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Multinationales

2024

Un collectif réunissant plus de 430 multinationales, dont 87 groupes nippons comme Sony, Panasonic et Rakuten, ont exhorté mardi le Japon à tripler ses capacités d'énergies renouvelables installées d'ici à 2035, alors que Tokyo doit bientôt réviser ses objectifs énergétiques.
Une vaste enquête révèle que plus de la moitié de la pollution plastique dans le monde est attribuée à 56 multinationales dont six sont responsables du quart de cette pollution. Forts de ces résultats, les scientifiques préconisent l’élaboration de normes internationales afin d'améliorer la traçabilité des emballages plastique et de responsabiliser les entreprises, encouragées à se tourner vers des solutions alternatives.
How the EU is boosting the mining and defence industries in the name of climate action
Alors que se tient le Forum de Davos, notre rapport annuel sur les inégalités pointe une nouvelle fois la concentration extrême des richesses notamment entre les mains de certains actionnaires.
La Commission européenne a présenté le 5 juillet sa proposition de nouveau cadre législatif pour les nouvelles techniques de modification génétique, qui vise à d’exclure les OGM obtenus par mutagénèse dirigée et cisgenèse des obligations d’évaluation des risques, d’étiquetage, de traçabilité et de contrôle.

2023

Les grandes entreprises continuent de trouver les moyens d’éviter de payer des impôts. Un rapport de l’Observatoire fiscal des multinationales montre que les efforts des États pour atténuer ces pratiques doivent encore être améliorés. D’autant que les subventions accordées aux industries vertes dans plusieurs pays amplifient la concurrence fiscale. En améliorant la fiscalité internationale, les sommes récupérées pourraient couvrir les besoins en financement de la transition écologique.
Près de 200 militants écologistes ont réclamé aux multinationales et aux États de stopper leurs financements dans les énergies fossiles, le 23 juin à Paris.
L'ère des puissantes entreprises exploitant les populations et les terres serait-elle révolue ? L’espoir grandit, en tous cas auprès des défenseurs des droits humains et de l'environnement. La loi relative au "devoir de vigilance" des entreprises gagne du terrain en Europe et démontre une avancée en termes de justice sociale et climatique.
Après les victoires récentes de Total Énergie et Volkswagen, faut-il remettre en question les initiatives de justice climatique contre les multinationales ?
Le devoir de vigilance européen fait un bond en avant. Les eurodéputés ont voté avec une large majorité la directive qui contraint les multinationales à respecter les droits humains et environnementaux sur l'ensemble de leur chaîne d'approvisionnement. Si le Conseil européen et la Commission doivent encore se prononcer, le signal est fort.
Prendre des parts dans des multinationales comme BNP Paribas ou TotalÉnergies permet à des activistes d’avoir une voix lors des assemblées générales. Objectif : bloquer les projets climaticides.
Je m’appelle Max Wilbert, co-auteur de Bright Green Lies, fondateur de Protéger Thacker Pass, et organisateur d’une communauté bio-centrée. J’utilise ce site pour partager des stratégies et explorer des domaines comme la durabilité, l’effondrement, l’empire, la résistance, l’activisme, le greenwashing [laver plus vert] et la justice. Merci de me lire.
Si de récents exemples semblent décourager de telles initiatives, elles sont loin d’être inutiles, ne serait-ce que sur le plan de la mobilisation médiatique.
Une centaine d’eurodéputés et plusieurs économistes, parmi lesquels Joseph Stiglitz, Aurore Lalucq et Gabriel Zucman, appellent, dans une tribune au « Monde », l’OCDE et l’ONU à instaurer un impôt international progressif sur l’extrême richesse.
Les ONG NewClimate Institute et Carbon Market Watch pointent dans une étude les manquements et les ambiguïtés de 24 multinationales qui affirment viser la « neutralité carbone ».
Le 'greenwashing' se porte bien, selon un rapport publié lundi qui s'est penché sur les ambitions affichées de 24...
Deux groupes de réflexion ont étudié vingt-quatre entreprises mondiales de l’industrie, des services et du commerce pour établir un palmarès de leurs stratégies de réduction des émissions de CO2.
L’isthme mexicain de Tehuantepec jouit d’une position géographique idéale et d’abondantes ressources naturelles. Les autochtones se battent contre la dépossession de leur terre et l’avidité des entreprises et de l’État. Tehuantepec (Mexique), reportage Kilomètre après kilomètre, la forêt luxuriante de l’isthme de Tehuantepec s’efface pour laisser place à des centaines d’éoliennes surplombant les pâturages. Les oiseaux s’amusent à virevolter autour des pales, les frôlant de près. Dans les champs voisins, le (...)
En matière de climat, l’ennemi numéro un, ce sont les énergies fossiles (charbon, pétrole et gaz) - c’est-à-dire, parmi les grandes entreprises françaises, TotalEnergies. Mais beaucoup d’autres groupes ont des liens étroits et des intérêts partagés avec le géant pétrolier et le secteur des énergies fossiles en général. Ce qui explique leur opposition à un action climatique décisive.

2022

Le fabricant britannique dit être à l’origine d’une première mondiale. Celui-ci a testé au sol un réacteur d’avion fonctionnant entièrement à l’hydrogène. Bien que cette nouvelle donne l’espoir de voir réellement l’hydrogène devenir le carburant zéro émission du futur, des doutes subsistent.
Session 2 - Métamorphose des responsabilités : des entreprises multinationales au prétoire Cycle de séminaires "L’urgence écologique au prétoire » ANR PROCLIMEX"
ExxonMobil, Chevron, BP, Shell et Total dépensent près de 200 millions de dollars par an en publicité pour se doter d’une image positive sur l’enjeu du climat. Dans le même temps, les géants du pétrole continuent à faire du lobbying, directement et via leurs associations professionnelles, pour éviter toute politique ambitieuse de limitation des énergies fossiles.
Après avoir ignoré le sujet pendant des années, BlackRock, le plus gros fonds d’investissement au monde et le principal bénéficiaire des dividendes du CAC40, se pose aujourd’hui en champion du climat et de la finance verte. Un nouveau rapport publié par Reclaim Finance et l’Observatoire des multinationales montre que derrière les effets d’annonce, BlackRock cherche surtout à influencer les décideurs et imposer un modèle conforme à ses intérêts, sans règles claires et contraignantes et préservant ses sources de profit.
Ce mardi 8 novembre, Emmanuel Macron reçoit à l’Élysée les dirigeants des 50 sites industriels les plus polluants de France pour échanger sur les « solutions décarbonées » et peut-être annoncer de nouveaux soutiens publics. Pourtant, les industriels concernés bénéficient déjà d’aides publiques conséquentes. Via le marché européen du carbone, ils ont bénéficié entre 2015 et 2020 de l’équivalent de 3 milliards d’euros d’allocations gratuites.
Catastrophes nucléaires, rejets de pesticides, marées noires… La seconde moitié du XXe siècle abonde d’« accidents » avec leur cortège de coupables tout désignés – multinationales voraces, politiques décadents, ouvriers négligents et autres États corrompus. Un responsable ultime n’est, cependant, jamais mentionné : le capitalisme industriel. Quelques innovations légales tentent néanmoins, lorsque certains acteurs dépassent vraiment les bornes et que le scandale prend trop d’ampleur, de remettre un peu d’ordre dans le saccage des écosystèmes.
En dix ans, les grands groupes pétroliers et gaziers, ont infiltré les lobbies européens des énergies renouvelables.
Nombre de grandes entreprises clament haut et fort s’être engagées à atteindre la neutralité carbone dans les décennies à venir. Ces discours, analyse le “New York Times”, sont de dangereux mensonges qui peuvent nous faire perdre un temps précieux dans la lutte contre le réchauffement climatique.
Mercredi 13 juillet, Notre Affaire à Tous publie le Benchmark 2022 de la vigilance climatique des multinationales, qui passe au crible la conformité de 27 multinationales françaises à leurs obligations légales. L’objet de cette étude est d’évaluer la mise en œuvre de la loi sur le devoir de vigilance en matière climatique. Pour ce faire, des critères de notation ont été développés afin d’évaluer le comportement des multinationales.
Entre greenwashing et véritables tentatives d’engagement, pas facile pour les jeunes actifs soucieux de l’environnement de s’y retrouver dans les discours des entreprises.
Mickaël Correia est journaliste à Mediapart et spécialiste des questions environnementales. Après un premier ouvrage nommé « Une histoire populaire du football » sorti en 2018, il vient d’en publier un second, « Criminels climatiques »1. Dans cette interview, il nous parle des « multinationales qui brûlent notre planète », des victimes et des luttes à construire.
De l’Australie aux Andes, en passant par la France, les projets miniers, pétroliers ou gaziers représentent une menace majeure pour les ressources en eau. Un rapport de l’Observatoire des multinationales et de France Libertés met en lumière l’ampleur de ces risques, l’inadéquation des réponses apportées par les entreprises ou les autorités, et la multiplication des résistances.
L'association Foodwatch France entend dénoncer "l'irresponsabilité de ces deux géants de l'agroalimentaire" et "casser le climat d'impunité face à ces multinationales".
Bien implantée en Belgique, où elle emploie quelques 1.200 travailleurs sur huit sites, la multinationale Cargill est la plus grande firme agro-alimentaire au monde mais aussi l’une des plus discrètes. Négoce, transformation, logistique : sa présence à tous les maillons de la chaîne d’approvisionnement lui donne un pouvoir considérable pour anticiper, voire manipuler, les variations de prix de nombreuses matières premières agricoles. Focus sur ce « géant invisible »
Il est impossible de savoir quel volume d’eau est prélevé au Québec par les entreprises qui l’embouteillent pour la vendre. La Cour du Québec a donné raison aux multinationales qui affirment que ces informations sont de nature confidentielle, au terme d’une action en justice lancée par le Centre québécois du droit de l’environnement (CQDE) et l’organisme Eau Secours. Les entreprises Amaro, Pepsi, Coca-Cola, Naya et Eska, notamment, n’auront pas à dévoiler les volumes d’eau qu’elles pompent au Québec en vue de la vendre. Cette information existe, puisqu’elle est transmise au ministère de l’Environnement et de la Lutte contre les changements climatiques (MELCC). Mais ce dernier ne la rend pas publique.
Mickaël Correia est journaliste à Mediapart, spécialiste des questions climatiques. Dans son livre “Criminels climatiques”, il enquête sur les trois principales multinationales fossiles que sont Saudi Aramco, Gazprom et China Energy. Peu connues du grand public, ce sont pourtant les entreprises les plus polluantes, les plus climaticides et les plus prospères au monde ; elles sont d’ailleurs chacune solidement enracinées en France.
Une enquête Cash investigation. Etude qui dévoile l'étendue des dommages, et notamment sur la santé des enfants, causés les produits chimiques fabriqués par les multinationales de l'agrochimie. (Electre)
La communauté internationale serait-elle prête à s’emparer de la protection des océans ? Dès mercredi, à Brest, décideurs politiques et acteurs du monde marin se mobilisent pour apporter des réponses au péril écologique que l’Homme fait peser sur cet espace. Mais pour nombre d’observateurs, cette initiative d’Emmanuel Macron n’est qu’un coup d’éclat médiatique sans portée concrète. Décryptage avec Catherine Le Gall, autrice d’une enquête sur l’accaparement des océans par les multinationales.
Leurs engagements face à l’urgence climatique ont été passés au crible d’une enquête indépendante : 25 multinationales, dont Unilever, Nestlé, Ikea, Google, Amazon ou BMW, ne prévoient de réduire leurs émissions de CO2 que de 40 % en moyenne, alors qu’elles annoncent des objectifs zéro carbone.
Dans deux livres publiés ce début d’année, le sociologue Grégory Salle et le journaliste Mickaël Correia se penchent sur la criminalité environnementale, et dénoncent la responsabilité énorme des multinationales dans le drame écologique qui se joue aujourd’hui.

2021

Une quarantaine de militants d'Attac ont "prélevé" symboliquement l'impôt de multinationales à Marseille samedi, en emportant des sièges bébé siglés d'un restaurant McDonald's et des oriflammes d'une station Total avant de les déposer devant la préfecture, a constaté l'AFP.