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Le Comité d’enquête russe a confirmé ce dimanche 27 août que le patron des mercenaires de Wagner figurait bien parmi les victimes du crash d’avion survenu mercredi 23 août, se basant sur une expertise génétique des dépouilles.
Le chef du groupe paramilitaire russe − à l’origine d’une rébellion contre l’état-major en juin −, son adjoint et huit autres passagers étaient présents selon les autorités dans un petit avion privé qui s’est écrasé, mercredi, en Russie. Beaucoup d’interrogations subsistent.
Le porte-parole de la présidence russe a reconnu ce lundi 10 juillet une rencontre de «près de trois heures» à Moscou entre le chef de l’Etat et le patron de la milice Wagner, entré en rébellion il y a quinze jours.
Evguéni Prigojine, chef de Wagner, n'a pas réussi à aller jusqu'au bout de ses plans.
Le président russe s’est exprimé ce lundi 26 juin à la télévision russe, pour la première fois après la mutinerie de l’organisation paramilitaire Wagner.
Le chef de Wagner a affirmé lundi 26 juin dans un premier message audio après la fin de sa rébellion que son but n’était pas de renverser le pouvoir russe mais de sauver son groupe paramilitaire menacé d’être absorbé par l’armée.
Les forces du groupe paramilitaire Wagner ont commencé à quitter leurs positions en Russie sur ordre de leur chef Evguéni Prigojine, qui a fait volte-face après avoir frontalement défié l'autorité du président russe Vladimir Poutine.
Avant la rébellion du groupe paramilitaire Wagner, dont le chef a finalement ordonné à ses troupes samedi de stopper leur marche sur Moscou, les prédécesseurs de Vladimir Poutine au Kremlin ont été confrontés après la chute du mur de Berlin à un putsch manqué et une insurrection. Rappel de ces crises.
Depuis plusieurs jours, la Maison-Blanche et le Pentagone étaient informés que le chef du groupe Wagner préparait une action militaire contre le haut commandement russe. Pour ne pas être accusés d’orchestrer un coup d’État contre Vladimir Poutine, ils ont décidé de garder le secret, explique la presse américaine.
La crise militaire déclenchée ce week-end en Russie par Evguéni Prigojine semble avoir pris le pouvoir russe par surprise. Pourtant, le chef du groupe de mercenaires Wagner était de plus en plus isolé dans le paysage politique russe et semble avoir voulu tenter le tout pour le tout. En vain ?
Le patron du groupe paramilitaire Wagner a fait finalement machine arrière et se retire de Russie après avoir appelé à un soulèvement. Malgré les menaces de Poutine samedi, il semble s’en tirer sans trop de représailles, en apparence, grâce à un accord.
Les services d'espionnage américains ont reçu à la mi-juin des informations indiquant que le chef du groupe paramilitaire russe Wagner, Evguéni Prigojine, comptait entrer en rébellion armée contre Moscou, a rapporté samedi le Washington Post.
Après vingt-quatre heures de tension extrême, qui auront vu le groupe paramilitaire dirigé par Evgueni Prigojine occuper la ville de Rostov et s’approcher dangereusement de Moscou, un accord semble avoir été trouvé, ouvrant la voie à une désescalade.
Le chef du groupe paramilitaire Wagner Evguéni Prigojine avait lancé dans la nuit de vendredi à samedi une offensive pour renverser le commandement militaire.
Ancien délinquant, ponte de la restauration et chef de guerre… France 24 revient sur les multiples casquettes d’Evguéni Prigojine, protégé de Vladimir Poutine et désormais en rébellion contre le maître du Kremlin. 
Le chef de la milice Wagner est entré ouvertement en dissidence de l'armée russe. A Rostov, près de la frontière ukrainienne, les habitants sont stupéfaits par la présence des paramilitaires et de leurs chars en plein centre-ville.
Evguéni Prigojine, le patron de la milice Wagner, s’est graduellement imposé comme une figure incontournable de la guerre en Ukraine, capitalisant sur les difficultés de l’armée russe contre Kiev. Mais cette situation a généré de vives tensions avec l’"establishment" militaire russe jusqu’au point de rupture. Désormais en rébellion contre l’armée, l’ancien protégé de Vladimir Poutine a juré d'"aller jusqu'au bout".
Vladimir Poutine a dénoncé dans une intervention télévisée la “trahison” et “l’insurrection armée” en promettant – sans les nommer – d’en châtier les responsables. Le patron des mercenaires Wagner lui a répondu qu’il se “trompait lourdement”.
Le conflit en Ukraine a permis à l'imprévisible patron du groupe paramilitaire Wagner de s'imposer comme un acteur de premier plan en Russie. Mais en appelant au soulèvement contre l'état-major, Evguéni Prigojine a franchi le Rubicon.
Le patron de la société de mercenaires a affirmé, dans la nuit de vendredi à samedi, avoir franchi la frontière avec l’Ukraine, accompagné de 25 000 hommes, pour « libérer le peuple russe ». Des « activités antiterroristes » sont en cours à Moscou.
Le chef du groupe paramilitaire Wagner Evguéni Prigojine a affirmé samedi 24 juin être entré en Russie avec ses troupes dans le but de renverser le commandement militaire, se disant "prêt à mourir" avec ses 25 000 hommes pour "libérer le peuple russe".
Le geste de Evgueni Prigojine fait suite à l’exécution d’un déserteur, abattu par deux coups de masse.


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Résultats pour:
Prigojine

août 2023

Le Comité d’enquête russe a confirmé ce dimanche 27 août que le patron des mercenaires de Wagner figurait bien parmi les victimes du crash d’avion survenu mercredi 23 août, se basant sur une expertise génétique des dépouilles.
Le chef du groupe paramilitaire russe − à l’origine d’une rébellion contre l’état-major en juin −, son adjoint et huit autres passagers étaient présents selon les autorités dans un petit avion privé qui s’est écrasé, mercredi, en Russie. Beaucoup d’interrogations subsistent.

juillet 2023

Le porte-parole de la présidence russe a reconnu ce lundi 10 juillet une rencontre de «près de trois heures» à Moscou entre le chef de l’Etat et le patron de la milice Wagner, entré en rébellion il y a quinze jours.

juin 2023

Evguéni Prigojine, chef de Wagner, n'a pas réussi à aller jusqu'au bout de ses plans.
Le président russe s’est exprimé ce lundi 26 juin à la télévision russe, pour la première fois après la mutinerie de l’organisation paramilitaire Wagner.
Le chef de Wagner a affirmé lundi 26 juin dans un premier message audio après la fin de sa rébellion que son but n’était pas de renverser le pouvoir russe mais de sauver son groupe paramilitaire menacé d’être absorbé par l’armée.
Les forces du groupe paramilitaire Wagner ont commencé à quitter leurs positions en Russie sur ordre de leur chef Evguéni Prigojine, qui a fait volte-face après avoir frontalement défié l'autorité du président russe Vladimir Poutine.
Avant la rébellion du groupe paramilitaire Wagner, dont le chef a finalement ordonné à ses troupes samedi de stopper leur marche sur Moscou, les prédécesseurs de Vladimir Poutine au Kremlin ont été confrontés après la chute du mur de Berlin à un putsch manqué et une insurrection. Rappel de ces crises.
Depuis plusieurs jours, la Maison-Blanche et le Pentagone étaient informés que le chef du groupe Wagner préparait une action militaire contre le haut commandement russe. Pour ne pas être accusés d’orchestrer un coup d’État contre Vladimir Poutine, ils ont décidé de garder le secret, explique la presse américaine.
La crise militaire déclenchée ce week-end en Russie par Evguéni Prigojine semble avoir pris le pouvoir russe par surprise. Pourtant, le chef du groupe de mercenaires Wagner était de plus en plus isolé dans le paysage politique russe et semble avoir voulu tenter le tout pour le tout. En vain ?
Le patron du groupe paramilitaire Wagner a fait finalement machine arrière et se retire de Russie après avoir appelé à un soulèvement. Malgré les menaces de Poutine samedi, il semble s’en tirer sans trop de représailles, en apparence, grâce à un accord.
Les services d'espionnage américains ont reçu à la mi-juin des informations indiquant que le chef du groupe paramilitaire russe Wagner, Evguéni Prigojine, comptait entrer en rébellion armée contre Moscou, a rapporté samedi le Washington Post.
Après vingt-quatre heures de tension extrême, qui auront vu le groupe paramilitaire dirigé par Evgueni Prigojine occuper la ville de Rostov et s’approcher dangereusement de Moscou, un accord semble avoir été trouvé, ouvrant la voie à une désescalade.
Le chef du groupe paramilitaire Wagner Evguéni Prigojine avait lancé dans la nuit de vendredi à samedi une offensive pour renverser le commandement militaire.
Ancien délinquant, ponte de la restauration et chef de guerre… France 24 revient sur les multiples casquettes d’Evguéni Prigojine, protégé de Vladimir Poutine et désormais en rébellion contre le maître du Kremlin. 
Le chef de la milice Wagner est entré ouvertement en dissidence de l'armée russe. A Rostov, près de la frontière ukrainienne, les habitants sont stupéfaits par la présence des paramilitaires et de leurs chars en plein centre-ville.
Evguéni Prigojine, le patron de la milice Wagner, s’est graduellement imposé comme une figure incontournable de la guerre en Ukraine, capitalisant sur les difficultés de l’armée russe contre Kiev. Mais cette situation a généré de vives tensions avec l’"establishment" militaire russe jusqu’au point de rupture. Désormais en rébellion contre l’armée, l’ancien protégé de Vladimir Poutine a juré d'"aller jusqu'au bout".
Vladimir Poutine a dénoncé dans une intervention télévisée la “trahison” et “l’insurrection armée” en promettant – sans les nommer – d’en châtier les responsables. Le patron des mercenaires Wagner lui a répondu qu’il se “trompait lourdement”.
Le conflit en Ukraine a permis à l'imprévisible patron du groupe paramilitaire Wagner de s'imposer comme un acteur de premier plan en Russie. Mais en appelant au soulèvement contre l'état-major, Evguéni Prigojine a franchi le Rubicon.
Le patron de la société de mercenaires a affirmé, dans la nuit de vendredi à samedi, avoir franchi la frontière avec l’Ukraine, accompagné de 25 000 hommes, pour « libérer le peuple russe ». Des « activités antiterroristes » sont en cours à Moscou.
Le chef du groupe paramilitaire Wagner Evguéni Prigojine a affirmé samedi 24 juin être entré en Russie avec ses troupes dans le but de renverser le commandement militaire, se disant "prêt à mourir" avec ses 25 000 hommes pour "libérer le peuple russe".

novembre 2022

Le geste de Evgueni Prigojine fait suite à l’exécution d’un déserteur, abattu par deux coups de masse.