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Notre Nature

2024

Pétrole, gaz, exploitation des forêts, extraction de métaux rares, agriculture… nos usages des ressources naturelles de la planète ont explosé en un demi siècle.

2023

Marine Calmet, avocate spécialisée dans les droits de l’environnement, participe ce samedi à la conférence «Comment sanctionner les délits à la nature et mieux protéger les espaces».
La Belgique fait partie des pays qui souffrent le plus d'une pénurie d'eau. Découvrez les causes de ce phénomène et comment vous pouvez réduire votre consommation dans cet article.
La Belgique fait partie des pays qui souffrent le plus d'une pénurie d'eau
En 2021, Santé Publique France confirmait que la mortalité liée à la pollution de l’air ambiant demeurait un risque conséquent en France : 40 000 décès sont attribuables chaque année aux particules fines (PM2,5) et 7 000 au dioxyde d’azote (NO2) sur la période 2016-2019.
Le dossier azote paralyse le gouvernement flamand. Mais qu'est-ce c'est l'azote, et pourquoi ça pose problème ?

2022

Une première mondiale: au Royaume-Uni, la compagnie britannique de produits de beauté Faith in Nature a nommé un administrateur pour représenter la Nature à son conseil d’administration. Notre Affaire å Tous et le Earth Law Center, ONG partenaire de Faith in Nature, s’adressent aujourd’hui aux entreprises françaises. Afin de développer une initiative similaire en France, elles lancent un appel à participation en direction des entreprises françaises qui souhaiteraient être accompagnées juridiquement pour que les intérêts de la Nature soient représentés dans leurs conseils d’administration.
Quelle ne fut pas ma stupéfaction en découvrant, au mois d’octobre, la campagne lancée par le Service Public de Wallonie (SPW) Mobilité et Infrastructures pour vanter son travail : "Nature maîtrisée, vies sauvées"!
Donner une personnalité juridique aux fleuves, aux lacs et autres espaces naturels était jusqu’ici plutôt réservé aux Etats où vivent des populations autochtones. Cette évolution arrive en Europe et provoque de fortes oppositions. Elle bouleverse une vision du monde fondée sur la prééminence de l’être humain sur la planète.
Les personnes rencontrées au cours de notre travail de thèse témoignent d’une prise de conscience des effets du changement climatique sur les espaces « naturels ». Ces effets variés et déjà visibles - hausse du niveau marin, réduction de la neige en montagne, augmentation des températures en forêt – affectent la biodiversité et les écosystèmes (aire de répartition, phénologie, fonctionnement).
Le dictateur russe a tenu mercredi un discours devant son gouvernement qui s’apparente à un manifeste définissant un nouveau régime isolé qui assume de l’être. Extraits.
Le climatologue, ancien vice-président du conseil scientifique du GIEC, invite à redonner une place aux écosystèmes, notamment aux océans, pour s’adapter aux dérèglements du climat et à la perte de biodiversité.

2021

Douze ans après les promesses de Copenhague et six ans après l’accord de Paris sur le climat, la revue Nature dresse un bilan peu encourageant de l’action internationale et ne déborde pas d’optimiste quant aux chances de succès de la COP26.
Et si la protection de la biodiversité était le meilleur antidote aux épidémies virales ? C’est l’objet de l’enquête menée par Marie-Monique Robin auprès de soixante-deux scientifiques pour son ouvrage La Fabrique des pandémies. La journaliste d’investigation y décortique les liens entre biodiversité et santé. Elle appelle ainsi à repenser notre rapport à la nature pour éviter une « épidémie de pandémies ».
Le changement climatique est un phénomène lié aux activités humaines qui nous concerne tous. D’abord, parce que nous en sommes responsables. Ensuite, car il a et aura encore des conséquences sur nos modes de vie, nos habitudes et nos comportements. Enfin car il touche aussi notre environnement naturel.
Symbole d’une incertitude et d’une imprévisibilité que toute génération semble croire inédite et propre à son époque, cette œuvre semble proposer une lecture presque universelle de l’ère que nous traversons. Aujourd’hui, les vagues (justement) successives de l’épidémie s’enchaînent et nous laissent rarement un répit suffisant pour reconstruire. Le message de turbulence et de chaos que transmet cette Grande Vague fait écho à ce sentiment d’impuissance face à un phénomène naturel contre lequel on se sent bien impuissant.
Où sont passées les 400 tonnes de plomb qui ont fondu sur les toits de Notre-Dame de Paris ? Combien de gosses malades ? Combien de travailleurs du chantier touchés ? Combien de riverains shootés ? Le plomb a une très charmante singularité : il ne disparaît pas. Sa structure chimique l'empêche de se dégrader et, tôt ou tard, il rejoint le corps d'êtres vivants, se fixant très volontiers sur les os des humains.
Tan­dis que la des­truc­tion de l’ha­bi­tat d’in­nom­brables espèces vivantes et de ces espèces elles-mêmes s’in­ten­si­fie au niveau mon­dial, la pré­sente pan­dé­mie de coro­na­vi­rus pour­rait n’être que le début d’une ère de pan­dé­mies inter­na­tio­nales.
Dans La théorie du donut, Kate Raworth se livre à un passionnant détricotage des mythes qui fondent nos croyances économiques. Revenant sur l’histoire de sa discipline, elle montre que beaucoup de « lois » autoproclamées ne sont que de simples convictions ... Non, les inégalités ne sont pas un passage obligée du développement. Non, les communs n’ont rien d’une « tragédie » inéluctable. Non, l’« homo economicus » n’existe pas et non, la croissance n’est pas la recette miracle.
De plus en plus de travaux scientifiques prédisent la fin de notre civilisation industrielle : incapable d'évoluer, elle pourrait s'effondrer comme d'autres dans l'histoire de l'Humanité, principalement à cause des inégalités dans la répartition des richesses et de la surexploitation soutenue et croissante de ressources limitées. La « fin du monde » ou plutôt la fin de nos civilisations actuelles est un sujet récurrent et tout à fait plausible ne serait-ce que par les menaces d'origines naturelles. Mais c'est bien l'Homme qui est devenu la cause la plus probable et immédiate de sa propre extinction : « l'Homme est un loup pour l'Homme » reprenait déjà Sigmund Freud dans son livre Malaise dans la civilisation, une locution qui prend tout son sens à l'aube d'un désastre.