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inaction
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Depuis la « décision Urgenda » de 2015 aux Pays-Bas – récemment confirmée en appel et qui a vu le gouvernement néerlandais condamné pour inaction climatique – on observe une multiplication de ce type de procès dans le monde. Un peu partout, des citoyens, des associations, mais aussi des villes optent pour la voie juridique dans le but de faire pression sur leurs gouvernements mais aussi les grands groupes, au nom de la justice climatique et du respect de l’environnement.
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La question du prix de l’inaction face au dérèglement climatique n’est pas nouvelle : elle apparaissait déjà dans l’action en justice entamée par l’ONG Urgenda (Pays-Bas) en juin 2015 ; dans cette affaire, l’ONG avait attaqué le gouvernement néerlandais en l’accusant d’inaction face au changement climatique ; elle lui reprochait plus particulièrement de ne pas agir suffisamment pour réduire les émissions de CO2.
By continuing to delay significant reductions in greenhouse gas emissions, we risk handing young people alive today a bill of up to US$535 trillion. This would be the cost of the “negative emissions” technologies required to remove CO₂ from the air in order to avoid dangerous climate change.
Depuis 2015, des actions en justice climatique ont fleuri un peu partout dans le monde Mais ces dernières années, la nouveauté consiste à réclamer à l’État de prendre ses responsabilités climatiques. Au nom de ses devoirs de protection des populations, celui-ci doit répondre pour son inaction ou ses actions inefficaces dans le domaine. Si elles sont nouvelles, ces réclamations ne supposent pourtant pas d’inventer de nouveaux droits