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Malthus
Pour l'économiste britannique, à long terme, le progrès économique n'augmente pas le revenu moyen. Une chronique de Charles Markowicz, expert-comptable certifié.
Les exponentielles, il faut arrêter leur course dès le départ, ou sinon c'est fichu. Le tort de Malthus aura sans doute été de formaliser des cycles de population sur une ou deux générations et pas sur le temps très long. Compte tenu de temps qu'il faut pour accélérer et ralentir des mouvements de croissance de population, n'est-ce pas sur un siècle ou deux que l'on devrait vérifier l'intuition de Malthus ?
On sait qu’une partie des extrêmes droites contemporaines, comme le FN/RN en France, tentent depuis quelques années de verdir leurs positions en affirmant que le nationalisme, en particulier la fermeture des frontières, seraient la solution enfin trouvée au basculement climatique. On sait moins que les sensibilités proprement écofascistes – qui se renforcent à mesure que s’approfondit la crise environnementale – ne sont pas nées dans un rapport d’extériorité radicale à l’écologie.
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L’idée d’une croissance heureuse, où l’économie pourrait continuer à croître éternellement si le capital se substitue assez rapidement aux ressources naturelles qui s’épuisent, ne fait pas l’unanimité, souligne Florian Fizaine, maître de conférences en sciences économiques.
Lorsque le Britannique Thomas Robert Malthus publia la première édition de son Essai sur le principe de population (1796), la planète comptait environ un milliard d’humains. Il y soutenait que la population ayant tendance à progresser plus vite que les subsistances, celles-ci viendraient inéluctablement à manquer si l’on ne mettait pas des entraves à la procréation. Il plaidait en particulier pour le mariage tardif
Vous pouvez voir sur l’image l’évolution du concept d’effondrement, de Malthus à Forrester. Ce dernier peut être considéré comme le véritable auteur du concept que j’appelle « falaise de Sénèque » ou « Effet Sénèque ».