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Uniquement les Articles de la décennie 2020
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limites
Plus que d'être désiré ou craint, le transhumanisme demande à être compris. On peut y voir un symptôme de notre société collectivement individualiste et culturellement techniciste.
Au temps du changement global, une question est récurrente. Pouvons-nous continuer avec le capitalisme ou faut-il changer radicalement de mode d’organisation pour faire face à la situation ? Cette question est directement liée à celle des rapports entre sociétés capitalistes et nature extra-humaine.
Paul et Vincent Burnand-Galpin avaient évoqué l’hypothèse d’un « moment Pearl Harbor », un choc écologique assez puissant pour faire basculer l’opinion publique dans le sens de l’écologie et permettre la mobilisation générale face à l’urgence existentielle. J’ai aussi écrit à ce sujet. C’était faire l’hypothèse d’une boucle de rétroaction négative (régulatrice) dans le système combiné de la Mégamachine et de la Biosphère...
[VIDÉO] TF1 vous propose une expérience immersive spectaculaire en cette semaine de COP29. Un format en 3D volumétrique, d’un réalisme saisissant, pour mieux comprendre les limites planétaires. Regardez cette vidéo diffusée dans le 20H. - "Cette fois, la météorite, c'est nous" : la vidéo exceptionnelle de TF1 pour tout comprendre aux neuf limites planétaires (Environnement). TF1 INFO
Les plans mondiaux de réduction des émissions de carbone impliquent que la température dépassera 1.5°C, puis redescendra après vingt ou trente ans. Cependant, une nouvelle étude montre que des décennies au-dessus de ce seuil entraîneraient des « conséquences irréversibles » pour la planète.
La députée écologiste Sandrine Rousseau a publié un essai intitulé «Ce qui nous porte», aux éditions du Seuil. Dans cet entretien à Vert, elle raconte comment l’imaginaire des Trente glorieuses et de la toute-puissance continue de hanter la société et d’empêcher une véritable transformation écologique, hors du paradigme de la croissance. Et ce, alors même que «la société est prête».
L’obstination du premier ministre de l’Etat hébreu et de ses alliés dans la guerre qu’ils mènent à Gaza et au Liban va à l’encontre des intérêts à long terme de son pays, explique l’historien israélien, dans une tribune au « Monde ».
Vous avez certainement entendu parler de l’alerte climatique qui a été lancée. En effet, le monde a frôlé le point de rupture de la septième limite planétaire ! Lisez !
La députée écologiste et le rapporteur spécial de l’ONU sur les droits humains et l’extrême pauvreté rappellent, dans une tribune au « Monde », que la protection de la planète passe par la réduction des inégalités.
Une septième «limite planétaire» - l’acidification de l’océan -, est en passe d’être franchie, nous apprend l’Institut de Potsdam pour la recherche sur l'impact du climat, dans son dernier rapport.
Dans une étude inédite, des chercheurs ont calculé l’effort que représenterait le fait de permettre à chacun d’accéder à une vie digne, tout en préservant les limites planétaires. Pour les pays riches, comme la France, cela suppose de réduire drastiquement nos consommations et nos déplacements, tout en transformant nos systèmes énergétiques et alimentaires.
De nouvelles recherches montrent qu'il existe des limites à la vitesse à laquelle nous pouvons développer des technologies pour stocker des gigatonnes de dioxyde de carbone sous la surface de la Terre.
No planet B. Chaque année, l'ONG Global Footprint Network vient nous rappeler que l'humanité vit un tiers de l'année à crédit.
En 2024, le jour du dépassement est le 1er août, selon l’ONG Global Footprint Network. A compter de cette date, l’humanité prélève plus de ressources que la planète ne peut générer en un an. Natacha Gondran répond à nos questions.
Ce jeudi 1er août est le "jour du dépassement" et il arrive un jour plus tôt que l'année dernière.
En 2024 le “jour du dépassement” tombe le jeudi 1er août. Si c’est une occasion bienvenue de parler d’environnement, son calcul et ses implications font toujours débat. Dans cet article nous allons présenter plus en détail ce concept, son intérêt mais aussi ses limites.
Payer en points carbone ou en empreinte écologique : l’idée de créer des « monnaies écologiques » fait son chemin. En ce « jour du dépassement », Reporterre explore cette solution révolutionnaire. Le 1er août marque, cette année, le « jour du dépassement » de la Terre. Soit la date à laquelle nous avons consommé l’ensemble des ressources que la planète peut renouveler en une année, selon le décompte du WWF France, associé au Global Footprint Network. Pour régénérer tout ce que l’humanité consomme, il nous faudrait (...)
Mathis Wackernagel est l’économiste à l’origine du concept d’empreinte écologique qui permet de mesurer la pression qu'exerce l’humanité sur les ressources naturelles. Cette année, toutes les ressources régénérées par la planète en une année seront consommées dès le 1er août. Ce « jour du dépassement » symbolise ainsi la consommation déraisonné de ressources naturelles par l’espèce humaine. Dans cet entretien avec GoodPlanet Mag’, Mathis Wackernagel revient sur le concept d’empreinte écologique qu’il a co-créé, sur l’évolution du jour du dépassement au fil des années mais aussi sur l’impact de la croissance démographique et du numérique sur les ressources naturelles.
À compter de ce 1er août, l’humanité a consommé l’ensemble des ressources que la Terre peut générer en une année. Ce « jour du dépassement » illustre l’immense pression que les humains infligent continuellement à la planète. Calculée tous les ans par l’ONG Global Footprint Network, la date de ce jour symbolique signifie qu’environ 1,75 Terre serait nécessaire pour couvrir le mode de vie actuel de l’humanité. En d’autres termes, lors des 5 prochains mois, les ressources naturelles consommées par l’activité humaine ne pourront être régénérées par la planète bleue, créant des tensions qui s’accumulent année après année. « Bien que cela puisse sembler contre-intuitif, actuellement il est possible de consommer plus que ce que la nature régénère, dans la mesure où nous pouvons par exemple couper les arbres plus rapidement qu’ils ne repoussent, surexploiter les stocks existants de poissons, etc. De cette manière, comme en comptabilité financière, on peut dépenser plus que ce que l’on gagne », explique Mathis Wackern
Le modèle du tourisme de masse est-il tenable dans la durée ? Quel impact a-t-il notamment sur la ressource en eau ?