dans cette ville surpeuplée paralysent l'entrée de l'aide dans la bande de Gaza.
Tsahal a appelé ce lundi 6 mai les Gazaouis présents dans l’est de la ville à rejoindre des «zones humanitaires», assurant débuter une «opération d’ampleur limitée» dans la ville du sud de la bande de Gaza.
Le premier ministre israélien a déclaré que son pays « ne [pouvait] accepter » la demande du mouvement palestinien que l’accord prévoit la fin définitive des hostilités dans la bande de Gaza.
Les 88 parlementaires, auteurs d’une lettre adressée au président, précisent cependant que doivent être exclus de cette possible suspension de l’aide américaine les systèmes israéliens de défense antimissile, comme le Dôme de fer.
Le Hamas doit donner sa réponse à la contre-proposition de pause des combats amendée par Israël. Sous couvert d’anonymat, un membre du mouvement islamiste palestinien a affirmé qu’il n’y avait «aucun problème majeur» dans le texte.
Une proposition de cessez-le-feu dans la bande de Gaza a été présentée au Hamas, prévoyant une cessation des hostilités pendant 40 jours associée à la libération d’otages et de prisonniers, a déclaré lundi à Ryad le ministre britannique des Affaires étrangères, David Cameron.
Un responsable local parle d’une opération « sans précédent » dans le camp de déplacés de Nour Shams, en Cisjordanie. Ismaïl Haniyeh, chef de file du Hamas, a été reçu par le président turc, Recep Tayyip Erdogan.
« Le Moyen-Orient est au bord du précipice. Les derniers jours ont vu une escalade dangereuse, par les mots et les actions », a déclaré jeudi le secrétaire général de l’ONU, Antonio Guterres. Il a dénoncé la situation des 2,4 millions de Palestiniens endurant « la mort, la destruction, le déni d’aide humanitaire vitale », et la faim.
Il reste encore 129 Israéliens entre les mains du Hamas, dont 34 sont morts selon Tel Aviv. L’organisation islamiste palestinienne dit avoir besoin de «temps et de sécurité» pour les retrouver, car ils se trouvent détenus par «différents gr
L’Union européenne a annoncé ce vendredi 12 avril avoir sanctionné les branches militaires du Hamas et du Jihad Islamique pour des pratiques «systématiques» lors de l’attaque terroriste du 7 octobre sur l’Etat hébreu.
Àla une de la presse ce vendredi matin, une nouvelle information sur la guerre à Gaza : Israël a utilisé l’intelligence artificielle pour localiser 37.000 cibles. Nom du système : Lavende. Difficile, selon le Washington Post, de trouver un sobriquet plus aérien que celui-là. À l’origine de l’information, six officiers des services de renseignements israéliens qui ont témoigné dans une enquête détaillée par deux médias israéliens.
Le président américain Joe Biden a pressé jeudi le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu de "conclure sans délai un accord" pour un "cessez-le-feu immédiat" dans la bande de Gaza.
L'armée israélienne a annoncé lundi que 600 de ses soldats ont été tués depuis le 7 octobre 2023, date du début de la guerre avec le mouvement islamiste palestinien Hamas dans la bande de Gaza.
Le Hezbollah et son allié Amal ont annoncé mercredi soir huit morts dans leurs rangs, parmi lesquels des secouristes, dans des frappes israéliennes dans le sud du Liban portant à 16 le nombre de victimes d'une journée d'échanges de tirs transfrontaliers.
Le secrétaire général de l’ONU Antonio Guterres a salué lundi l’adoption par le Conseil de sécurité d’une résolution exigeant un cessez-le-feu "immédiat" à Gaza et la libération des otages, estimant que ne pas l’appliquer serait "impardonnable".
Les Etats-Unis avaient déposé à l’ONU un projet appelant à un cessez-le-feu immédiat et durable, rappelant le risque de famine dans l’enclave palestinienne. Jusqu’ici, Washington, principal allié d’Israël, a mis son veto à plusieurs résolutions appelant à des cessez-le-feu.
L’armée israélienne mène depuis quatre jours une opération dans le complexe hospitalier Al-Chifa, dans la bande de Gaza, où elle a annoncé, jeudi, avoir déjà tué "plus de 140" combattants palestiniens.
Washington a confirmé lundi la mort du chef adjoint de la branche armée du groupe islamiste palestinien, Marwan Issa. C’est le responsable le plus haut placé tué sur ce territoire par l’armée israélienne depuis le début de la guerre.
Depuis plusieurs semaines, le risque de famine est évoqué dans la bande de Gaza, sans pour autant qu'elle ne soit décrétée. L'ONU a annoncé lundi que d'ici fin mai, en l'absence de mesures "urgentes", le nord de l'enclave basculerait au niveau le plus élevé d'insécurité alimentaire, tant en termes d'ampleur que de gravité. France 24 revient sur les critères stricts pour déclarer l'état de famine dans un territoire.
L’Organisation mondiale de la santé s’est, elle, dite « terriblement préoccupée » par les combats près de l’hôpital Al-Shifa. Le Hamas a dénoncé un « crime de guerre », affirmant que des milliers de personnes étaient réfugiées dans l’hôpital.
Le mouvement islamiste avait critiqué la nomination de l’économiste Mohammad Mustafa au poste de premier ministre de l’Autorité palestinienne, susceptible d’« aggraver les divisions » entre Palestiniens.
Le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahou a validé le plan d’invasion de Rafah. Son cabinet annonce vendredi que les préparatifs pour évacuer les civils peuvent débuter.
Un premier bateau chargé de vivres pour la population affamée par plus de cinq mois de guerre est arrivé vendredi au large de la bande de Gaza, au moment où les Palestiniens se rassemblaient sous tension pour la première grande prière depuis le début du ramadan.
La nomination d'un fidèle de Mahmoud Abbas au poste de Premier ministre palestinien va "renforcer les divisions" et prouve la "déconnexion de l'Autorité palestinienne de la réalité", ont dénoncé vendredi le Hamas, le Jihad islamique et d'autres formations.
Un premier bateau chargé de vivres est en route mercredi pour la bande de Gaza où la population est menacée par la famine, en plus des bombardements, après cinq mois de guerre entre Israël et le Hamas sans trêve à l'horizon.
Le navire, qui s’apprête à quitter Chypre, appartient à l’organisation caritative espagnole Open Arms et transportera des denrées alimentaires fournies par l’organisation caritative américaine World Central Kitchen.
Ce port temporaire, qui prendrait la forme d’un ponton flottant, devrait permettre d’acheminer davantage d’aide humanitaire dans l’enclave, par voie maritime.
L'établissement et l'expansion de colonies israéliennes dans les territoires palestiniens occupés relève "du crime de guerre" et "risque d'éliminer toute possibilité pratique d'établir un Etat palestinien viable", a mis en garde vendredi l'ONU.
Une trentaine d'artistes et universitaires belges ont lancé une pétition en ligne pour appeler au boycott d'Israël, alors que les bombardements et l'offensive terrestre menés par l'État hébreu ont fait plus de 30.000 morts à Gaza, en majorité des civils, selon le ministère de la Santé du Hamas.
Cinq mois après le début de la riposte israélienne à Gaza en réponse aux massacres du Hamas, le 7 octobre 2023, l’étroite bande de terre palestinienne a été rendue en bonne partie inhabitable. Il est inutile d’invoquer la solution des deux Etats si ce territoire martyrisé reste un champ de ruines.
Tout comme le «oui mais» après le 7 octobre nous a meurtris, rien ne justifie une telle accumulation de morts civils, rien ne justifie de laisser la famine gagner la bande de Gaza,
Symbole d'unité nationale dans le conflit face au Hamas, le cabinet de guerre israélien est secoué par la rivalité politique entre le Premier ministre Benjamin Netanyahu et le centriste Benny Gantz, en tête des intentions de vote.
Les rebelles yéménites ont attaqué le navire dans le golfe d’Aden ce mercredi 6 mars. Un responsable américain annonce deux morts et six blessés.
Critiquées régulièrement par Israël en raison de leur supposé silence sur le sujet, les Nations Unies documentent dans un rapport publié lundi 4 mars des violences sexuelles commises par le mouvement terroriste palestinien.
Les tensions sont encore montées lundi entre Israël, qui a accusé l'UNRWA d'employer "plus de 450 terroristes" à Gaza, et l'agence onusienne qui a rapporté des "tortures" subies par ses employés arrêtés dans le territoire palestinien.
Le chef de l'UNRWA tire la sonnette d'alarme.
Des milliers de personnes sont à nouveau descendues dans les rues de nombreuses villes israéliennes samedi soir pour manifester contre le gouvernement du Premier ministre Benjamin Netanyahu et pour exiger la libération des otages restant encore détenus par le groupe islamiste palestinien Hamas.
Un haut responsable américain a assuré samedi qu’Israël avait “plus ou moins” donné son accord pour une trêve dans la guerre à Gaza et que désormais “la balle était dans le camp du Hamas” pour qu’elle entre en vigueur.
Le ministère du territoire administré par le Hamas fait état d’au moins 104 morts et 760 blessés dans la ville de Gaza, accusant l’armée israélienne de « massacre ». Cette dernière dit que « des dizaines de Gazaouis ont été blessés par des bousculades et des piétinements ».
Des soldats de Tsahal ont tiré à balles réelles sur des Palestiniens qui se ruaient sur des camions d’aide humanitaire à Gaza. Des sources israéliennes, qui ont confirmé ces tirs, ont indiqué que les soldats se sont sentis «menacés».
L'Égypte, le Qatar, les États-Unis, la France et d'autres pays tentent de négocier depuis plusieurs semaines un nouveau cessez-le-feu entre Israël et le Hamas. Une délégation israélienne menée par le chef du Mossad, les services de renseignement extérieurs, était à Paris le week-end dernier pour des discussions sur un possible accord de trêve à Gaza, incluant la libération d'otages sur les 130 toujours entre les mains du Hamas.
Plusieurs responsables de l’ONU ont déploré ce mardi 27 février devant le Conseil de sécurité la propagation de la famine dans l’enclave palestinienne, assiégée et bombardée par Israël. Le nord du territoire est particulièrement menacé.
Le gouvernement de l’Autorité palestinienne (AP) a remis lundi sa démission au président Mahmoud Abbas. L’entité gouvernementale qui gouverne avec des pouvoirs limités en Cisjordanie occupée est vivement critiquée depuis le 7 octobre par les Palestiniens de l'intérieur pour son “impuissance” face à Israël à Gaza et en Cisjordanie occupée. Ce changement d’exécutif à venir semble être “un petit pas dans la bonne direction” en vue d’une réforme de l’AP, mais le chemin est encore long.
Le gouvernement de l'Autorité palestinienne, qui siège en Cisjordanie occupée, a remis lundi sa démission au président Mahmoud Abbas, a déclaré le Premier ministre Mohammed Shtayyeh.
Répondant à la publication du premier plan israélien pour l’après-guerre avec le Hamas, le chef de la diplomatie américain a réaffirmé son opposition à la réoccupation militaire de Gaza, et en a profité pour dénoncer les colonies en Cisjordanie.
L’agence de l’ONU pour les réfugiés palestiniens (UNRWA) a atteint un "point de rupture", a mis en garde jeudi son patron Philippe Lazzarini dans une lettre au président de l’Assemblée générale de l’ONU.
Le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu a proposé un plan pour l'après-guerre dans la bande de Gaza prévoyant la gestion du territoire par des responsables palestiniens locaux, ont rapporté vendredi les médias israéliens.
Les attaques du Hamas perpétrées en Israël le 7 octobre ont donné lieu à des violences sexuelles systématiques et préméditées, selon un rapport d'une organisation israélienne. Elle décrit ces exactions comme une partie intégrante des agressions criminelles.
Ces violences ont été perpétrées par le Hamas « délibérément contre les civils israéliens », note document, fondé sur les récits de témoins.
L'ONG Médecins sans frontières (MSF) a dénoncé mercredi "avec la plus grande fermeté" une frappe israélienne contre une de ses résidences dans le sud de la bande de Gaza, fatale à deux membres de la famille d'un de ses employés.
« Nous avons besoin d’un cessez-le-feu maintenant ! Les otages doivent être libérés, les bombes doivent cesser de tomber et l’accès à l’aide humanitaire doit être libre. L’humanité doit prévaloir », a insisté Tedros Adhanom Ghebreyesus.
Trois agences des Nations Unies, ont publié un rapport sur le risque croissant de décès d’enfants dans la bande de Gaza. Il dénonce une situation «sans précédent dans le monde».
Le Programme alimentaire mondial (PAM) des Nations unies a annoncé suspendre de nouveau la distribution de l’aide dans le nord de la bande de Gaza
L'armée israélienne mène depuis jeudi une opération dans l'hôpital Nasser de Khan Younès, dans le sud de la bande de Gaza, où, selon des "renseignements crédibles", auraient été retenus des otages du Hamas. Elle a affirmé vendredi avoir arrêté 20 personnes en lien avec l'attaque du 7 octobre. Le ministère de la Santé du mouvement islamiste palestinien fait état, pour sa part, de plusieurs patients morts dans l'établissement hospitalier. Médecins sans frontières parle de son côté d'une "situation chaotique" sur place.
Quatre civils, dont une femme et deux enfants, ont été tués et neuf personnes blessées mercredi dans des raids israéliens sur le sud du Liban, a indiqué une source de sécurité libanaise à l'AFP.
Des négociations se tiennent actuellement au Caire.
Alors qu'il est question d'une offensive de l'armée israélienne contre Rafah dans le sud de l'enclave palestinienne de Gaza, le gouvernement israélien a proposé d'évacuer la population vers des campements de tentes à la frontière avec l'Égypte, selon des informations de presse.
Israël a mené une opération nocturne à Rafah ce dimanche soir, devenue un gigantesque campement pour les réfugiés Palestiniens.
Le "corridor de Philadelphie" est une zone tampon entre la bande de Gaza et l’Égypte. Ce couloir de 100 mètres de large et de 14 km de long pourrait représenter la seule voie de passage pour des centaines de milliers de Palestiniens en cas d’offensive majeure de l’armée israélienne à Rafah. Benjamin Netanyahu affirme depuis des semaines vouloir prendre le contrôle de ce couloir, une menace qui inquiète les autorités égyptiennes. Décryptage.
L'armée et l'agence de la sécurité intérieure israéliennes ont affirmé samedi avoir découvert un tunnel du mouvement islamiste Hamas sous le quartier général de l'agence de l'ONU pour les réfugiés palestiniens (Unrwa) dans la ville de Gaza.
La perspective d’une trêve entre Israël et le Hamas s’éloigne. Le Premier ministre Benjamin Netanyahu a balayé mercredi d’un revers de la main les minces espoirs apparus ces derniers jours alors que les efforts diplomatiques semblaient tendre vers une désescalade. Décryptage.
Otage du Hamas, Agam Goldstein, jeune femme de 18 ans, a été libérée il y a deux mois et demi. Elle témoigne cette semaine dans Paris Match, avec d’autres, des abus sexuels subis par celles qui ont partagé le même sort et sont toujours à Gaza.
Les Pays-Bas ont pour la première fois largué des produits de secours dans l'enclave palestinienne de Gaza. La défense néerlandaise a mené l'opération avec la Jordanie, avec un avion C-130. Il s'agit avant tout de produits médicaux, qui ont été largués à proximité d'un hôpital de campagne opéré par la Jordanie à Gaza. L'opération a couté environ 1 million d'euros. La Défense néerlandaise a publié sur son site internet des images de la cargaison, avec des drapeaux néerlandais et jordaniens.
Depuis près de quatre mois, l'armée israélienne et le Hamas s’affrontent dans la bande de Gaza. Des combats à la surface, mais également dans les tunnels de l’enclave, un véritable dédale souterrain qui ne cesse de révéler ses surprises.
Le mouvement islamiste palestinien Hamas s'est montré ouvert à des discussions sur la libération d'otages israéliens, tandis qu'Israël aurait proposé un cessez-le-feu de deux mois en échange de ces libérations, ont rapporté mercredi plusieurs médias américains.
Le mouvement islamiste demande également « l’arrêt immédiat de l’agression israélienne de Gaza, des meurtres et du nettoyage ethnique commis contre l’ensemble de la population de Gaza ».
Les services médicaux ne sont pour l’instant pas en mesure de savoir d’où provient le champignon qui aurait tué un soldat.
S’exprimant à l’université de Valladolid, le responsable de la politique étrangère de l’Union européenne a déclaré que le mouvement islamiste palestinien, créé en 1987, avait été « financé par le gouvernement israélien pour tenter d’affaiblir l’Autorité palestinienne du Fatah ».
Le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu a publiquement affirmé, jeudi, son opposition à l'existence d'une "souveraineté palestinienne". Mais les États-Unis, soutien majeur d’Israël dans opération contre le Hamas, ne cessent de présenter la création d'un État palestinien comme la condition d’une "véritable sécurité". Jusqu'où l'État hébreu peut-il faire fi des volontés de son allié historique ? Décryptage.
C’est une déclaration qui fait du bruit, vendredi soir, lors d’une conférence dans une université espagnole, Josep Borrel, le chef de la diplomatie européenne a accusé Israël d’avoir "créé" et "financé" le mouvement islamiste palestinien Hamas, au pouvoir à Gaza et à l’origine de l’attaque sans précédent du 7 octobre en sol israélien. "Le Hamas a été financé par le gouvernement israélien pour tenter d’affaiblir l’Autorité palestinienne du Fatah. Mais si nous n’intervenons pas fermement, la spirale de la haine et de la violence se poursuivra de génération en génération, de funérailles en funérailles", a-t-il déclaré. Mais est-ce la réalité ? Est-ce qu'historiquement, le Hamas a été soutenu par le gouvernement israélien? Nous avons posé la question à Michel Liégeois, professeur de Relations internationales à l’UCLouvain : "Le problème n’est pas tellement que ce que monsieur Borrell dit est inexact ou faux, mais c’est que ce n’est pas suffisamment contextualisé et détaillé", explique l’expert.
Des dizaines de Palestiniens ont été tués dans des frappes israéliennes jeudi dans la bande de Gaza, où l'armée a annoncé une progression de ses soldats dans la ville méridionale de Khan Younès et de violents combats contre le Hamas.
Le secrétaire général de l’Onu, Antonio Guterres, a averti mercredi qu’une "confrontation totale" entre Israël et le Liban serait un "désastre complet", sur fond de craintes d’un embrasement dans la région. S’adressant au Forum économique mondial dans la station alpine suisse de Davos, Antonio Guterres a réitéré son appel à un "cessez-le-feu humanitaire immédiat" à Gaza. Les combats ont ravagé Gaza depuis les attaques sans précédent du Hamas contre Israël le 7 octobre. Depuis lors, la frontière libano-israélienne est le théâtre d’échanges de tirs quasi quotidiens entre l’armée israélienne et le mouvement chiite libanais Hezbollah, allié du Hamas. "Les retombées qui se produisent déjà, le risque d’une véritable confrontation au Liban, ce serait un désastre total. Nous devons l’éviter à tout prix", a déclaré António Guterres.
Trois mois après l’incursion terrestre de l’armée israélienne dans l’enclave palestinienne ayant fait des milliers de morts, l’Etat hébreu estime que la phase intensive des opérations «se terminera bientôt».
La guerre entre Israël et le Hamas est entrée dimanche dans son centième jour en dépit des appels internationaux à une trêve dans le conflit qui a plongé la bande de Gaza dans une crise humanitaire majeure.
Les ministres des Affaires étrangères égyptien et chinois ont plaidé dimanche ensemble au Caire pour un cessez-le-feu au 100e jour de la guerre à Gaza et pour la création d'un "État de Palestine" membre de plein droit de l'Onu.
Les tensions observées en mer Rouge, alors que les Etats-Unis, avec le soutien du Royaume-Uni, ont riposté aux attaques de rebelles houthistes agissant contre des navires commerciaux au nom de la solidarité avec la cause palestinienne, mettent en évidence une instabilité régionale.
Les États-Unis et le Royaume-Uni ont mené dans la nuit de jeudi à vendredi plus de 70 frappes sur des sites militaires de la capitale du Yémen, Sanaa, et d'autres villes du pays contrôlées par les rebelles houthis, faisant au moins cinq morts. Dans le même temps, la coalition occidentale a rappelé que le "but reste la désescalade des tensions" et "restaurer la stabilité en mer Rouge".
Une résolution, adoptée mercredi par le Conseil de sécurité des Nations unies, "condamne dans les termes les plus forts les attaques (des Houthis) contre les navires marchands et commerciaux depuis le 19 novembre 2023" en mer Rouge et "la fourniture d'armes" aux rebelles yéménites.
L'annonce de l'armée israélienne ajoute qu'un tunnel sous la ville retenait auparavant des otages israéliens, mais l'armée ne donne pas plus de détails.
Les drones et missiles ont été abattus mardi soir par des avions de combat lors d’une nouvelle attaque des rebelles yéménites, soutenus par l’Iran selon le Commandement militaire américain au Moyen-Orient.
Depuis le début de la guerre entre Israël et le Hamas, les rebelles yéménites multiplient les actions contre le trafic maritime commercial, en soutien, disent-ils, aux Palestiniens.
Le secrétaire d’État américain a rencontré Mahmoud Abbas à Ramallah ce mercredi. Plus la guerre entre Israël et le Hamas se poursuit, plus le risque d’assister à un embrasement régional du conflit se concrétise. Un haut responsable militaire du Hezbollah a été tué ce lundi au Liban dans une frappe israélienne. Quelques jours plus tôt, le numéro deux du Hamas – Saleh al Arouri – était abattu dans la banlieue sud de Beyrouth, poussant le chef du Hezbollah, Hassan Nasrallah, à promettre une réponse “inéluctable” à l’État hébreu.
Alors que la guerre contre le Hamas se poursuit à Gaza, l'armée israélienne a annoncé, début janvier, passer à la troisième phase de son opération avec des actions plus ciblées, sensées réduire l'intensité des combats dans l'enclave palestinienne. Yohanan Tzoreff, chercheur à l'Institut d'études de sécurité nationale à Tel-Aviv, livre son analyse sur ces trois premiers mois du conflit.
L'armée israélienne a dévoilé lundi dans le centre de la bande de Gaza un complexe de tunnels et d'ateliers présenté à des journalistes comme "le plus grand site de fabrications d'armes" du Hamas découvert "depuis le début de la guerre".
En tournée au Moyen-Orient pour tenter d’éviter un embrasement de la région, le secrétaire d’État américain, Antony Blinken, a lancé cet avertissement dimanche depuis le Qatar.
Deux experts des droits de l'homme des Nations unies ont demandé lundi que les auteurs de nombreux crimes présumés, notamment des violences sexuelles, commis lors de l'attaque du 7 octobre sur le sol israélien par le Hamas, soient punis.
«Nous allons faire ça autrement», a affirmé le porte-parole de l’armée israélienne samedi 6 janvier, après que le Premier ministre Nétanyahou a rappelé sa volonté de poursuivre la guerre jusqu’à ce que «Gaza ne soit plus une menace».
Des manifestants anti-gouvernementaux israéliens se sont rassemblés samedi soir sur la place Habima de Tel-Aviv, appelant à des élections anticipées et à la démission du gouvernement, dans le cadre de la guerre en cours avec le Hamas dans la bande de Gaza.
L'ONG Médecins sans frontières (MSF) a annoncé dans la nuit avoir évacué son personnel d'un hôpital du centre de Gaza, après trois mois de guerre d'Israël contre le groupe terroriste palestinien Hamas dans l'enclave.
Depuis le début de la guerre dans la bande de Gaza, le nombre de colonies sauvages et de nouvelles routes pour les colons a connu une progression "sans précédent" en Cisjordanie occupée, soutient dans une nouvelle étude l'ONG israélienne Peace Now.
Trente-cinq personnes sont mortes, vendredi, à Deir Al-Balah, alors que les bombardements se poursuivent à Rafah et dans le nord de Gaza.
Dans la nuit du 4 au 5 janvier, une opération militaire franco-jordanienne a permis le largage de 7 tonnes d’aide humanitaire et sanitaire dans la bande de Gaza.
L'armée israélienne a annoncé samedi soir avoir "achevé le démantèlement de la structure militaire du mouvement islamiste palestinien Hamas dans le nord de la bande de Gaza" et se concentrer désormais sur "le centre et le sud" de ce territoire.
Le ministre israélien de la Défense Yoav Gallant a présenté jeudi soir son premier plan de "l'après-guerre" dans la bande de Gaza selon lequel il n'y aurait "ni Hamas" ni "administration civile israélienne" en place dans le territoire palestinien au terme des combats.
Trois mois après le massacre du Hamas le 7 octobre, les dirigeants israéliens n’entendent pas mettre un terme aux opérations militaires à Gaza. Le conflit apparaît en effet comme une opportunité pour un Benyamin Nétanyahou ébranlé.
Le ministre israélien de la Sécurité nationale a préconisé un départ des Palestiniens malgré les critiques américaines.
Chaque semaine, “Courrier international” explique ses choix éditoriaux. Dans ce premier numéro de l’année, nous revenons sur la guerre entre Israël et le Hamas et l’effroyable bilan au sein de la population civile dans l’enclave palestinienne assiégée : plus de 21 000 morts, deux millions de déplacés et des dégâts majeurs, partout. Une catastrophe humanitaire. Le gouvernement israélien pousse les Gazaouis à l’exode, faisant craindre une deuxième Nakba. Le cri d’alarme de la presse étrangère.
Retenue ou escalade ? L'élimination du numéro 2 du Hamas par Israël, mardi, dans la banlieue sud de Beyrouth, a ravivé les risques d’une confrontation totale entre l’État hébreu et le Hezbollah, désormais exposé dans son bastion sécuritaire et dans l’obligation de répliquer. Décryptage.
Le chef du Mossad, les services secrets israéliens, a affirmé mercredi que son agence "réglera ses comptes" avec toute personne impliquée dans l'attaque sanglante du Hamas du 7 octobre sur le sol israélien.
Saleh al-Arouri, un haut dirigeant du Hamas tué au Liban dans une attaque de drone attribuée à Israël, a joué un rôle clé dans le développement des capacités militaires du mouvement islamiste palestinien et de ses liens avec des alliés régionaux.
La plus haute juridiction de l'ONU, entendra la semaine prochaine les arguments de l'Afrique du Sud et d'Israël, après le dépôt par Pretoria d'une requête contre Israël pour "génocide" dans la bande de Gaza.
La plus haute juridiction de l'ONU, entendra la semaine prochaine les arguments de l'Afrique du Sud et d'Israël, après le...
Les deux ministres, également chefs de partis d’extrême droite, avaient appelé à un retour des colons juifs dans la bande de Gaza à la fin du conflit armé.
Les deux ministres, également chefs de partis d’extrême droite, avaient appelé à un retour des colons juifs dans la bande de Gaza à la fin du conflit armé.
Le numéro deux du Hamas palestinien, Saleh al-Arouri, a été tué dans une frappe israélienne sur la banlieue de Beyrouth mardi soir, ont annoncé le mouvement palestinien et deux responsables libanais de la sécurité.
Les médias officiels libanais affirment qu’un drone israélien a provoqué une explosion en de la capitale, causant la mort de Saleh el-Arouri, l’un des leaders du mouvement islamiste palestinien, ainsi que de six autres personnes.

2023

"L'armée israélienne a déjà éliminé plus de 8.000 terroristes dans la bande de Gaza", a assuré le premier ministre israélien, Benjamin Netanyahu.
Au moins 65 journalistes ont été tués dans la guerre à Gaza depuis le début des attaques israéliennes, rapporte l'Institut international de la presse (International Press Institute, IPI).
Le chef de l'Organisation mondiale de la Santé (OMS) s'est déclaré vendredi "très préoccupé" par la menace croissante posée par les maladies infectieuses dans la bande de Gaza, depuis l'offensive israélienne en réponse à l'attaque du 7 octobre du Hamas.
Dans les rues de Tel-Aviv, une manifestation organisée, le 28 décembre, par le mouvement pacifiste Standing Together a rassemblé des centaines d’Israéliens, juifs et arabes, pour réclamer un cessez-le-feu dans la bande de Gaza.
Ce sigle effrayant, pour “Wounded child, no surviving family”, utilisé par les travailleurs humanitaires reflète la réalité d’un conflit dans lequel 40 % des victimes seraient des mineurs, rappelle “The Guardian”. Et la situation ne peut qu’empirer.
«Libération» publie la lettre du premier objecteur de conscience israélien. Tal Mitnick, 18 ans, refuse de participer à ce qu’il dit être un «bain de sang» et appelle à un changement politique profond.
Avec la disparition de son patrimoine matériel, de ses universitaires, de ses artistes et même de ses cimetières, c’est toute une nation, avec sa population, sa culture et son identité propres, qui est en train d’être effacée dans l’enclave palestinienne, écrit la chroniqueuse Nesrine Malik dans ce texte émouvant.
Aki Kaurismaki, André Téchiné, Kiyoshi Kurosawa ou encore Rithy Panh exigent l’arrêt des bombardements sur Gaza, la mise en place des couloirs humanitaires et la libération des otages.
Plus de deux mois après l'attaque sanglante du Hamas palestinien sur le sol israélien, les témoignages sur des viols et violences sexuelles se multiplient. Mais le peu de récits de survivants et l'absence d'expertise médico-légale compliquent l'évaluation de leur ampleur.
L'armée israélienne a poursuivi mercredi ses bombardements contre le Hamas dans la bande de Gaza assiégée, malgré les pertes civiles qui s'alourdissent de jour en jour et les cris d'alarme face au désastre humanitaire qui frappe le territoire palestinien.
Dans une tribune publiée dans le « Wall Street Journal » le lundi 25 décembre, le Premier ministre israélien explique, qu’à ses yeux, une paix ne pourra intervenir que si le Hamas est «détruit», et Gaza «démilitarisée».
L'ONU s'est dite mardi "profondément inquiète" de la poursuite des bombardements israéliens sur le centre de la bande de Gaza et a exhorté les forces israéliennes à prendre toutes les mesures possibles pour protéger les civils.
Une enquête du “New York Times”, basée sur des images satellite, montre que le sud de la bande de Gaza a été régulièrement visé par des bombes très puissantes. Et ce alors qu’Israël avait demandé aux civils de s’y rendre.
Avec la fuite en avant du gouvernement israélien, le mouvement islamiste semble en passer d’atteindre l’un de ses objectifs : étendre son influence en Cisjordanie et au Liban, quitte à sacrifier la population de Gaza.
L'Organisation mondiale de la Santé (OMS) s'est alarmée du nombre de patients affamés que ses équipes ont rencontrés dans plusieurs hôpitaux de Gaza au cours du week-end.
L'armée israélienne a annoncé dimanche que 152 soldats avaient été tués dans la bande de Gaza depuis le début de la guerre avec le mouvement islamiste palestinien Hamas.
L'Égypte a proposé un accord pour mettre un terme aux combats entre Israël et le Hamas et libérer plus d'otages, détenus par le groupe palestinien, a indiqué dimanche une télévision régionale.
Après plusieurs jours de négociations acharnées, le Conseil de sécurité de l’ONU a finalement adopté, vendredi 22 décembre, une résolution réclamant une aide humanitaire “à grande échelle” pour la population de Gaza. Celle-ci n’exige cependant pas de cessez-le-feu, auquel les États-Unis restent farouchement opposés.
L'agence de l'ONU pour les réfugiés palestiniens (Unrwa) à Gaza a affirmé samedi qu'un ordre d'évacuation de l'armée israélienne à l'intention d'habitants du centre de la bande de Gaza les déplacerait vers des zones où des frappes aériennes sont en cours.
« La manière dont Israël mène son offensive crée d’énormes obstacles pour la distribution d’aide humanitaire à Gaza », dénonce Antonio Guterres.
Le Haut-Commissariat des Nations unies aux droits de l'homme réclame l'ouverture d'une enquête par Israël sur "la possible commission d'un crime de guerre" par ses forces armées à Gaza.
Se taire devant le massacre perpétré par l’État d’Israël n’est plus possible, écrit Hervé Kempf dans cet édito. La violence occulte le principal défi de l’avenir : des conditions d’existence dignes pour toute la région.
Plus de deux mois après le massacre, des discours de réfutation, ou de minimisation, des crimes prospèrent. Ce déni ne résiste pas aux nombreuses prises de vue qui témoignent du massacre, et sur lesquelles «CheckNews» a décidé de revenir.
Depuis la reprise de l'offensive israélienne sur le nord et le sud de la bande de Gaza, le 1er décembre, les forces armées larguent régulièrement des tracts et contactent les civils palestiniens, appelant ces derniers à évacuer vers ce qu’elles appellent des "zones sûres" dans le sud de la bande de Gaza. Mais des images filmées sur le terrain montrent que certaines de ces zones ont été bombardées à plusieurs reprises.
L'hôpital al-Ahli Arab, l'un des derniers qui étaient encore en service dans le nord de la bande de Gaza, a cessé de fonctionner mardi après avoir été pris d'assaut par l'armée israélienne, a indiqué son directeur.
Le groupe islamiste a beaucoup évolué depuis sa création en 1987, et a tenu des discours parfois très contradictoires.
Le géant britannique des hydrocarbures BP a annoncé lundi suspendre lui aussi tout transit en mer Rouge, dans la foulée de plusieurs géants du transport maritime mondial vendredi et samedi, après des attaques perpétrées par des rebelles Houthis du Yémen. Une annonce qui a provoqué un frémissement sur le marché européen du gaz, où le TTF de la bourse d'Amsterdam, est passé de 33 à 37 euros le MWh en quelques heures seulement, alors que sa tendance était à la baisse depuis le début du mois. Et ce malgré un hiver doux, et des stocks européens bien remplis.
Les géants mondiaux du transport maritime, échaudés par les attaques répétées des rebelles houthistes au Yémen, ont annoncé la suspension des traversées sur la mer Rouge “jusqu’à nouvel ordre”. Une décision qui va fortement perturber le commerce international.