les Ressources Minières

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Les Ressources minérales (*)

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2024

1 301 pèlerins sont morts lors du hajj à la Mecque et aux alentours en raison des chaleurs caniculaires, a annoncé l'Arabie saoudite dimanche, indiquant que la plupart n'étaient pas munis des autorisations pour ce rassemblement annuel.
Des proches de pèlerins portés disparus pendant le hajj en Arabie saoudite ont fouillé les hôpitaux mercredi, redoutant le pire après la mort de plus de 900 fidèles lors de ce grand pèlerinage musulman annuel, la plupart en raison de la canicule. La majorité des pèlerins tués lors du hajj qui s’est déroulé la semaine dernière à La Mecque, la ville la plus sainte de l’Islam dans l’ouest de l’Arabie saoudite, sont de nationalité égyptienne.
Plus de 2 700 cas d’« épuisement dus à la chaleur » ont été recensés pour la seule journée de dimanche, a annoncé le ministère de la santé à la fin du grand pèlerinage.
La température a atteint 51,8 degrés, lundi, à La Mecque, où les pèlerins musulmans étaient en train d'achever le hajj. Une dizaine de décès liés à la chaleur ont été confirmés.
Le projet de chantier déployé dans le cadre du projet Neom génère une forte opposition en interne, des salariés s’alarmant de son incompatibilité avec les engagements de l’entreprise pour l’environnement ou les droits de l’homme.
Dans un grand format à découvrir en scrollant, Décrypte vous emmène au coeur d'un des plus grands chantiers du...
La décision surprise fin janvier de l'Arabie saoudite de maintenir sa capacité de production de pétrole, renonçant à un projet initial de l'augmenter, reflète ses ambitions de développement dans d'autres formes d'énergies, a annoncé lundi le ministre de l'Energie du royaume.Le géant pétrolier Aramco avait annoncé le 30 janvier que le ministère de l'Energie lui avait ordonné de maintenir sa capacité de production à 12 millions de barils par jour (bpj), abandonnant l'objectif annoncé en 2021 de 13 millions de bpj d'ici à 2027.
L'Arabie saoudite a dit mercredi avoir réévalué les ressources minérales du pays à 2.500 milliards de dollars, soulignant le potentiel d'un secteur appelé à contribuer à la diversification de l'économie du premier exportateur mondial de brut. "Je suis heureux d'annoncer que notre estimation du potentiel minéral inexploité du royaume est passée de 1.300 milliards de dollars à 2.500 milliards de dollars, soit une augmentation de 90%", a déclaré Bandar Alkhorayef, le ministre saoudien de l'Industrie et des Ressources minérales, lors d'une conférence à Ryad.

2023

L'Arabie saoudite a réclamé dimanche la prise en compte de ses "perspectives" et de ses "inquiétudes" dans les négociations climatiques de la COP28 où le royaume, premier exportateur de pétrole au monde, refuse un accord sur la sortie des énergies fossiles.Les 194 pays plus l'Union européenne impliqués dans les négociations à Dubaï doivent "traiter la réduction des émissions de gaz à effet de serre (...), accélérer le développement de toutes les technologies bas-carbone mais aussi prendre en compte nos perspectives et nos inquiétudes", a déclaré le représentant saoudien.
Les dirigeants saoudien et russe ont profité d'une rare rencontre en tête-à-tête à Ryad pour souligner la nécessité pour les producteurs de pétrole de respecter leurs engagements en matière de réduction de l'offre, selon un communiqué commun publié jeudi.La visite du président russe Vladimir Poutine dans la capitale saoudienne mercredi s'est déroulée alors que les prix du pétrole continuaient de baisser, le WTI américain passant sous la barre des 70 dollars le baril pour la première fois depuis juillet.
L'Arabie saoudite a dévoilé lundi un mécanisme qui doit permettre à ses entreprises de compenser leurs émissions de gaz à effet de serre et soutenir l'objectif affiché du royaume pétrolier d'atteindre la neutralité carbone d'ici 2060.
L'Arabie saoudite a revu à la baisse ses prévisions budgétaires et s'attend désormais à enregistrer un déficit pour l'année en cours, en raison de l'augmentation des dépenses et la baisse des recettes pétrolières, a annoncé le ministère des Finances.
La Russie va continuer de réduire ses exportations de pétrole, et l'Arabie Saoudite sa production, jusqu'à fin 2023, des annonces qui ont propulsé mardi les prix du brut à leurs plus hauts niveaux depuis dix mois.Les deux pays maintiennent ainsi leur stratégie de soutien aux cours de pétrole.L'Arabie Saoudite va continuer de réduire sa production d'un million de barils par jour (bpj) pour la période d'octobre à décembre 2023, a annoncé son ministère de l'Energie dans un communiqué.
L’Arabie saoudite, en quête d’influence mondiale, accueille samedi une réunion sur l’Ukraine qui reconnaît “nombreux désaccords” et s’attend à des discussions “pas faciles”, selon un représentant de Kiev, alors que Ryad a fait la part belle aux puissances émergentes proches de Moscou.
La réduction, qui a pris effet en juillet, se poursuivra en août et peut-être au-delà. Cette décision maintient à environ 9 millions de barils par jour la production du royaume.
À l’heure où 1,4 million d’oiseaux et 14 000 mammifères marins meurent chaque année après avoir mangé du plastique, TotalÉnergies n’a pas l’air décidé à mettre fin à cette pollution. L’énergéticien français s’est associé au plus gros groupe pétrolier mondial, Saudi Aramco, pour la construction d’un complexe pétrochimique géant à Al-Jubail, sur la côte est de l’Arabie saoudite, peut-on lire sur Mediapart. Objectif de cette usine baptisée « Amiral », produire 1 million de tonnes de polyéthylène par an, cette matière plastique très commune qu’on retrouve dans de nombreux produits de la vie quotidienne — emballages, bouteilles, sacs plastiques, câbles, etc. Montant de l’investissement, 10 milliards d’euros. Le démarrage des activités sur site est prévu pour 2027.
Riyadh Air, basée dans la capitale et détenue par le fonds souverain du royaume, vise à "lancer des vols vers plus de 100 destinations à travers le monde d'ici 2030".
L’Arabie Saoudite prévoit d’agrandir sa capitale avec un tout nouveau centre-ville et construction cubique ultramoderne aux airs futuristes. New Murabba.
L'Arabie saoudite envisage d'investir plus de 266 milliards de dollars pour produire de l'électricité "plus propre" et étendre son réseau électrique, a annoncé lundi le ministre de l'Energie du royaume. S'exprimant lors d'un forum organisé par le géant pétrolier saoudien Aramco, le prince Abdulaziz bin Salman a ajouté que le plus grand exportateur mondial de brut souhaite également devenir un leader mondial dans la production d'hydrogène.
L'Arabie saoudite entend utiliser ses propres ressources en uranium pour développer le programme nucléaire civil du royaume, a affirmé mercredi le ministre saoudien de l'Energie. En 2018, le plus grand exportateur de pétrole au monde, qui voulait sortir de sa dépendance de l'or noir, avait annoncé son intention de construire 16 réacteurs nucléaires sur 20 ans pour un montant de 80 milliards de dollars.
L'enrichissement d'uranium est une question sensible car il ouvre la voie à différents usages.

2022

Les géants pétroliers français TotalEnergies et saoudien Saudi Aramco ont annoncé jeudi qu'ils avaient pris la décision finale d'investissement pour la construction d'un site pétrochimique de 11 milliards de dollars en Arabie saoudite. Ce projet "représente à lui seul un investissement d'environ 11 milliards de dollars, dont 4 milliards de dollars financés sur fonds propres par Aramco (62,5%) et TotalEnergies (37,5%)", selon le groupe pétrolier français, qui indique que ce chantier doit démarrer au premier trimestre de 2023, avec un début des opérations commerciales prévu pour 2027. Le complexe "Amiral", détenu et opéré à terme par la raffinerie de SATORP, exploitée par les deux groupes et située à Jubail sur la côte orientale du pays, sera intégré au site existant.
Le directeur de Neom, où vont se dérouler les jeux, a affirmé que les lieux seront dotés « des infrastructures adéquates pour créer une atmosphère hivernale au cœur du désert ».
Le projet Neom, d’un montant de plusieurs centaines de milliards de dollars, est voulu par le prince héritier, Mohammed Ben Salman.
Le PIB de l'Arabie saoudite a augmenté de près de 12% au deuxième trimestre 2022, grâce à la hausse des prix du pétrole, ont annoncé dimanche les autorités de la riche monarchie du Golfe. Parmi les principaux exportateurs de brut au monde, l'Arabie saoudite a bénéficié ces derniers mois d'une flambée des prix du pétrole suite à la reprise post-Covid et aussi à la guerre en Ukraine, après plusieurs années de baisse qui avaient affecté la première économie arabe. "Le PIB réel de l'Arabie saoudite a augmenté de 11,8% au cours du deuxième trimestre 2022 par rapport au deuxième trimestre 2021", selon des estimations publiées par l'Autorité générale des statistiques.
Le prince Mohammed ben Salmane a annoncé, le 16 juillet, que la production d’or noir du pays devrait plafonner dans cinq ans, à un niveau plus faible que celui attendu.
Les "politiques irréalistes" visant à réduire les émissions de CO2 pourraient alimenter une "inflation exceptionnelle", a déclaré samedi le prince héritier d'Arabie saoudite, Mohammed ben Salmane, présidant un sommet entre les États-Unis et plusieurs pays arabes à Jeddah (ouest).
Après l’annonce d’une hausse de la production, le géant pétrolier saoudien Aramco a décidé de favoriser l’Europe au moment où celle-ci cherche à réduire ses importations de pétrole russe. Il cède ainsi aux demandes pressantes du président américain, Joe Biden, qui cherche à tout prix à juguler la hausse des prix à la pompe.
L'Arabie saoudite prévoit d'augmenter sa capacité de production quotidienne de pétrole de plus d'un million de barils pour dépasser les 13 millions de barils par jour d'ici à début 2027, a indiqué lundi le ministre de l'Energie. "Le plus probable, c'est de 13,2 à 13,4 (millions de barils par jour), mais fin 2026 ou début 2027", a déclaré le ministre, le prince Abdelaziz ben Salmane, lors d'une conférence à Bahreïn.
Iran, Égypte, Yémen, Arabie Saoudite... d'ici 2050 ces zones pourraient devenir invivables pour les êtres humains selon des chercheurs de la NASA. Ils ont pris en compte à la fois l'indice de température de l'air mais aussi l'indice de température du "thermomètre mouillé". Ce dernier est particulièrement important car largement sous-estimé. S'il est trop élevé, l'humidité empêche la transpiration nécessaire pour se refroidir. À plus de 35°C, cela pourrait être fatal.
Les Émirats arabes unis ont appelé lundi les Occidentaux à être "raisonnables" dans leurs attentes, en réaffirmant leur attachement à l'alliance Opep+, qui inclut la Russie alors que le marché du brut est sous pression à la suite de l'invasion russe en Ukraine. L'Opep+ réunit les membres de l'Organisation des pays exportateurs de pétrole, menée par l'Arabie saoudite, et dix autres pays exportateurs non membres de l'Opep, menés par la Russie.
Les houthistes, qui s’opposent, dans le cadre d’une guerre civile au Yémen, à une coalition dirigée par Riyad, ont frappé plusieurs sites industriels du royaume saoudien, dont une installation pétrolière.
Saudi Aramco a annoncé dimanche une hausse de 124% de son bénéfice net en 2021 par rapport à 2020, dépassant les niveaux pré-pandémie, quelques heures après de nouvelles attaques des rebelles du Yémen voisin contre les installations de ce géant saoudien de l'énergie. L'une de ces attaques contre la raffinerie YASREF dans la ville de Yanbu sur la mer Rouge, a entraîné "une réduction temporaire de la production", qui sera néanmoins "compensée par les stocks", a indiqué le ministère de l’Énergie sans autre précision.
Pendant la pandémie, le plongeon des cours du brut avait fait basculer dans l'insolvabilité des entreprises de forage de pétrole de schiste, dont le coût de production est bien plus élevé que le pétrole léger foré par exemple en Arabie saoudite.

2021

L'Arabie saoudite joue un rôle central sur les marchés pétroliers : ce pays n'est certes plus le principal producteur de pétrole et d'autres hydrocarbures liquides (les États-Unis occupent la 1re place mondiale, comme le montre l'infographie ci-après) mais il reste le principal exportateur mondial(1) et dispose de près de 15% des réserves prouvées de pétrole dans le monde(2).
La tenue de la COP sur les changements climatiques tombe vraiment mal. La priorité de l’instant n’est pas climatique, mais résolument géopolitique, économique et stratégique. A la sortie de la pandémie, aucun pays ne veut rater le wagon de la croissance et, au demeurant, perdre une place dans le classement international du pouvoir. Le réchauffement attendra et les dirigeants l’ont bien compris. Pour avoir la paix, il leur a suffi d’émettre un objectif zéro carbone assez lointain dans le temps. L’exemple de la pétrolière Arabie saoudite est particulièrement hilarant.
L'entreprise publique d'Arabie saoudite, premier exportateur de brut au monde, a annoncé dimanche dans un communiqué un bénéfice net de 30,4 milliards de dollars (environ 26,3 milliards d'euros) contre 11,8 milliards de dollars (environ 10,2 milliards d'euros) au troisième trimestre 2020.
L'Arabie saoudite, premier exportateur de pétrole brut au monde, vise la neutralité carbone d'ici 2060, a annoncé samedi le prince héritier Mohammed ben Salmane, quelques jours avant le début de la COP 26 en Ecosse. "J'annonce aujourd'hui l'objectif zéro émission de l'Arabie saoudite d'ici 2060 grâce à une stratégie d'économie circulaire du carbone", a déclaré Mohammed ben Salmane dans une déclaration enregistrée au forum "Saudi Green Initiative" à Ryad.
Les premiers hommes qui vivaient il y a 400.000 ans dans la région actuellement désertique de la péninsule arabique ont été aidés par les changements climatiques de l’époque pour pouvoir aller et venir hors d’Afrique.