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La réunion de l’OPEP+ aura duré 30 minutes. La décision est tombée : -2 millions de barils par jour en moins sur les marchés. Officiellement, le motif est "l'incertitude qui entoure les perspectives de l'économie mondiale et du marché pétrolier". Comprenez : avec la récession qui arrive, mieux vaut baisser les extractions avant que les prix ne s’écroulent. Cependant, des autres lectures peuvent être faites : un bras de fer avec le G7, un clin d’oeil à Joe Biden dont les élections de mi-mandat redoutent la hausse des prix de l’essence. Quid de l’inflation et de la récession. On analyse tout ça !
La fin de l’âge de pierre ne s’est pas terminée par la disparition des pierres. La fin de l’âge du pétrole ne se terminera pas par la disparition du pétrole. Cependant, les extractions de gaz et de pétrole, comme dans toutes les autres matières premières, nécessitent de plus en plus d’efforts et d’énergies. A l’image de la devise des jeux olympiques, la société humaine cherche son énergie plus profondément, plus loin et plus épars. L’efficacité technologique ayant également des limites, on se retrouve devant l’obligation de mettre de plus en plus d’énergies pour en obtenir de moins en moins en retour et ça… c’est ballot.
Le gouvernement britannique prépare une nouvelle stratégie énergétique qui entend redonner de l'élan aux extractions en mer du Nord, dans la foulée de l'arrêt des importations de brut et produits pétroliers russes annoncée mardi.
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Pour empêcher un déclin de la production mondiale de pétrole d’ici à 2025, l’Agence internationale de l’énergie (AIE) annonce qu’il faudrait multiplier par 2 ou 3 les extractions de pétrole de schiste. Or aux Etats-Unis, le pétrole de schiste continue à perdre de l’argent… Les conséquences du « supply crunch » qu’envisage l’AIE promettent d’être particulièrement rudes pour l’Europe.
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