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Depuis le début de l'épidémie de coronavirus, les gouvernements européens, pris au dépourvu, prennent des mesures de santé publique compréhensibles, mais sans se coordonner entre eux, alors qu'ils constituent l'Union économique la plus intégrée et le marché le plus riche de la planète. Les citoyens européens, eux, le paient cash. Avec près de 71.000 malades et plus de 3.300 morts mercredi, l'Europe a dépassé l'Asie en nombre de victimes.
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Des échanges de coordination ont beau avoir eu lieu entre les dirigeants du Benelux, ils n'ont pas empêché les Pays-Bas de faire cavalier seul dans la lutte contre le coronavirus (Covid-19). Lundi, le Premier ministre Néerlandais Mark Rutte a déroulé une stratégie différente de celle de ses voisins, déclarant vouloir développer une "immunité collective" à la maladie. Mardi, il a indiqué que contrairement à la Belgique ou la France, le pays ne va pas entrer en "lockdown".
La Commission européenne va interdire l'accès de l'Union européenne aux voyageurs étrangers pour une période de 30 jours afin de limiter la propagation du coronavirus, a annoncé lundi la présidente de la Commission, Ursula von der Leyen après une vidéoconférence du G7. Cette interdiction portera sur les voyages non essentiels. Une information confirmée dans la soirée par le président français Emmanuel Macron qui a indiqué que cette interdiction entrera en vigueur dès ce mardi à midi.
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- Le Monde
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