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La vaccination infantile recule à l'échelle mondiale, menaçant des millions de vies, selon une étude
(25/06) - France24,Une étude publiée dans The Lancet mercredi révèle un recul de la couverture vaccinale des enfants entre 2020 et 2023, lié à la pandémie, aux inégalités et à la désinformation. Plus de 15 millions d’enfants n’ont pas reçu leurs vaccins essentiels en 2023.
La cour d’appel de Hamm en Allemagne a rejeté, mercredi 28 mai, la plainte d’un paysan péruvien contre le géant de l’énergie RWE, déposée en 2015. Elle a, en revanche, accepté le principe d’une responsabilité mondiale dans les dommages liés aux changements climatiques.
La consommation mondiale de pétrole devrait connaître "une légère baisse" en 2030, premier signe de déclin de cette énergie fossile responsable du changement climatique depuis 2020, année hors norme du Covid, a indiqué mardi l'Agence internationale de l'énergie (AIE) dans un rapport.
L’Agence France-Presse a déclaré, ce vendredi 13 juin, vouloir économiser 12 à 14 millions d’euros sur 2025 et 2026, à cause d’une «dégradation durable» de ses perspectives financières.
Les dépenses mondiales consacrées aux armes nucléaires ont augmenté de 47% au cours des cinq dernières années, passant de 68 milliards de dollars (59 milliards d’euros) à 100 milliards de dollars (86,8 milliards d’euros), selon un nouveau rapport de la Campagne internationale pour l’abolition des armes nucléaires (ICAN). Selon ce rapport, les pays disposant d’armes nucléaires étrangères sur leur territoire, dont la Belgique ferait partie, dissimulent le coût de ces armes à leurs citoyens et à leurs législateurs.
Après une semaine de discussions intenses, le sommet de Nice (Alpes-Maritimes) s’est conclu ce vendredi avec l’adoption d’une série d’«engagements pour l’océan». Si la France a relancé la dynamique internationale pour la protection de la haute mer et des grands fonds, elle s’est empêtrée dans des annonces trompeuses concernant ses aires marines protégées.
Un rapport des Nations Unies paru mardi 10 juin démontre que la baisse globale des taux de fécondité résulte principalement de facteurs socio-économiques, qui n’incitent pas les couples à procréer plus qu’un refus d’enfants.
La planète a connu en 2024 le nombre de conflits armés le plus élevé depuis 1946, détrônant 2023 qui était déjà une année record, selon une étude norvégienne publiée mercredi, qui met en lumière les risques liés à un désengagement américain.
Dans une tribune au « Monde », Rémi Parmentier, à l’initiative de la plateforme Let’s Be Nice to the Ocean, estime que la conférence de Nice est l’occasion de diminuer enfin, sinon de supprimer, les aides publiques à la pêche intensive, dévoreuse de carburant, semeuse de déserts sous-marins et de ruine pour les petits pêcheurs.
L’accord sur les pandémies signé en mai 2025 par les États membres de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) est présenté comme un succès historique du multilatéralisme. Pourtant, il pourrait se révéler délétère pour les autres priorités de santé globale, du fait de la gouvernance technocratique qu’il propose et des coûts financiers élevés qui seraient alloués à des risques pandémiques hypothétiques.
Les coups de tronçonneuse de l’Etat américain dans les budgets scientifiques mutilent aussi l’astronomie et notamment ses télescopes. Si l’Europe s’avère dès lors en position de force, il n’y a pas à s’en réjouir, selon l’historien des sciences Pascal Marichalar, dans une tribune au « Monde ».
La question de la réelle protection de ces espaces essentiels pour préserver les écosystèmes marins s’invite dans les discussions de la conférence mondiale sur l’océan qui se tient cette semaine à Nice. Si la France revendique désormais la protection d’un tiers de son territoire maritime, l’immense majorité de ces zones autorise quand même des pratiques de pêche destructrices pour la biodiversité.
Ce lundi, et jusqu’au 13 juin, les États du monde entier se retrouvent à Nice à l’occasion de la troisième conférence des Nations unies sur l’océan (Unoc) pour discuter de la préservation des écosystèmes marins. Vert fait le tour des enjeux du sommet.
Une recrudescence préoccupante de variole du singe sévit actuellement en Sierra Leone, causant déjà 15 décès et plus de 3 000 infections. D’après les épidémiologistes, il s’agirait de la même souche virale qui a provoqué une épidémie mondiale en 2022, mais sa propagation semble aujourd’hui beaucoup plus rapide et touche à la fois les hommes et les femmes. Les systèmes de santé de cette petite nation d’Afrique de l’Ouest sont submergés, et les autorités redoutent une extension de la maladie vers les pays voisins, voire à d’autres continents.
Nécessaires pour la production automobile mais aussi dans la défense ou l’électro-ménager, les aimants en terres rares commencent à manquer dans les usines, un peu partout dans le monde, après les restrictions d’exportation de la Chine, qui en a le monopole.
Dans une tribune publiée par Vert et intitulée «L’Océan, l’autre plafond de verre : pour une gouvernance de l’océan paritaire et inclusive», Women for Sea, Les Impactrices et SHE Changes Climate France plaident pour plus d'égalité dans les prises de décision concernant l’océan, à quelques jours du sommet mondial (Unoc3) sur le sujet à Nice. Leurs revendications feront l’objet d’une table ronde, ce jeudi, au palais des expositions de la cité azuréenne.
Tuvalu, Fidji, Maldives, Bahamas… ces pays sont plus que jamais menacés par la hausse du niveau des mers. À quelques jours de la conférence mondiale sur l’océan (Unoc), ils appellent les dirigeants du monde entier à mettre les questions liées à l’océan au centre de leurs politiques climatiques.
Cymene Howe et Dominic Boyer, de l’Université Rice, viennent de publier un commentaire dans Science qui ouvre un peu plus les yeux sur un sujet que l’on aimerait garder bien au frais : le coût humain de l’effondrement de nos glaciers. Spoiler alert : ce n'est pas pas un spin off des "Marcheurs Blancs" Game Of Thrones.
Imaginez un laser si puissant qu’il peut délivrer en un éclair une énergie cent fois supérieure à la consommation électrique mondiale. C’est exactement ce que vient de réaliser l’Université du Michigan avec son installation ZEUS, un système laser d’exception capable de produire des impulsions lumineuses atteignant 2 pétawatts (soit 2 millions de milliards de watts). Même si cet exploit ne dure qu’un instant incroyablement bref — 25 quintillionièmes de seconde — il ouvre des portes inédites à la recherche scientifique.
Le 14 mai dernier, la Chine a lancé en orbite les premiers satellites d’un réseau spatial qui pourrait bien révolutionner l’informatique mondiale — et bouleverser l’équilibre technologique entre Pékin et Washington. Objectif affiché : créer un super-ordinateur géant dans l’espace, indépendant des infrastructures terrestres, capable de traiter les données en temps réel grâce à l’intelligence artificielle.