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COPERNICUS – Mises à jour
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Un climatologue nous a contactés pour partager avec le public les changements climatiques qui se produisent en France. Il a constaté un réchauffement très rapide, particulièrement sur une période sensible pour la végétation. Vincent Cailliez, lauréat du prix André Prud’homme, décerné par la Société Météorologique de France (Météo et Climat), partage avec nous les conclusions de son travail.
A Los Angeles, l’un des lieux où s’est forgé l’imaginaire de la puissance du système capitaliste, les incendies mettent en évidence la question de l’habitabilité de la planète, menacée par l’expansion urbaine sans limite, souligne le géographe dans une tribune au « Monde ».
Inondations meurtrières, incendies en plein hiver, augmentation de 1,5 °C de la température terrestre moyenne… Cette série d’événements survenus ces derniers mois signale que nous sommes entrés dans une nouvelle ère.
Le service Copernicus et les autres centres d'observation de la température mondiale viennent de le confirmer. 2024 est bien l’année la plus chaude jamais enregistrée. Ce qui n’était qu’anticipation est devenu réalité : la hausse de la température mondiale relativement à l’ère préindustrielle a légèrement excédé 1,5 °C en 2024.
Le principal moteur de la surchauffe réside dans l’accumulation des gaz à effet de serre dans l’atmosphère, essentiellement en raison de la combustion de charbon, de pétrole et de gaz. Elle a entraîné une multiplication des canicules, inondations, sécheresses et incendies.
Alors que 2024 est officiellement la première année à avoir dépassé les 1,5°C de réchauffement et que l'objectif de se maintenir sous ce seuil de l'Accord de Paris semble de plus en plus inatteignable, certains s'interrogent sur la possibilité de revenir plus tard à des températures plus clémentes à grand recours de géo-ingénierie. Un scénario qui n'empêcherait pas certaines conséquences irréversibles du réchauffement climatique, alertent les spécialistes.
Xavier Fettweis, climatologue à l'ULiège redoute un emballement du réchauffement climatique.
Chaud must go on. L’année dernière a été la plus chaude jamais enregistrée, et la première à dépasser le seuil symbolique des +1,5°C par rapport au 19ème siècle, révèle l’observatoire européen Copernicus ce vendredi.
Si le thermomètre affiche une hausse de 1,5 °C sur un an, on ne peut affirmer que la cible de l’accord de Paris a été dépassée. Comprendre les causes de ce pic de température reste pourtant précieux.
2024 est officiellement l’année la plus chaude jamais enregistrée, selon Copernicus. Les températures ont franchi le seuil symbolique de 1,5 °C, la limite la plus ambitieuse de l’Accord de Paris.
L’observatoire européen pour le climat Copernicus a présenté, vendredi 10 janvier, ses résultats concernant 2024. Le planisphère des anomalies de température montre que notre planète se réchauffe de façon hétérogène.
Les températures records mesurées en 2024 ne s’expliquent que partiellement par les activités humaines émettrices de gaz à effet de serre. Celles-ci surprennent jusqu’aux scientifiques.
2024 restera dans les annales comme la première année à avoir franchi la barre symbolique des 1,5°C, contenue dans l'Accord de Paris.
Le réchauffement planétaire a pour la première fois dépassé le seuil de 1,5 °C en 2024, confirment les grandes agences climatiques du monde. Un rappel qu’il faut accélérer l’action climatique, disent les experts, qui voient néanmoins de bonnes raisons d’être optimistes, malgré un déluge d’évènements extrêmes.
Alors que les dirigeants mondiaux se sont réunis à la COP29 en Azerbaïdjan pour discuter de l’action climatique, des scientifiques se demandent s’il est encore possible de limiter le réchauffement de la planète à 1,5 degré Celsius par rapport aux moyennes préindustrielles.
Ilian Moundib, ingénieur en Stratégie de Résilience Climatique, auteur de "S'adapter Fake or Not", était l'invité de Laure Closier dans Good Morning Business, ce jeudi 12 décembre. Ils sont revenus sur les nouvelles projections de hausse de températures en France d'ici la fin du siècle par Météo-France et les moyens de s'adapter à ce changement climatique, sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
Among the many things global warming will be melting this century—sea ice, land glaciers and tourist businesses in seaside towns across the world—is permafrost. Lying underneath 15% of the northern hemisphere, permafrost consists of accumulating dead biomass that remains frozen, never having had a chance to release all its carbon.
Selon un rapport de l’Agence d’observation atmosphérique et océanique américaine, la région polaire vient d’opérer un «changement spectaculaire» : elle n’est désormais plus un puits de carbone, mais bien une source supplémentaire.
De précédentes études, dont celles du GIEC, estimaient que la neutralité carbone d'ici 2050 permettrait de limiter le réchauffement climatique sous les 2 °C. Une nouvelle étude basée sur une IA de prédiction avancée avance cependant que cet objectif est en réalité presque hors d’atteinte.
L’Arctique est entrée dans un « nouveau régime », radicalement différent de celui d’il y a à peine une ou deux décennies, alerte l’Agence américaine d’observation océanique et atmosphérique dans un rapport publié mardi 10 décembre.
2024 sera la première année où le réchauffement de la Terre dépassera les 1,5 °C. Le franchissement durable de ce seuil décuplerait les dégâts du changement climatique et le risque de franchir d'irréversibles points de bascule.
Selon le service changement climatique du programme d’observation européen Copernicus, l’année 2024 sera la plus chaude que la Terre ait connue depuis l’apparition des relevés. Et l’augmentation de la température atmosphérique moyenne dépasse le seuil critique de + 1,5 °C par rapport à l’ère préindustrielle.
Avec un mois de novembre très chaud, l’année 2024 va battre avec certitude le record de 2023. Pour la première fois, la moyenne des températures mesurées entre janvier et décembre franchira temporairement l’objectif de l’Accord de Paris.
Encore plus chaude que le record de 2023: il est maintenant certain que 2024 sera la première année au-delà de la barre de 1,5°C de réchauffement par rapport à la période préindustrielle, limite à long terme fixée par l'accord de Paris.
Les points de basculement climatique (CTP) sont des conditions au-delà desquelles les changements dans une partie du système climatique deviennent auto-entretenus. Ces changements peuvent entraîner des impacts brusques, irréversibles et dangereux, avec de graves implications pour l’humanité. Le déclenchement de CTP entraîne des impacts importants et pertinents, notamment une élévation substantielle du niveau de la mer due à l’effondrement des calottes glaciaires, le dépérissement de biomes biodiversifiés tels que la forêt amazonienne ou les coraux d’eau chaude, et la libération de carbone due au dégel du pergélisol.
L'analyse de bulles d'air emprisonnées dans des carottes de glace vieilles de plus de 200 000 ans témoigne de moments dans l'histoire de la planète où la concentration de CO2 dans l'atmosphère a subitement augmenté. Et suggère que nous pourrions être à l'aube d'un événement similaire...
Une nouvelle alerte sur le manque d'ambition des politiques mondiales de réduction des gaz à effet de serre. Selon l'outil Climate Action Tracker, nous sommes sur la voie d'un réchauffement de 2,7°C à la fin de ce siècle.Et ce ne sont pas les marchés carbone qui vont nous aider. Si leur régulation a été adoptée au début de cette COP, il reste des zones d'ombre. Et ces crédits pourraient au mieux être inefficaces et au pire nous faire perdre un temps précieux.
Dévoilé par le gouvernement le 25 octobre, le plan national d’adaptation au changement climatique (ou PNACC) invite à interroger la notion même d'adaptation. Peut-on réellement s'ajuster à une telle hausse des températures ? Et surtout, à quel prix ? Entretien avec Vivian Dépoues, chercheur à l’Institut de l’économie pour le climat.
Les émissions de CO2 issues des énergies fossiles ont augmenté de 0,8 % par rapport à 2023, estiment les scientifiques du Global Carbon Project dans un rapport. Ce qui augure d'un réchauffement de 2 °C atteint dans 27 ans.
Les émissions de CO2 pour 2024 vont battre un nouveau record, selon la nouvelle édition du Global Carbon Budget, publié ce 13 novembre.
Les 198 parties ont jusqu’au 22 novembre pour s’accorder sur le financement de la transition « verte » des pays en développement. Une entreprise difficile, marquée par le retour de Donald Trump à la Maison Blanche et l’alerte sur l’année 2024, qui dépassera 1,5 ºC de réchauffement climatique.
Dans son rapport provisoire sur l’état du climat en 2024 publié lundi 11 novembre, l’Organisation météorologique mondiale sonne « l’alerte maximale face au rythme effréné du changement climatique ».
Dans une étude parue ce lundi, un binôme de chercheurs assure que les activités humaines ont commencé à réchauffer le climat bien avant la période pré-industrielle, prise comme référence pour calculer la hausse du thermomètre mondial.
Cette année est en passe de devenir la plus chaude jamais enregistrée et également la première à franchir le seuil de 1,5 °C au-dessus de la moyenne préindustrielle, selon un rapport.
Le mois d’octobre a été le deuxième plus chaud dans le monde, après octobre 2023, selon le service européen Copernicus, qui appelle à « rehausser l’ambition » en matière de lutte contre le réchauffement climatique lors de la COP29 qui s’ouvre le 11 novembre.
Pour Copernicus, l'organisme de surveillance du climat européen, cela ne fait plus de doute : 2024 sera l'année la plus chaude enregistrée depuis le début des relevés météo, et battra donc le précédent record de 2023. Mais ce n'est pas tout, 2024 sera aussi la première année à dépasser le seuil symbolique des +1,5 °C de réchauffement par rapport au niveau préindustriel. Rappelons que ce seuil était celui qui ne devait pas être dépassé, d'ici la fin du siècle, selon les engagements pris lors de l'Accord de Paris.
La réélection de Donald Trump qui remet en cause le changement climatique et défend les énergies fossiles, risque de tuer l'objectif 1,5°C.
Les plans mondiaux de réduction des émissions de carbone impliquent que la température dépassera 1.5°C, puis redescendra après vingt ou trente ans. Cependant, une nouvelle étude montre que des décennies au-dessus de ce seuil entraîneraient des « conséquences irréversibles » pour la planète.
Face au chaos climatique, l’impossible adaptation au capitalisme punitif. Les inondations meurtrières en Espagne révèlent dramatiquement l’illusion d’une adaptation au réchauffement climatique. Avec déjà + 1,2 °C, comment imaginer que nos politiques publiques pourront anticiper une hausse de 4 °C ?
Les mesures des pays entraînent le monde vers une hausse de 3,1 °C, selon l'Onu.