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Atacama
L'Observatoire européen austral (ESO) a averti lundi que le projet de centrale électrique prévu à proximité de ses télescopes dans le désert d'Atacama, dans le nord du Chili, pourrait avoir un impact "dévastateur" sur l'observation du ciel. La pollution lumineuse générée par le projet pourrait, selon l'organisme dédié à la recherche astronomique, perturber l'observation d'un des ciels les plus purs et étoilés du monde.
L'Observatoire européen austral (ESO) a alerté jeudi sur les risques de pollution lumineuse liés à un mégaprojet de production d'hydrogène et d'ammoniac vert dans le nord du Chili, une région particulièrement propice à l'observation du ciel. "Ce complexe menace le ciel pur de l'Observatoire de Paranal de l'ESO dans le désert d'Atacama", avertit l'organisation intergouvernementale dans un communiqué. Fin décembre, AES Andes, une filiale de la compagnie d'électricité américaine AES Corporation, avait annoncé soumettre le projet à une étude d'impact sur l'environnement.
Le désert chilien d’Atacama, le plus aride de la planète, s’est paré de fleurs violettes et blanches sur plusieurs kilomètres, grâce à des précipitations inhabituelles dans cette région du nord du pays. Le phénomène, qui n’avait pas été observé à cette période de l’année depuis 2015, a surpris les touristes et les habitants des villes voisines, habitués, ces dernières années, à admirer ce spectacle naturel à partir de septembre.
Le groupe énergétique Generadora Metropolitana a inauguré lundi dans le désert de l'Atacama (nord) la plus grande centrale solaire du pays, avec une capacité installée de 480 mégawatts (MW), pouvant alimenter près d'un demi-million de foyers en électricité.
Le désert d'Atacama, dans le nord du Chili, est le réceptacle de tonnes de vêtements usagés, mais aussi de voitures et pneumatiques en fin de vie provenant du monde entier, une menace pour son écosystème unique.
Le désert d’Atacama, dans le nord du Chili, est le réceptacle de tonnes de vêtements usagés, mais aussi de voitures et pneumatiques en fin de vie provenant du monde entier, une menace pour son écosystème unique.
Le désert d'Atacama au Chili se couvre généralement de fleurs sous l'effet du phénomène d’El Niño, qui provoque des précipitations dans les zones côtières du désert. Mais cette année est marquée par le phénomène inverse, La Niña, ce qui rend la floraison actuellement constatée inhabituelle. Cela a provoqué l'inquiétude du gouvernement qui a décidé de placer une partie du désert sous le statut de parc national, le plus protecteur actuellement en vigueur.
De Chileense milieurechtbank onderzoekt de impact van de duizenden ton afgedankte kleding die jaarlijks gedumpt wordt in de Atacamawoestijn. De impact op het ecosysteem is zo groot dat advocaten in de zaak spreken over “nalatigheid en schuldig verzuim”.
Dans le désert chilien, ce sont des dunes de vêtements qu’il est possible d’observer. Selon El País, des habits jetés provenant des quatre coins du monde s’y accumulent dans une décharge illégale.
Des bottes de pluie ou même des après-ski en plein désert d’Atacama : dans le nord du Chili, les décharges sauvages de vêtements et de chaussures usagés grossissent à la mesure de la production effrénée de la mode à bas coût à l’échelle mondiale.
Tous les cinq à sept ans, ce désert du nord du Chili se couvre d’un parterre de fleurs en fonction des conditions climatiques. Les autorités régionales veulent rendre ce phénomène annuel en arrosant le lieu.