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2024

Les fonds marins internationaux1 et leurs ressources minières font partie du Patrimoine Commun de l’Humanité (PCH), selon la Convention des Nations Unies sur le droit de la mer (CNUDM) de 1982. Si l’idée juridique d’un res communis n’est pas vraiment une innovation de la modernité, sa mise en forme dans le cadre des négociations multilatérales au sein des Nations Unies (1973-1982) apporte des nouveautés importantes
Les catastrophes environnementales sont là, indubitables. Face à elles, quelle écologie construire, quelles alliances développer, quelles actions collectives mettre en œuvre ? Dans ce livre d’entretiens, Daniel Tanuro, ingénieur agronome et militant écosocialiste, répond aux questions d’Alexis Cukier et de Marina Garrisi. Il propose un diagnostic limpide, des analyses tranchantes et des propositions radicales en vue d’une révolution écologique et sociale. Apports et limites des rapports du GIEC, derniers développements des luttes écologistes (par exemple des Soulèvements de la Terre), transformations du capitalisme et de l’impérialisme, débats au sein du marxisme écologique, enjeux écologiques du syndicalisme, programme de transition écosocialiste… sont expliqués et analysés avec une grande clarté.
Depuis des siècles, du nord au sud, des mouvements populaires se battent pour défendre une idée simple : la terre et l’eau appartiennent à tou·tes, ou peut-être à personne. Les Soulèvements de la terre n’inventent rien ou si peu. Ils renouent avec une conviction dont jamais nous n’aurions dû nous départir.
Les JO de Paris offrent une formidable caisse de résonance romanesque à l’intuition : les pires choses arrivent toujours au pire moment.
Les Livres de Philosophie: Gabriel Perez, Florian Massip : A la fin du monde, il fera beau. Essai sur l'inaction climatique. À défaut d’une mobilisation générale contre les dérèglements climatiques, c’est bien le mot d’ordre du néolibéralisme mondial qui s’impose désormais : celui de l’adaptation. Devant cet avenir apocalyptique surgit l’énigme de l’inaction climatique : pourquoi ne se passe-t-il rien, ou si peu, au regard de la catastrophe annoncée ?
Une nouvelle ruée minière d'une ampleur inédite a commencé. Au nom de la lutte contre le réchauffement climatique, il faudrait produire en vingt ans autant de métaux qu’on en a extrait au cours de toute l’histoire de l’humanité. Ruée sur le cuivre en Andalousie, extraction de cobalt au Maroc, guerre des ressources en Ukraine, cette enquête sur des sites miniers du monde entier révèle l’impasse et l'hypocrisie de cette « transition » extractiviste.
Les émissions de dioxyde de carbone (CO2), résultant de la combustion des énergies fossiles par l’activité humaine, renforcent l’effet de serre et provoquent le dérèglement climatique. Alors que la sensibilisation des populations à ce problème planétaire global progresse, l’acidification des océans, qualifiée de « l’autre problème du CO2 », demeure aujourd’hui encore largement méconnue.

2023

"Effondrement: 20 scénarios possibles" met en lumière les divers scénarios d'avenir, de la croissance des technologies vertes à la possibilité de récession, de la gestion démographique à la question cruciale de la neutralité carbone. Thierry Brugvin examine ces facteurs clés avec une rigueur analytique, offrant des estimations réalistes et explorant des futurs plus ou moins désirables.
Les forêts font l’objet d’une attention croissante des pouvoirs publics et de la société civile. Elles fournissent de la matière première et des réserves précieuses de biodiversité. Elles ont également des fonctions récréatives et écosystémiques. Le droit lui aussi évolue et fait face aux mêmes défis sociétaux, environnementaux, économiques et sanitaires. Cet ouvrage analyse les influences réciproques entre le droit et la forêt. Il interroge la capacité du droit à accompagner l’évolution de la forêt en fournissant des instruments adaptés, existants ou à inventer. Appréhender différemment la forêt contribuerait à son tour à penser le droit autrement, les rapports de pouvoirs qu’il organise, et à revoir ses méthodes et ses concepts.
Alors que plus de cinquante ans se sont écoulés depuis la publication de The limits to growth et le modèle World3, tous deux issus de la commande du Club de Rome à Dennis et Donell Meadows et leur équipe du MIT en 1972, nous avons constaté que ce moment important de la pensée systémique sur les modèles de croissance, qui engagent des modes de vie, restait méconnu. Déjà perçues auparavant, les limites planétaires ont été incontestablement établies par le rapport Meadows ; pourtant, l’épuisement des ressources et la dégradation du système-Terre se sont poursuivis dans un « business as usual » qui nous a conduits dans une situation critique. Les décisions qu’impliquait ce rapport n’ont pas été prises, et celles qui l’ont été ne sont pas du tout à la hauteur de la situation. Nous avons jugé nécessaire de prendre à bras-le-corps une énigme scientifique et politique. Pourquoi courons-nous à notre perte comme s’il s’agissait de notre salut, tout en disposant d’outils permettant d’avoir une vision lucide de ce qui no
"Plus de 50 ans se sont écoulés depuis la publication de The limits to growth de Dennis et Donella Meadows et leur équipe du MIT en 1972. Or, peu de personnes connaissaient vraiment ce moment important de la pensée systémique. Les limites planétaires y étaient déjà pointées et pourtant l'épuisement des ressources et la dégradation du système terre s'est poursuivi dans un « business as usual » qui nous a conduit à une situation critique. Nous avons jugé nécessaire de prendre à bras le corps cette énigme scientifique et politique."
Dominique Bourg distille dans ce « journal » ses commentaires et réflexions sur l’actualité, où le constat pessimiste côtoie l’espoir du sursaut écologique. Avec une grande compréhension des enjeux de notre temps, il évoque tour à tour la convention citoyenne, le véganisme, la forêt primaire, l’écoféminisme, la pandémie de Covid, le glyphosate, le fascisme climatique ou encore les fantasmes de fuite sur Mars ou de « grand remplacement ». Ces années affreuses, sales et méchantes sont la source d’une réflexion de philosophie politique destinée à cerner les contours d’une démocratie écologique, impensable en dehors d’une bascule de civilisation. Les événements majeurs de ces dernières années sont ainsi l’occasion de dresser un état des lieux des maux de notre époque comme des défis qui nous attendent.
Canicules, mégafeux, pluies torrentielles ou crues meurtrières, il est désormais avéré que les changements climatiques ont un impact majeur sur nos conditions de vie. Ils affectent non seulement les équilibres de nos écosystèmes mais accentuent aussi les inégalités économiques et sociales à travers le monde entre les États, les communautés et les individus. Concept émergent dans les années 1990 lors des premières négociations sur le climat, la justice climatique propose une nouvelle vision de la question environnementale.
Avec le photovoltaïque, le petit éolien constitue l'un des moyens les plus simples pour produire sa propre électricité. Dans ce livre, Tristant Urtizberea nous donne toutes les clés pour installer chez soi une petite éolienne performante et abordable. Il met plus particulièrement l'accent sur l'autoconstruction d'une éolienne Pigott dont il présente les étapes pas à pas. Conçues avec un design simple, des matériaux robustes et des techniques accessibles à tous, ces éoliennes autoconstruites ont une durée de vie quasi infinie et sont l'incarnation même de l'anti-obsolescence.
La crise climatique menace de dislocation les sociétés humaines et les écosystèmes, mais on ne fait rien. Si ce n'est d'innombrables conférences mises en scène, au cours desquelles on s'embrasse en jetant des confetti. La science a parlé : il faut réduire massivement nos émissions de gaz à effet de serre, mais on les augmente chaque année. Ce livre raconte pour la première fois les raisons de ce qu'il faut appeler un sabotage. Par les multinationales, mais aussi par une ONU mille fois complice.