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Températures
Selon le bilan de Météo-France, 2024, marquée par de nombreuses inondations, figurera parmi les dix années les plus pluvieuses et l’une des cinq plus chaudes jamais enregistrées.
Dans un bilan provisoire annuel dévoilé jeudi 19 décembre, Météo France annonce que 2024 figure dans le top 5 des années les plus chaudes et le top 10 des pluvieuses.
Mauvaise nouvelle pour le climat : la demande mondiale de charbon a atteint un nouveau record en 2024, année la plus chaude jamais enregistrée, et seul l'essor des énergies renouvelables devrait contribuer à la stabiliser jusqu'en 2027, a rapporté l'Agence internationale de l'énergie (AIE) mercredi."Après avoir atteint un niveau record en 2024, la demande mondiale de charbon devrait se stabiliser" jusqu'en 2027 du fait de la forte progression des énergies renouvelables, écrit l'AIE dans son rapport annuel sur le charbon dans le monde sur la période 2024-2027.
Si le lien entre le cyclone très destructeur à Mayotte et le réchauffement climatique est difficile à établir, la tendance à long terme est claire : les cyclones vont être plus intenses plus rapidement, et associés à plus de pluies, en raison de la hausse des émissions de gaz à effet de serre.
L'année 2025 devrait être l'une des trois plus chaudes enregistrées sur la planète, a indiqué jeudi l'agence britannique Met office, après une année 2024 record qui dépassera pour la première fois la barre symbolique de 1,5°C de réchauffement.
Le phénomène météorologique de La Niña avec ses températures plus basses pourrait se développer dans les trois prochains mois mais il sera "court et de faible intensité" et insuffisant pour compenser les effets du réchauffement climatique, a indiqué l'ONU mercredi.
Selon le service changement climatique du programme d’observation européen Copernicus, l’année 2024 sera la plus chaude que la Terre ait connue depuis l’apparition des relevés. Et l’augmentation de la température atmosphérique moyenne dépasse le seuil critique de + 1,5 °C par rapport à l’ère préindustrielle.
Avec un mois de novembre très chaud, l’année 2024 va battre avec certitude le record de 2023. Pour la première fois, la moyenne des températures mesurées entre janvier et décembre franchira temporairement l’objectif de l’Accord de Paris.
Encore plus chaude que le record de 2023: il est maintenant certain que 2024 sera la première année au-delà de la barre de 1,5°C de réchauffement par rapport à la période préindustrielle, limite à long terme fixée par l'accord de Paris.
En 2023, la température moyenne de la Terre a franchi un seuil critique. Une part importante de ce réchauffement demeurait inexplicable.
En 35 ans, la végétation en Antarctique s'est étendue à un rythme alarmant, révélant l'impact direct du réchauffement climatique. Une étude basée sur des données satellites met en lumière une transformation rapide et préoccupante du continent blanc.
Une étude, publiée dans « Science », attribue la forte hausse de la température en 2023 au fait que la Terre renverrait moins d’énergie solaire vers l’espace. D’autres scientifiques estiment qu’il s’agit d’un effet combiné des émissions de gaz à effet de serre et d’une forte variabilité naturelle du climat.
Le réchauffement de la planète révèle aujourd'hui un phénomène inquiétant: des régions entières subissent des vagues de chaleur si intenses qu'elles échappent aux prévisions des modèles climatiques actuels. Ces anomalies extrêmes, détectées partout sauf en Antarctique, redéfinissent les limites de nos compréhensions sur le climat.
Les températures relevées dans le sud de la France interpellent les climatologues.
Ces pics à plus de vingt degrés en plein mois de novembre sont la conséquence du réchauffement climatique et d’un effet de foehn, souligne Météo-France.
Quelques jours après le premier épisode neigeux qui a déferlé sur une large partie de l’Hexagone, des températures anormalement élevées pour la saison ont été enregistrées dans la nuit du dimanche 24 au lundi 25 novembre.
Ces zones, déjà parmi les plus chaudes, devraient connaître des hausses spectaculaires de températures dans les prochaines décennies.
Au sein même des villes, ce phénomène d’îlot de chaleur affecte différemment les quartiers selon la densité et la qualité des bâtiments, selon la végétation et selon les niveaux d’activité humaine. À Paris, Bordeaux, Lille et Nantes, ce sont à la fois les ménages les plus aisés et les plus modestes qui sont les plus exposés, car ils habitent dans les centres-villes. À Lyon, Marseille, Montpellier, Nice et Strasbourg, les ménages modestes sont les plus exposés au phénomène d’îlot de chaleur urbain et les ménages aisés sont les moins exposés, car ils habitent dans des quartiers périphériques moins denses, plus verts et aux constructions récentes.
Ça sent le sapin. Les arbres sont en première ligne face au réchauffement climatique. Illustration dans les montagnes jurassiennes, où les événements extrêmes affaiblissent les épicéas communs et les rendent plus vulnérables aux attaques d’insectes.
Selon une étude de l'UNICEF, 466 millions d'enfants vivent actuellement dans une région où le nombre de journées extrêmement chaudes est au moins deux fois supérieur à ce qu'il était il y a seulement soixante ans.
Au cours de l'histoire, l'espèce humaine a toujours pu s'adapter, mais les défis climatiques actuels sont peut être trop importants.
Le phénomène lié au changement climatique, qui menace la survie de récifs riches en biodiversité, touche désormais plus des deux tiers des coraux, dans l'Atlantique, le Pacifique et l'océan Indien.
Septembre 2024 a été le 2e mois de septembre le plus chaud jamais enregistré, poursuivant une série de plus d'un an de températures exceptionnelles qui rend "quasiment certain que 2024 sera l'année la plus chaude jamais mesurée" devant le record de 2023, a annoncé mardi l'observatoire européen Copernicus.
Cet été a été le plus chaud jamais enregistré sur le continent européen, rapporte jeudi l'observatoire européen Copernicus.
Selon une étude publiée mercredi 25 septembre, les précipitations de la mi-septembre dans la région ont été «7 % plus intenses» à cause de la hausse planétaire des températures.
Des matinées à 8 °C, des neiges sur les hauteurs et des vents frisquets en Méditerranée… Depuis ce lundi 9 septembre et jusqu’à samedi, la météo va se dégrader avec des températures similaires à celles de la Toussaint.
L’été 2024 poursuit une interminable série de records de températures mondiales, avec son cortège de canicules, de sécheresses ou d’inondations meurtrières alimentées par un réchauffement climatique sans répit. De juin à août, les trois mois de l’été de l’hémisphère nord ont connu la température moyenne mondiale la plus élevée jamais mesurée, battant déjà le record de 2023, a annoncé vendredi l’observatoire européen Copernicus.
Les températures moyennes mondiales en juin, juillet et août ont été les plus élevées jamais mesurées, a annoncé ce vendredi 6 septembre l’observatoire européen Copernicus. Le précédent record datait seulement de l’an dernier.
L'observatoire européen Copernicus a annoncé vendredi que l'été 2024 avait été le plus chaud jamais enregistré sur la planète. De quoi augmenter la probabilité que l'année 2024 batte elle aussi un record de température.
Phoenix, la capitale de l’Arizona, a enregistré, mardi, son centième jour d’affilée à plus de 37,8 °C. Du jamais-vu.
C’est le troisième été consécutif où les normales de saison ont été nettement dépassées en France. « L’été 2024 affiche une anomalie chaude de +0,7 °C par rapport à la normale 1991-2020 », dévoile un bilan de Météo-France publié le 2 septembre. Si le mois de juin a été conforme à la normale, le mois de juillet a été légèrement plus chaud (+0,6 °C), et le mois d’août a été nettement plus chaud (+1,5 °C).
L’été 2024 affiche une anomalie de +0,7°C par rapport à la normale 1991-2020, ce qui en fait le troisième consécutif au-dessus des normales, malgré une sensation de fraîcheur au Nord, selon Météo France publié ce lundi 2 septembre.
Le nord de la Norvège, situé au-dessus du cercle polaire arctique, a enregistré en août des températures record, largement supérieures aux plus hauts enregistrés l'an dernier, a annoncé l'Institut météorologique norvégien.
Selon Météo-France, la moyenne des températures en juillet-août a été plus élevée de 0,7 °C que celle de la période 1991-2020.
Les records de températures, d’orages violents et d’inondations révèlent de nouveaux extrêmes rendus possibles par le changement climatique.
Avec 31,3°C enregistrés à Uccle, ce dimanche a été le 1er septembre le plus chaud depuis le début des mesures en Belgique, selon l'Institut royal météorologique (IRM).
L’Australie a enregistré ce lundi 26 août des températures hivernales record, le mercure atteignant 41,6°C dans une partie de la côte nord-ouest du pays, a annoncé le centre météorologique australien.
La température à la surface de la mer Méditerranée a atteint par endroits 30 °C, mi-août. La canicule marine a commencé mi-juillet.
The Svalbard archipelago’s ice caps suffered extreme episodes of melting in summer 2024, brought on by exceptionally high air temperatures.
Les restrictions d'électricité ont repris sur l'ensemble de l'Ukraine, en raison de fortes chaleurs qui dopent la demande, à annoncé lundi le distributeur d'énergie national Ukrenergo.Depuis des mois, Moscou a lancé une campagne de bombardements massifs, visant les principaux centres de production et de distribution d'électricité ukrainiens, entraînant des coupures massives jusqu'à ce que la situation se normalise fin juillet. Mais celle-ci s'est de nouveau dégradée avec la chaleur estivale qui stimule notamment le recours aux systèmes de climatisation.