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Ces deux groupes parient sur la même technologie. Il faudra des années avant que l’idée ne se matérialise.
Tout est parti d’un constat assez simple. Les projets de capture de carbone sont actuellement essentiellement concentrés sur l’élimination du CO2 dans l’air. Or, les eaux océaniques pèsent pour 40 % des émissions de carbone produites par l’activité humaine. C’est pour résoudre ce problème que des chercheurs du MIT ont mis au point un nouveau système particulièrement novateur.
Amazon investit dans une nouvelle ferme d’algues de 10 hectares situé au milieu d’un parc éolien offshore. L’idée est de se servir des algues comme d’un nouvel outil de capture du CO2
Une technologie peut réduire de 90% les émissions de CO2 de l’industrie sidérurgique Un gain financier est aussi escompté Le secteur privé doit donner l’exemple dans la lutte contre le changement climatique
Poutine a coupé le gaz. Cet hiver, il n’y en aura peut-être pas assez d’énergie pour chacun des étages de notre société (ménages, entreprises, bâtiments publics). Et si, réellement, la quantité d’énergie disponible pour se chauffer n’est pas suffisante, payer plus cher n’y changera rien : quand il y a pénurie, quand le magasin est vide, même avec beaucoup d’or, il n’y a rien à ramener à la maison. La question n’est alors plus « comment alléger les factures ? » mais devient « comment faire avec moins d’énergie ? ».
Associer arbres, cultures et animaux, c'est le pari que s'est lancé Jean-Yves Masson. Cet éleveur et producteur de légumes du nord-Finistère a mis l'agroforesterie au coeur de son métier. Les arbres qu'il a plantés sont encore tout jeunes mais il sait qu'à terme, ils seront des boucliers contre l'assèchement des sols.
Pour un biologiste confirmé comme pour un naturaliste amateur, la découverte d’une espèce végétale ou animale « nouvelle pour la science », c’est-à-dire non répertoriée ni décrite, représente toujours une grande source d’émotion à la fois scientifique et personnelle.
Sanctuariser des espaces pour préserver la vie sauvage est un choix « déresponsabilisant », selon l’auteur de cette tribune. Plutôt qu’un « antagonisme entre humain et non-humain », il loue « une nature dont l’humain serait partie intégrante ». Jean-Yves Barnagaud est ornithologue et maître de conférences à l’École pratique des hautes études.
le dernier rapport de l’Agence Internationale de l’énergie (AIE), paru en mai dernier, estime que pour atteindre la neutralité carbone en 2050, il est nécessaire de renoncer à tout nouveau projet d’exploitation pétrolière ou gazière. Comment croire que nous pourrions, dans les sociétés occidentales, sinon poursuivre la quête effrénée vers la croissance infinie, au moins maintenir notre niveau de production et de consommation de biens matériels sans pétrole, gaz ou charbon ? Sans décroissance, c’est une illusion.
L'équation de Kaya a été développé par Yoichi Kaya, un économiste de l'énergie japonais, dans son ouvrage Environment, Energy, and Economy : strategies for sustainability.