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2025

L’administration Trump a proposé mercredi 16 avril d’assouplir la définition du «mal» fait aux espèces en danger en excluant la protection de leur habitat, une mesure aussitôt contestée par les organisations écologistes.- […] Que signifie l’interdiction de «faire du mal» aux plantes ou animaux menacés d’extinction ? L’administration Trump poursuit sa vaste opération de détricotage des acquis en matière de protection de l’environnement, en suggérant désormais d’assouplir la définition du «mal» fait aux espèces en danger. Le ministère de l’Intérieur, chargé aux États-Unis de l’environnement, a ainsi proposé mercredi 16 avril d’exclure la protection de l’habitat des plantes ou animaux menacés, provoquant une nouvelle fois la colère des organisations écologistes.
Dernièrement, l’Union Européenne a publié sa stratégie de préparation pour prévenir et réagir aux menaces et crises émergentes. Or, parmi les éléments de cette stratégie, nous retrouvons un kit de survie assurant une réserve d’eau, de nourriture, de médicaments et d’énergie pour au moins trois jours.
Depuis l’année dernière, le Venezuela est frappé par une sécheresse redoutable, en grande partie en raison d’un phénomène El Niño plus intense que prévu. La situation dans le pays est difficile, également amplifiée par le déclin des réserves d’eau de l’imposant barrage de Guri, sur la rivière Caroni en raison de l’exploitation des mines de fer. L’objectif du gouvernement Maduro est d’économiser l’eau du barrage servant d’ordinaire à produire pas moins de 75% de l’électricité du pays.
Le rapport sur l’état du climat de l’Europe en 2024 montre un contraste entre les conséquences de la crise climatique à l’est et à l’ouest du continent, alors qu’il est celui qui se réchauffe le plus vite sur la planète.
Récemment, la start-up Genesis a publié le premier baromètre de la santé des sols en France. Malheureusement, les résultats laissent pas vraiment de place à l’optimisme. Moins d’un tiers des terres arables et 1/9e des vignobles sont en bonne santé.
Un accord de trois ans renouvelable a été signé entre le Panama et les États-Unis, stipulant que les installations seront la propriété de l’Etat panaméen et seront destinées à une « utilisation conjointe » par les forces des deux pays. Le canal « est et restera panaméen », a précisé le président, Jose Raul Mulino.
Les places financières continue de vaciller ce lundi 7 avril, après les annonces des droits de douane imposés au reste du monde par Donald Trump. Retour sur les précédentes heures sombres de l’économie mondialisée.
La procureure générale de l’Etat de New York a déjà récolté plus de 3 milliards de dollars auprès d’entreprises liées à cette crise, en particulier des laboratoires pharmaceutiques ainsi que des distributeurs de médicaments. Le laboratoire américain Mylan, spécialiste des médicaments génériques, a accepté de payer jusqu’à 335 millions de dollars (297 millions d’euros) aux Etats-Unis pour son rôle dans la crise des opioïdes qui a fait des centaines de milliers de morts dans le pays depuis 1999.
La peur de perdre son travail, puis sa santé. Cinquante ans après l'amiante, un nouveau scandale sanitaire se profile dans les usines : l'exposition des ouvriers aux produits chimiques PFAS, ces "polluants éternels".
Au moment où de plus en plus d'États se montrent en faveur d'un moratoire sur l'exploitation minière des grands fonds marins, la société canadienne The Metals Company a annoncé vouloir s'allier aux États-Unis pour puiser du cuivre, du zinc et autres minéraux dans les profondeurs du Pacifique.
Plus de 1 900 scientifiques membres de l’Académie nationale des sciences ont co-signé une lettre ouverte tirant la sonnette d’alarme sur « le réel danger » que représente l’administration Trump pour la science. Dès le début de son second mandat, le président a apporté de grands bouleversements portant directement atteinte à la communauté scientifique et aux recherches du pays.
Les îles Samoa ont déclaré l'état d'urgence lundi, après une série de pannes d'électricité qui ont paralysé une partie de l'activité dans l'Etat du Pacifique. Les Samoa connaissent une "crise énergétique" due aux dégâts causés par une tempête et à l'équipement défaillant d'une centrale thermique au diesel, cruciale pour l'alimentation électrique du pays, a déclaré la Première ministre Fiame Naomi Mata'afa.
Caracas a annoncé dimanche soir que les États-Unis ont révoqué les licences "des entreprises transnationales de pétrole et gaz" qui avaient obtenu le droit d'opérer dans le pays malgré les sanctions et l'embargo pétrolier destinés à évincer le président Nicolas Maduro du pouvoir. Loin d'être une surprise, cette mesure de Donald Trump confirme que le nouveau président américain cherche à asphyxier économiquement le Venezuela et faire tomber M. Maduro.
Des concentrations très élevées de 1,2,4-triazole ont été trouvées dans les eaux usées d'une entreprise d'Ypres. Il s'agit d'un produit souvent utilisé comme fongicide. Les rejets de l'entreprise concernée contribuent "de manière significative" au dépassement de la norme dans l'eau potable du bassin "De Blankaart", en Flandre occidentale. Selon le ministre de l'Environnement et de l'Agriculture, Jo Brouns, il n'y a pas de risque pour la santé, mais des mesures ciblées seront prises et il a pris contact avec les ministres wallons et français compétents.
Depuis 2016, les banques belges ont accordé plus de 20 milliards d’euros de prêts et de souscriptions à des entreprises posant un grand risque de déforestation.
La lettre est signée par un certain Stanislas Parmentier, le directeur général des services de l’ambassade des États-Unis à Paris, selon l’annuaire du département d’État américain. En temps normal, cette affaire serait restée sous les radars, mais on est en plein trumpisme et la missive révélée par Les Echos, vendredi 28 mars, dont Le Monde a obtenu copie, enjoint aux entreprises françaises destinataires de respecter les règles édictées par le président américain, Donald Trump, qui bannissent toute discrimination positive en faveur de la diversité et de la parité homme-femme (DEI, pour « diversité, équité, inclusion »).
Alors que l’Autorité internationale des fonds marins prépare un code minier pour les planchers océaniques est réunie en conseil, The Metals Company menace de se lancer dans l’exploitation de ces milieux fragiles et méconnus en s’en remettant au droit américain. En vertu de la Convention des Nations unies sur le droit de la mer, l’instance onusienne prépare depuis plus de dix ans le futur code minier qui devra, tout en préservant l’environnement, encadrer l’exploitation de « la zone », c’est-à-dire des fonds marins et océaniques et de leur sous-sol situés dans les eaux internationales. Une durée bien trop longue au goût de The Metals Company.
Un courrier de l’ambassade des États-Unis demande aux sociétés françaises de prouver qu’elles ne mettent pas en œuvre de programmes de promotion de la diversité, de l’équité et de l’inclusion qui enfreignent les lois fédérales, sous peine de ne pas pouvoir travailler avec le gouvernement américain.
La commissaire européenne chargée de la préparation et de la gestion des crises, Hadja Lahbib, a présenté mercredi 26 mars plusieurs mesures que la population devrait suivre pour anticiper une crise. Elle appelle les Etats membres à créer une stratégie commune sur le sujet. [...] Se préparer aux crises en stockant chez soi trois jours de conserves et d’eau, une lampe torche et un couteau. Mercredi 26 mars, l’Union européenne a présenté sa première «stratégie de préparation» comme le rapporte le Guardian. L’objectif, explique la Commission européenne dans un communiqué, est de prendre «des mesures proactives pour se préparer aux crises, telles que l’élaboration de plans d’urgence pour les ménages et la constitution de stocks de produits de première nécessité».
Et si la crise écologique et la crise des institutions sanitaires et sociales relevaient des mêmes logiques ? Et si ces espaces de traitement des fragilités humaines étaient en réalité des modèles pour penser notre place et nos liens dans un contexte où nous allons nous (RE-)découvrir davantage vulnérables face à notre milieu ? Ce sont les questions explorées lors du colloque intitulé "Crise écologique et crise des institutions : clinique d'une nouvelle écologie des liens". Cette 2e partie présente la 1ère table ronde intitulée : "Progrès humain et dérégulation du milieu, un équilibre est-il possible ?"




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