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16 août 2024

Émission QR réalisée par le Green Office ULiège en collaboration avec les étudiants de Géographie (climatologie) et les étudiants de journalisme de l'Université de Liège sur le plateau du Média Campus.
Les orages de l’été et leurs fortes pluies sont parfois accueillis avec soulagement après une période de sécheresse. Mais aident-ils vraiment à recharger l’eau des nappes ?

15 août 2024

La société dans laquelle nous vivons semble de plus en plus hors de contrôle. Mais il ne s’agit pas d’une simple impression, nous explique Theodore Kaczynski, histoire et sciences dures à l’appui. En effet, plus un système se complexifie, plus son instabilité augmente. Toute gestion rationnelle de son développement devient alors impossible ; de même qu’en matière de prédictions économiques ou météorologiques, dès que l’on dépasse le très court terme, « l’échec est la norme ». D’où l’importance de mettre fin au développement technologique qui ravage actuellement les systèmes sociaux et biologiques mondiaux et menace de détruire l’essentiel de la vie sur Terre.
ce célèbre examen, par Langdon Winner, des implications politiques, sociales et philosophiques de la technologie s’avère plus actuel que jamais. Il démontre que les choix technologiques, loin d’être neutres, déterminent le genre de monde dans lequel nous vivons et le type d’être humain qui y vit, qu’en adoptant une technologie, on adopte une politique – autrement dit, que les décisions techniques sont des décisions politiques, aux conséquences majeures en matière de pouvoir, de liberté et de justice. La Baleine et le Réacteur nous encourage donc à nous défaire d’importants préjugés et lieux communs, en vue de nous permettre de reconstruire un rapport humain et politique à la technologie.
À l’heure de la crise écologique, le dogme révolutionnaire de la « réappropriation des moyens de production » ne peut plus être affirmé innocemment. Moteur humain, moteur mécanique : ce sont là les bases de l’invention capitaliste du « travail ». La croyance en la substituabilité indéfinie d’une dépense d’énergie abstraite nourrit le développement technologique et entretient une relation ambivalente avec la thermodynamique. Une conception substantialiste de la valeur, telle que développée par Karl Marx et relue par Robert Kurz, permet de réinscrire le paradigme énergétique à l’intérieur de la forme sociale capitaliste et d’en expliciter la dynamique propre. Le rapport de composition organique du capital articule en effet étroitement le « travail mort » des machines et le « travail vivant » des humains. La crise énergétique et ses retombées écologiques constituent en ce sens le mur externe du métabolisme capitaliste, l’autre mur étant la création d’une humanité superflue. L’abolition du travail abstrait ne pou
Printemps écologique. C'est le nom du premier écosyndicat français, lancé l'année dernière, qui est désormais implanté dans 10 secteurs clés. De la sensibilisation en passant par la réduction du temps de travail jusqu'à repenser le business model de son entreprise au prisme de l'urgence climatique, le Printemps écologique bouscule les codes du syndicalisme. Toute la semaine, Novethic explore les nouvelles formes d'activisme climatique qui prennent de l'ampleur en France.
L’impasse capitaliste se résume en une double crise : économique et écologique. Soit relancer la croissance quelles que soient les conséquences sur la nature, soit préserver l’environnement au détriment des profits. La solution à ce dilemme prend la forme d’une incantation magique : produire autrement. Après avoir démontré la supercherie d’un capitalisme vert, Tom Thomas aborde le problème sous un angle bien plus radical et politiquement dérangeant: le travail. Car c’est bien le travail comme rapport d’exploitation qui structure toute la production capitaliste et qui épuise les êtres humains aussi bien que la nature...
Alors qu'un mégafeu ravage depuis dimanche l’Attique - et notamment la banlieue d’Athènes -, la responsabilité des autorités grecques est pointée du doigt. Le gouvernement est accusé de laisser se répéter des incendies devenus annuels.
Une étude démontre que les feux de forêt de 2023 ont émis 8,6 milliards de tonnes de CO₂ et que ces événements extrêmes vont se multiplier.
Fabrice NICOLINO est journaliste d'investigation. Il est le créateur du mouvement « Nous voulons des coquelicots », et l'auteur de « Le grand sabotage climatique, révélations sur un système corrompu : ONU, multinationale, gouvernements » (Les liens qui libèrent) dans lequel il raconte une histoire de la pseudo-lutte contre le réchauffement climatique, bien différente du récit officiel. Dans cette interview par Olivier Berruyer pour Élucid, Fabrice Nicolino lève le voile sur l'hypocrisie des institutions qui prétendent agir pour climat, mais qui en réalité ne font qu'agiter de belles paroles, une novlangue qui rassure sans jamais ne permettre de prendre le problème à la racine. Ce système est en partie conduit par des individus complices des grands groupes industriels polluants. Aucun changement ne pourra advenir tant que ceux qui sont au pouvoir refuseront de remettre en cause l'ordre du monde. ✅ RETROUVEZ TOUTES NOS ÉMISSIONS EN PODCAST ! - Spotify : https://open.spotify.com/show/3K9IX9SIeXHDYA4t5VSsrJ?