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Brice Louvet
Les chauves-souris ne sont pas seulement des agents de dispersion de graines ou des contrôleurs naturels des populations d’insectes. Malheureusement, elles sont aussi des réservoirs de virus potentiellement dangereux pour l’Homme. Une récente étude au Brésil vient de mettre en lumière un nouveau coronavirus découvert chez ces animaux. Ce dernier présenterait des similitudes inquiétantes avec celui responsable du Syndrome Respiratoire du Moyen-Orient (MERS). Cette découverte soulève des questions cruciales sur la surveillance des virus zoonotiques et les risques qu’ils représentent pour les humains.
Les microplastiques sont devenus l’une des préoccupations environnementales majeures du vingt et unième siècle. Ces minuscules fragments de plastique, généralement de moins de cinq millimètres, se retrouvent désormais partout : dans l’air que nous respirons, dans l’eau que nous buvons et dans la nourriture que nous consommons. Néanmoins, ce qui est encore plus inquiétant, c’est que les microplastiques ont été retrouvés dans des parties du corps humain telles que les poumons, les reins, le foie, le cœur et même le cerveau. Ce phénomène soulève une question fondamentale : les microplastiques représentent-ils un danger réel pour notre santé ?
Des chercheurs de l’Université du Texas ont révélé que les cendres de charbon, un sous-produit industriel souvent négligé, renferment une quantité impressionnante d’éléments de terres rares d’une valeur estimée à 8,4 milliards de dollars. Cette découverte pourrait transformer l’approvisionnement en minéraux essentiels et réduire considérablement la dépendance américaine aux importations étrangères.
une étude menée récemment par des chercheurs finlandais de l’Université d’Aalto suggère que ces chiffres pourraient bien être sous-estimés, notamment en ce qui concerne la population qui vit dans des zones rurales et difficiles à surveiller.
Les armes nucléaires ont marqué un tournant dans l’histoire militaire, mais leur fabrication reste un défi. Voici pourquoi.
La solution : l’acier vert par électrolyse - Boston Metal, une startup fondée en partie grâce au MIT, a mis au point une technologie qui pourrait changer la donne : l’électrolyse à oxyde fondu (MOE) à anodes inertes multiples. Ce procédé innovant repose sur l’utilisation de l’électricité pour extraire le fer du minerai sans recourir au coke. En remplaçant ce dernier par une anode métallique insérée dans un réacteur, l’électricité chauffe le minerai de fer à des températures très élevées (environ 1 600 degrés Celsius), ce qui déclenche les réactions nécessaires à la formation du fer en fusion. L’avantage principal de cette méthode est que le sous-produit de la réaction est de l’oxygène plutôt que du CO2, ce qui offre ainsi une solution sans émission de carbone.
La hausse du nombre d’armes nucléaires chinoises suscite des inquiétudes croissantes sur la scène internationale. Selon un rapport du Nuclear Notebook publié par la Fédération des scientifiques américains, la Chine posséderait environ 600 ogives et poursuivrait une expansion rapide qui fait d’elle la puissance nucléaire à la croissance la plus rapide parmi les neuf États dotés de l’arme atomique.
La singularité technologique : qu’est-ce que c’est ? La singularité technologique est un concept fascinant, mais aussi inquiétant qui désigne un moment hypothétique où l’intelligence artificielle (IA) dépasserait l’intelligence humaine. Ce seuil marquerait un tournant radical dans l’histoire de l’humanité avec des machines capables non seulement de comprendre et d’apprendre des tâches humaines, mais aussi de s’améliorer d’elles-mêmes à un rythme exponentiel. Autrement dit, une fois l’intelligence artificielle générale (AGI) atteinte, les machines seraient en mesure de concevoir des versions encore plus puissantes d’elles-mêmes, ce qui créerait un effet boule de neige difficile à anticiper.
La Chine vient d'annoncer une découverte majeure de pétrole et de gaz naturel dans le bassin du golfe de Beibu, en mer de Chine méridionale.
Imaginez une source d’énergie inépuisable capable de répondre à tous nos besoins sans épuiser les ressources naturelles.
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