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Sur un chantier naval de la mer du Nord, des ouvriers s'affairent au pied de blocs de béton de la taille d'un immeuble. La Belgique se targue de construire la "première île artificielle au monde" d'énergies renouvelables, un projet pharaonique dont l'explosion des coûts fait grincer des dents.
Cela fait quelques années qu’une problématique se profile en catimini : de plus en plus de plateformes pétrolières arrivent en fin de vie, leurs puits se tarissant. Face au nombre grandissant de chancres industriels perdus en pleine mer du Nord, les géants du secteur doivent depuis trouver des solutions pour démanteler ces exploitations gigantesques. Lesquelles ? Zoom sur cet enjeu écologique massif.
Trois consortiums, comprenant plusieurs entreprises belges, se sont vus attribuer les contrats relatifs aux parties en courant alternatif (HVAC/High Voltage Alternating Current) de la future Île Princesse Elisabeth, a annoncé mercredi Elia, le gestionnaire du réseau haute tension, qui salue "une étape importante pour la réalisation" de l’île artificielle. Ces contrats portent sur un montant total d’1,452 milliards d’euros.
L'opérateur français GRTgaz et la société énergétique norvégienne Equinor ont signé lundi un accord pour le développement d'un projet de transport et de stockage géologique de CO2 entre Dunkerque et le large de la Norvège."Ce projet vise à décarboner dès 2029 la zone industrialo-portuaire de Dunkerque et son territoire qui représente en France 20% des émissions de CO2 de l'industrie, soit plus de 16 millions de tonnes", ont-ils annoncé dans un communiqué.
Le groupe danois Orsted met en garde le gouvernement allemand quant à ses ambitieux projets en matière d’éolien offshore. Selon le leader mondial du secteur, multiplier les fermes éoliennes trop rapprochées pourrait se révéler contre-productif, explique le “Handelsblatt”.
Les éoliennes en mer ont produit une quantité record d’électricité l’année dernière. Les parcs éoliens situés...
Les mesures réalisées aux Pays-Bas, à la demande de trois provinces côtières, font suite aux recherches menées sur les PFAS en Flandre.
La collision de deux cargos en mer du Nord, le 24 octobre, a fait un mort et quatre disparus, rapporte la “Tagesschau”. Alors que les opérations de recherche ont été suspendues, les autorités redoutent un autre désastre, écologique cette fois.
Le régulateur britannique du pétrole et du gaz a annoncé mercredi dans un communiqué avoir accordé une "autorisation de développement et de production" pour le champ controversé de Rosebank en mer du Nord, s'attirant immédiatement les foudres de défenseurs de l'environnement.
La Norvège a inauguré mercredi dans ses eaux de la mer du Nord le plus grand champ d'éoliennes flottantes au monde, une technologie encore émergente mais jugée prometteuse pour la transition énergétique.Composé de 11 turbines de 8,6 MW chacune, le champ Hywind Tampen fournit en énergie cinq plateformes pétro-gazières voisines, assurant environ 35% de leurs besoins.Entré en production à la fin de l'an dernier, il a été officiellement inauguré mercredi par le prince héritier de Norvège Haakon et le Premier ministre du pays, Jonas Gahr Støre, à environ 140 km des côtes.
Le premier ministre, Rishi Sunak, a insisté sur l’indépendance de son pays et la sécurité des approvisionnements. Chez les conservateurs, mais aussi dans l’opposition travailliste, certaines politiques écologiques sont remises en cause.
Le «Freemantle Highway» brûle depuis trois jours près des côtes des Pays-Bas. Outre la menace écologique, le sinistre met en avant les risques liés au transport par mer de véhicules électriques.
Des milliers d'installations de gaz et de pétole sont laissées à l'abandon dans la Mer du Nord, ce qui engendre de la pollution et peut occasionner d'autres dangers.
Le groupe français de câbles électriques Nexans a annoncé vendredi avoir remporté "le plus important contrat de son histoire", pour le raccordement de futurs parcs éoliens offshore en mer du Nord au réseau électrique en Allemagne.Nexans a remporté un accord-cadre avec TenneT, opérateur de réseaux de transport d'électricité aux Pays-Bas et dans une partie de l'Allemagne, pour trois projets de raccordement au continent de parcs éoliens situés en mer du Nord allemande, portant sur un montant initial de 1,7 milliard d'euros.
Un sommet destiné à décupler les capacités européennes en matière d'éolien offshore réunit, lundi à Ostende en Belgique, le président français Emmanuel Macron, le chancelier allemand Olaf Scholz ou encore le Premier ministre néerlandais Mark Rutte. L'UE s'est récemment entendue pour doubler, à 42,5 %, la part des renouvelables dans sa consommation énergétique d'ici 2030.
Des objectifs ambitieux ont d'ores et déjà été fixés. Le Premier ministre Alexander De Croo espère désormais voir les choses "avancer rapidement".
Neuf pays d'Europe se sont réunis en sommet lundi en Belgique pour sceller leur ambition commune de décupler leurs capacités d'éoliennes en mer du Nord, un défi industriel colossal pour accélérer la décarbonation du continent."C'est un jour décisif pour faire de cette mer du Nord la plus grosse centrale électrique verte du monde", a insisté le Premier ministre belge Alexander De Croo, à l'issue de ce sommet à Ostende sur la côté flamande.
Neuf pays d'Europe se sont réunis en sommet lundi en Belgique pour sceller leur ambition commune de décupler leurs...
Ce que révèle une enquête menée par différents médias scandinaves.
La pollution atmosphérique en mer du Nord est peu et mal réglementée. La Belgique a inventé un outil révolutionnaire, l’avion renifleur, pour la détecter. Mais il reste sous-exploité, et les contrôles comme les sanctions restent faibles.
La pollution atmosphérique en mer du Nord est peu et mal réglementée. La Belgique a inventé un outil révolutionnaire, l’avion renifleur, pour la détecter. Mais il reste sous-exploité, et les contrôles comme les sanctions restent faibles.
Depuis dix jours, des activistes de Greenpeace occupent un transporteur de plateforme pétrolière qui viendra agrandir un champ pétrogazier de Shell en mer du Nord. Entretien avec un des militant·es à bord, Pascal Havez.
Plein gaz sur le GNL: l'Allemagne inaugure samedi son premier terminal de gaz liquéfié, destiné à éviter les pénuries et à remplacer les livraisons russes, stoppées par la guerre en Ukraine. Mais l'approvisionnement à court terme demeure incertain.La cérémonie, présidée par le chancelier Olaf Scholz, se tiendra à bord du bateau FSRU "Hoegh Esperanza", amarré depuis jeudi sur la plateforme flambant neuve de Wilhelmshaven, au bord de la mer du Nord.
Une décision qui ne fait pas l'unanimité compte tenu des enjeux climatiques.
Le groupe néerlandais TenneT va lancer un appel d'offres "à grande échelle", pour un montant de commande estimé jusqu'à 30 milliards d'euros, afin de répondre aux objectifs d'éolien offshore allemands et néerlandais, a annoncé le gestionnaire de réseau jeudi. Alors que l'annonce d'un recours accru au charbon en Allemagne et aux Pays-Bas suscite l'inquiétude de la Commission européenne, TenneT a indiqué dans un communiqué qu'il produira 40 gigawatts d'électricité en mer du Nord d'ici à 2030.
L’Allemagne, le Danemark, les Pays-Bas et la Belgique ont annoncé mercredi 19 mai vouloir installer pour près de 150 gigawatts d’éoliennes en mer du Nord d’ici à 2050, pour en faire la « centrale électrique verte de l’Europe » et se passer des hydrocarbures russes.
Près de cinq kilomètres carrés de cet espace ont pu être localisés et cartographiés grâce aux instruments océanographiques de pointe à bord de l'ancien navire de recherche belge Belgica.
Le gouvernement britannique prépare une nouvelle stratégie énergétique qui entend redonner de l'élan aux extractions en mer du Nord, dans la foulée de l'arrêt des importations de brut et produits pétroliers russes annoncée mardi.
Depuis 2008, des éoliennes pointent le bout de leurs hélices dans la mer du Nord belge. Comment se comporte la vie marine autour de ces éoliennes et quel impact ont-elles sur les oiseaux? C'est ce qu'observe depuis 13 ans le programme WinMon.BE, qui fait le bilan dans un nouveau rapport relayé vendredi par l'Institut royal des sciences naturelles de Belgique (IRSNB).
Le Conseil des ministres a donné vendredi son feu vert à un triplement à terme de la capacité de production d'énergie éolienne en mer du Nord.
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Du méthane s’échappe en abondance d’anciens sites de forage destinés à l’extraction de gaz naturel et de pétrole en mer du Nord, alertent des experts du centre allemand de recherche océanographique de Kiel. Ces fuites sont probablement la cause principale de la présence de méthane en mer du Nord.
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Imaginez une première digue de 161 kilomètres reliant l’ouest de la France, par le finistère, à la pointe sud-ouest de l'Angleterre et une seconde digue de 476 kilomètres reliant le nord de l'Écosse à l'ouest de la Norvège. Ce projet titanesque porte un nom : NEED (Northern European Enclosure Dam)... Mais si rien n’est fait pour corriger le réchauffement climatique, il pourrait s’agir du moindre mal afin de protéger environ 25 millions d’Européens..
Quatre associations de défense de l’environnement, dont le World Wide Fund for Nature Belgium et l’aile belge de Greenpeace, contestent les concessions en mer du Nord accordées par le gouvernement fédéral à trois industriels, Belmagri, Alzagri et DC Industrial, une filiale du groupe De Cloedt. Elles demandent au Conseil d’État d’annuler l’arrêté ministériel du 30 juillet dernier ayant prolongé ces concessions pour dix ans, jusqu’au 31 décembre 2029.