Articles 2020

OA - Liste
Uniquement les Articles de la décennie 2020

Les champs auteur(e)s & mots-clés sont cliquables. Pour revenir à la page, utilisez le bouton refresh ci-dessous.

filtre:
cop

novembre 2025

La coalition Kick Big Polluters Out a identifié plus de 1 600 lobbyistes des énergies fossiles parmi les 40 000 inscrit·es au 30ème sommet mondial (COP30) sur le climat à Belém (Brésil). C’est la plus forte concentration jamais observée à une COP.
Les négociations climatiques de la COP30 au Brésil sont fragilisées par la présence en nombre de participants liés, plus ou moins directement, à l'industrie des énergies fossiles, a dénoncé vendredi une coalition d'ONG qui a tenté de les décompter.
À l’occasion de la COP30, la conférence annuelle des Nations unies sur le changement climatique, qui a lieu au Brésil en novembre 2025, la rédaction de Brief.science vous propose un e-book exceptionnel pour comprendre le changement climatique en 20 infographies.
Mardi soir, des représentants amazoniens ont tenté de forcer l’entrée de la « zone bleue » des Nations unies. Les Etats devront répondre aux inquiétudes de ces « gardiens de la forêt », en première ligne des dégradations de l’environnement.
Quelques jours après le début du 30ème sommet mondial (COP30) sur le climat, la tournure des discussions inquiète alors que l’hôte brésilien promeut des solutions jugées inefficaces voire dangereuses, avec la bénédiction des pays riches.
C'est la première COP organisée en Amazonie. Mais à Belém, mercredi, des autochtones brésiliens, dont le célèbre cacique Raoni, ont fait entendre leur frustration, estimant que leurs voix ne sont pas suffisamment prises en compte.
Dix États viennent de s’engager à défendre l’intégrité de l’information liée au changement climatique à l’occasion de la 30ème conférence mondiale (COP30) sur le climat à Belém (Brésil). Ils ont appelé à mettre en place des cadres légaux pour lutter contre la désinformation, qui sape «la capacité des sociétés à élaborer des solutions collectives».
La Chine se présente comme le leader de l’économie des énergies renouvelables, face à des Etats-Unis arc-boutés sur les énergies fossiles. Mais cette transition se révèle trompeuse, écrit Pascal Riché dans sa chronique au « Monde ».
Des heurts ont eu lieu entre des militants autochtones brésiliens et les agents de sécurité de la conférence sur le climat de l’ONU à Belem, au Brésil.
« Je suppose qu’il est tentant, si le seul outil dont vous disposez est un marteau, de traiter tout comme s’il s’agissait d’un clou. » C’est ce qu’écrivait le célèbre psychologue Abraham Maslow en 1966. Si Maslow était encore parmi nous aujourd’hui, j’imagine qu’il approuverait le corolaire selon lequel si votre seul outil est la technologie, chaque problème semble avoir une solution technologique. Et c’est une caractérisation pertinente de la pensée centrée sur les « tech bro » qui prévaut aujourd’hui dans le discours public sur l’environnement.
Alors que la COP30 débute aux portes de l’Amazonie, de riches propriétaires de terres assènent de fake news le débat sur la déforestation. Reporterre a rencontré l’un de ces leaders, cow-boy pro-Trump résolument anti-écologiste.
Dans une tribune au « Monde », un collectif de doctorants et de doctorantes en sciences de la Terre et du climat dénonce l’hypocrisie de politiques internationales qui prétendent mener la transition écologique mais « minent, décision après décision, les moyens d’y parvenir ».
Plus de 3 000 représentant·es des peuples autochtones brésiliens se rendent à Belém, où se déroule le 30ème sommet mondial sur le climat. Sur place, l’espace «Aldeia COP» a été pensé pour défendre leurs territoires, partager leurs savoirs ancestraux et influer sur les négociations climatiques. Vert s’y est rendu.
Exclusive interview with ex-US vice-president at Cop30 also reveals his hope around much-maligned climate summit
En l'absence de Donald Trump à la COP30 au Brésil, c'est son principal opposant, le gouverneur démocrate de Californie Gavin Newsom, qui attire la lumière mardi, en profitant pour décocher des flèches contre le président climatosceptique.
Plus de 80 pays n’ont toujours pas remis leur plan de baisse d’émissions de gaz à effet de serre pour 2035, alors qu’ils étaient tenus de le faire avant le coup d’envoi du sommet mondial. Une situation qui illustre la difficulté croissante à faire converger les efforts. […] Elles portent un nom abscons, mais, dans cette COP30 qui a débuté lundi 10 novembre à Belém, au Brésil, leur rôle est crucial. Les NDC, pour «contributions déterminées au niveau national», désignent les plans climatiques par lesquels chaque Etat s’engage, devant le reste du monde, à baisser ses émissions de gaz à effet de serre et rendre compte de ses progrès. Instituées par l’accord de Paris en 2015, ces feuilles de route doivent être actualisées tous les cinq ans, et les pays ont l’obligation de rehausser leur degré d’action à chaque nouvelle mouture.
Les Etats les plus vulnérables, soutenus par les Européens, défendent un rehaussement des ambitions concernant l’atténuation des émissions de gaz à effet de serre. D’autres pays, menés par la Chine et l’Inde, veulent rouvrir le sujet de la finance climatique.
La cité fondée en 1616, dont 60 % des habitants vivent dans des bidonvilles, accueille la COP30 dans une zone ultrasécurisée. Elle incarne les paradoxes du Brésil moderne, aux portes de la forêt tropicale.
À quelques encablures du sommet onusien et de ses zones d’exposition officielles, le gouvernement brésilien a installé une «Agrizone», sponsorisée par les grands noms de l’agrobusiness. Les organisations de la société civile enragent de cette collusion affichée et dénoncent les multiples ravages de l’agriculture industrielle.
Cette figure médiatique, qui a participé aux travaux du GIEC, se voit reprocher ses activités de conseil aux grandes entreprises.