Articles 2020

OA - Liste

Recherche : Articles Audio – podcast Fiches Livres Sites Vidéos retour Veille

Uniquement les Articles de la décennie 2020

Pour voir les références d’un(e) auteur(e), cliquez sur son nom. Pour revenir à la page, utilisez le bouton refresh ci-dessous.

Cela fonctionne également avec les mot-clés de chaque référence.

Résultats pour:
low lowtech

juin 2024

Concevoir des objets utiles, sobres, faciles à réparer: depuis peu, des écoles d'ingénieurs initient leurs étudiants aux "low-techs", des pratiques visant à faire mieux avec moins, à rebours de l'image de haute technicité associée au métier.Derrière cet anglicisme, construit en opposition aux "high-techs", se cache un mouvement né dans les années 1970 qui questionne le "tout technologie", avec en toile de fond l'épuisement des ressources naturelles.

février 2024

Vivre en autonomie dans le désert mexicain grâce aux low tech, tel est le défi relevé par Corentin de Chatelperron et Caroline Pultz.

novembre 2023

Pour Caroline, éco-designeuse, et Corentin, ingénieur, on peut, grâce aux low-tech, ces techniques peu gourmandes en ressources, vivre même dans les milieux les plus arides. Pour le prouver, ils vont bâtir tout un écosystème destiné à vivre en autonomie pendant quatre mois dans le désert. Four-parabole, toilettes-ressourcerie ou dessalinisateurs solaires… une préparation dans les moindres détails pour une mission hors norme.

septembre 2023

Impulsée en 2007 l’association Tripalium développe les stages d’autoconstruction d'éolienne de type piggott.

juin 2023

Dans la ville de Nantes, aux rencontres organisées à la fin du mois de juin par l’association APALA, censée mettre en avant la Low Tech, une discussion publique s’est muée en festival du malaise : Yves Cochet, un ancien ministre de l’Aménagement du territoire (époque Jospin) discutera avec Ferghane Azihari, auteur récent d’un affligeant texte (Les écologistes contre la modernité) obsédé par la croissance économique, aveugle à la raréfaction grandissante de ressources essentielles, qui considère que tout ce qui s’exprime à contre courant de la mondialisation "constitue un profond désintérêt pour le sort de l’humanité ». Certains animateurs de la "fresque des low techs" nous ont transmis cette tribune, qui met le doigt sur les différents processus de dévoiement/détournement des critiques de la technique.

mai 2023

Le voici, le voilà ! Le nouveau dada des adeptes de la green tech et de la croissance verte : l'hydrogène blanc (ou naturel), directement pompé sous forme H₂ dans le sol. On le pensait extrêmement rare... Mais on en a découvert d'énormes gisements au Mali, aux Etats-Unis et en Finlande dans les zones volcaniques, dans les fonds marins, en Amazonie... Le techno-capitalisme est sauvé ! Sur le papier, c'est LA source d'énergie parfaite : ça ne rejette que de l'eau, et n'exige pas d'électrolyse coûteuse et énergivore. Il suffit de le récolter dans le sous-sol, et de l'exploiter, pour décarboner nos vie et sauver la planète ! Oui, mais voilà...
Équipé d'un four solaire capable de cuire du pain, même en Normandie, ce boulanger explique sa nouvelle manière de travailler.

avril 2023

Dans le cadre du dernier épisode du PODCAST 'le Tournant' nous nous intéressons à la démarche low tech. Une approche...
Dans « Perspectives Low-Tech. Comment vivre, faire et s’organiser autrement ? » Quentin Mateus et Gauthier Roussilhe s’interrogent : la low tech peut-elle conserver son potentiel émancipateur ou est-elle condamnée à être dévoyée.

mars 2023

Philippe Bihouix, centralien, directeur général de l'Arep, filiale de la SNCF, a popularisé la démarche lowtech. Il explique en quoi elle est, selon lui, incontournable dans la marche vers la sobriété.

janvier 2023

The deployment of low-tech requires taking into account the human factor and changing design practices.

juillet 2022

Face aux effets et dégâts engendrés par certaines technologies, comment imaginer des systèmes technologiques plus sobres, plus durables, plus accessibles, plus simples – en bref, des « low tech » ? Si les low tech passionnent de plus en plus de monde, peuvent-elles pour autant passer à l’échelle ? Pour le dire autrement, sont-elles « scalables » ? Peuvent-elles devenir un sujet captivant pour le grand public, une préoccupation pour les institutions, des produits sur le marché ?
Les low-techs s'affichent comme un idéal de sobriété : moins de technologies, de ressources, de déchets... Ce mouvement popularisé par des passionnés en quête d'autonomie infuse aujourd'hui dans les réflexions sur l'innovation et l'ingénierie. Les pionniers de la low-tech nous réapprennent à cibler ce dont nous avons réellement besoin tout en s'adaptant aux ressources que notre environnement peut offrir.
Pour répondre objectivement à la question : "le logiciel libre peut-il nous accompagner au quotidien ?", nous devions tester ces solutions, dans le cadre privé et professionnel. C’est ce que nous avons fait.

juin 2022

Fours solaires, maisons en terre-paille, vélomobiles... Les low-tech plaisent. Ce projet politique radical ne doit pas être récupéré par de grands groupes guidés par la rentabilité, prévient l’auteur de cette tribune.
Vélos cargos, fours solaires… Jusqu’au 3 juillet, dans le Finistère, un « festival de la low-tech » vise à faire découvrir au grand public ces technologies sobres en ressources et en énergie.

février 2022

L’INR, est un think and do tank créé en 2018. Il émane de la fusion du club du Club Green IT, en association loi 1901 à but non lucratif. L’objectif étant d’ouvrir notre démarche au plus grand nombre et sur des thématiques plus larges que l’impact environnemental du numérique. le Club Green IT est devenu l’Institut du Numérique Responsable (INR).

janvier 2022

La question pose le choix de la frugalité ou de la technologie. Même si la réponse peut paraître évidente, elle est néanmoins contrastée, en fonction des besoins à satisfaire. La solution réside très certainement dans un équilibre savamment étudié entre les deux approches. Analyse.
La smart city « n’est ni une évidence, ni une fatalité« , affirme Philippe Bihouix, dans un rapport publié par le Lab de l’ESS.
Il est intéressant d’observer que le constat de l’impasse du modèle économique actuel est partagé par la plupart des acteurs de notre société. Tant les ONG que les institutions européennes ont conscience de la dangereuse trajectoire sur laquelle notre humanité se trouve. Mais c’est au niveau des solutions à apporter que les trajectoires divergent : chacun de ces acteurs semble avoir une interprétation différente de la « transition écologique ».

décembre 2021

Les low-techs sont aujourd’hui au cœur de nombreuses réflexions sur la durabilité de nos sociétés. Cependant, il est parfois difficile de cerner avec précision ce que recouvre ce concept. Dans ce texte, nous cherchons à le clarifier en le faisant reposer sur une vision globale du système technique.
L’histoire de l’humanité est marquée par la technique, mais cette dernière a connu une accélération sans précédent à notre époque moderne. Aujourd’hui plus que jamais, nos décideurs s’en remettent à la technologie face à la catastrophe écologique en cours. Au centre de ces innovations se trouve le numérique présenté comme la solution. Alors, croyance ou réalité ?

août 2021

Les low-tech, qui constituent une orientation technologique indispensable, peinent à sortir de la marginalité. En cause, leur difficile compatibilité avec les principes de croissance et de rentabilité ainsi que l’emprise qu’ont les hautes technologies sur nos manières d’imaginer le futur.
Les low-tech, ou technologies douces, ou sobres, constituent une orientation technologique indispensable. Elles peinent cependant à sortir de la marginalité. En cause, leur difficile compatibilité avec les principes de croissance et de rentabilité des entreprises. Et aussi l’emprise qu’ont les hautes technologies sur nos manières d’imaginer le futur.

septembre 2020

Combien d’énergie est nécessaire pour faire transiter un octet à travers un centre de données, un réseau et finalement un terminal (ordinateur, tablette, smartphone, TV) ? D’après les modèles de calcul du Shift Project, il faut 0.00000000072 kWh pour faire transiter un octet dans un centre de données, il faut 0.00000000152 kWh pour faire transiter un octet via WiFi et câbles et il faut 0.00021 kWh par minute pour maintenir allumer votre terminal. Ces chiffres peuvent sembler très abstraits ; alors comment se transforment-ils lorsqu’on les ramène à un usage de notre vie quotidienne ?
Vous utilisez tous les deux l’expression « technologies zombies » – mais en deux sens très différents. José, il s’agit d’un concept que tu développes en opposition aux technologies dites « vivantes ». Quant à toi, Nicolas, c’est un concept avec lequel tu es familier du fait de tes objets d’étude. Pourriez-vous brièvement nous préciser le sens et l’origine de cette expression dans le contexte d’usage qui est le vôtre ?

Présélections :