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2024

Cette initiative, qui sera officialisée la semaine prochaine lors d'un sommet de l'Alliance, avait été lancée par le secrétaire général de l'Otan, Jens Stoltenberg. Ce dernier souhaitait un engagement pluri-annuel des alliés afin d'ancrer dans la durée cette aide militaire, indispensable à l'Ukraine dans sa guerre contre la Russie.
La COP16 Biodiversité devra faire le bilan de l'ambition collective. Mais à ce jour, très peu de pays ont mis à jour leurs plans biodiversité.
Seuls huit des vingt principaux pays concernés par le phénomène ont des objectifs chiffrés de réduction de la perte de forêts dans leurs plans climatiques nationaux.
L’Alliance Progressiste des Socialistes et Démocrates (S&D) a joué un rôle majeur au Parlement européen dans l’adoption des mesures environnementales du Pacte vert, et s’est progressivement défaite de son ADN productiviste tout en «restant attaché à la production». Bilan.
Le ministère sri-lankais des Affaires étrangères a annoncé jeudi qu'il cherchait à obtenir le rapatriement de centaines de Sri-Lankais partis combattre aux côtés de l'armée russe et d'une dizaine de prisonniers de guerre en Ukraine. Le Sri Lanka a ouvert une enquête en mai sur le recrutement illégal de certains de ses citoyens pour participer à la guerre entre la Russie et l'Ukraine et identifié 455 anciens militaires sri-lankais qui se sont engagés dans le conflit aux côtés de la Russie.
Plusieurs capitales européennes, dont Madrid et Dublin, annoncent ce mercredi leur intention de reconnaître un Etat palestinien ce mercredi 22 mai. Furieux, Israël a rappelé plusieurs de ses ambassadeurs.
Promesses de financement par centaines de millions de dollars, annonces d'investissements dans les énergies ou dans des usines de tables de cuisson... Les engagements se sont multipliés mardi lors d'un sommet destiné à doter les ménages africains de systèmes de cuisson non dangereux. 2,2 milliards d'euros Au total, 2,2 milliards de dollars ont été promis lors de cette réunion organisée à Paris par l'Agence internationale de l'énergie (AIE) et coprésidée par les dirigeants tanzanien, norvégien et de la Banque africaine de développement (BAD).
Unilever était une des entreprises les plus engagées vers la durabilité, portée par son charismatique PDG Paul Polman.
C'est une annonce importante après la COP28 de Dubaï qui a acté une sortie des énergies fossiles, qui masque toutefois la place du gaz.
Le G7 va s'engager à réduire la production de plastique de manière à s'attaquer de front à la pollution mondiale engendrée par ce matériau, selon une ébauche du communiqué final des ministres de l'Environnement réunis en Italie, a-t-on appris lundi de source française.
Les chefs de la diplomatie des pays du G7 se sont engagés vendredi à "renforcer les moyens de défense aérienne de l'Ukraine" contre les attaques de la Russie.
Le Premier ministre Gabriel Attal et quatre autres membres du gouvernement détaillent jeudi matin à Paris le plan de "transformation écologique" de l'État. La réduction de la consommation de carburant et du gaspillage alimentaire font notamment partie de la feuille de route composée de 15 engagements des ministères en faveur de la transition écologique.
Une "enquête parcellaire" a été lancée lundi afin de permettre à l'Andra d'acquérir les quelque 100 hectares manquants en surface pour développer à Bure (Meuse) son projet Cigéo de stockage des déchets nucléaires, lançant la "bataille" des expropriations, contre lesquelles des opposants
« L’influence n’est pas réservée à des stars aux millions d’abonné·es qui font la une des magazines. L’influence est nichée en chacun·e de nous, prête à inspirer, informer, divertir… ». Ce livre est un guide pratique et éthique de l’influence.
15 mars 2019. Cette date reste gravée dans la mémoire de milliers de jeunes. Pour la première fois, étudiants, lycéens et collégiens séchaient leur cours pour descendre dans la rue à travers le monde, pour exiger des politiques de lutter contre le changement climatique. Cinq ans plus tard, où en sommes-nous ? Entre essoufflement et métamorphose du mouvement, retour avec ceux qui ont vécu cette journée de l'intérieur.
Evidence shows a continuing increase in the frequency and severity of global heatwaves1,2, raising concerns about the future impacts of climate change and the associated socioeconomic costs3,4. Here we develop a disaster footprint analytical framework by integrating climate, epidemiological and hybrid input–output and computable general equilibrium global trade models to estimate the midcentury socioeconomic impacts of heat stress. We consider health costs related to heat exposure, the value of heat-induced labour productivity loss and indirect losses due to economic disruptions cascading through supply chains. Here we show that the global annual incremental gross domestic product loss increases exponentially from 0.03 ± 0.01 (SSP 245)–0.05 ± 0.03 (SSP 585) percentage points during 2030–2040 to 0.05 ± 0.01–0.15 ± 0.04 percentage points during 2050–2060. By 2060, the expected global economic losses reach a total of 0.6–4.6% with losses attributed to health loss (37–45%), labour productivity loss (18–37%) and i
Des dizaines voire des centaines d’Indiens et Népalais ont été envoyés sur le front ukrainien ces derniers mois.
Une quinzaine de réseaux d'entreprises européennes lancent le mouvement Business for a Better Tomorrow. Une coalition d'acteurs qui entend notamment soutenir le Green Deal, à l'heure où il cristallise les oppositions, et porter une vision sociale, solidaire et durable de l'économie.
La Fédération wallonne de l'Agriculture (FWA) a obtenu au moins un engagement ferme mardi à Namur lors de son entretien avec la ministre wallonne de l'Environnement, Céline Tellier (Ecolo), a-t-elle indiqué. Le bétail devrait pouvoir rapidement et facilement avoir accès aux cours d'eau sur une longueur de quatre mètres.
Le gouvernement a engagé une procédure disciplinaire à l'encontre de trois praticiens de l'équipe de Didier Raoult à...
Un collectif de chercheurs, dont les économistes Anna Creti et Patrick Criqui et le politiste François Gemenne, répond, dans une tribune au « Monde », à l’historien des sciences Jean-Baptiste Fressoz, qui, dans son dernier livre, nie l’efficacité du remplacement des énergies fossiles par les renouvelables.
La plus haute juridiction de l'ONU, entendra la semaine prochaine les arguments de l'Afrique du Sud et d'Israël, après le dépôt par Pretoria d'une requête contre Israël pour "génocide" dans la bande de Gaza.

2023

Les deux climatologues estiment, dans une tribune au « Monde », que nous sommes encore très loin du « plan d’action solide » annoncé par le président de la Conférence des parties pour maintenir « à portée de main » l’objectif de l’accord de Paris.
La politique climatique chinoise est à l’image du visage de la déesse scandinave Hel. Un côté clair : la ratification de l’accord de Paris, la production et l’installation à grande échelle d’équipements bas carbone, le renforcement des législations environnementales… Une face sombre : presque 30 % des émissions mondiales de CO2, une construction massive de centrales à charbon, l’absence de relèvement significatif des engagements pris lors de la COP21…
Le Danemark va participer à la donation de la Suède de chars légers suédois CV90 à l’Ukraine, pour un montant de 1,8 milliard de couronnes (241 millions d’euros), a annoncé lundi Copenhague. "Le gouvernement, en collaboration avec le gouvernement suédois, a décidé de cofinancer la donation déjà en cours de véhicules de combat d’infanterie CV90 ainsi que la production de chars supplémentaires", a écrit le ministère danois de la Défense dans un communiqué. L’enveloppe comprend également des pièces détachées, des munitions et un accord de maintenance après livraison.
Le chef Raoni Metuktire, cacique du peuple amazonien kayapo, a accordé un entretien à France 24. Il craint que le président brésilien Luiz Inacio Lula da Silva ne parvienne pas à tenir ses promesses envers l’Amazonie. Les annonces et les mesure prises par ce dernier depuis son retour au pouvoir en janvier 2023 sont encourageantes, concède notre invité. Mais l’influence de son prédécesseur Jair Bolsonaro – et de ses alliés – représente un obstacle à leur mise en œuvre, déplore Raoni Metuktire.
L'Agence internationale de l'énergie (AIE) a estimé dimanche que les engagements non contraignants annoncés au début de la COP28 par plus d'une centaine de pays et de compagnies pétrolières n'accompliraient d'ici 2030 que 30% de la réduction nécessaire des émissions liées à l'énergie pour parvenir à la neutralité carbone.L'AIE a analysé l'impact potentiel de deux engagements volontaires annoncés avec fanfare le 2 décembre:- celui de 130 pays (mais pas la Chine) à tripler les renouvelables et à améliorer l'efficacité énergétique d'ici 2030;
L’Agence internationale de l’énergie s’est exprimée sur les engagements non contraignants, alors que la conférence climat à Dubaï touche à sa fin.
Au sixième jour de la 28e conférence de l'ONU sur le changement climatique (COP28) à Dubaï, une soixantaine de pays, dont les États-Unis, le Canada et le Kenya, se sont engagés à réduire d’ici 2050 leurs émissions liées aux technologies de refroidissement. En parallèle, le Groupe de coordination arabe (ACG) a annoncé qu'il allouerait un peu plus de neuf milliards d'euros pour soutenir la transition énergétique jusqu'en 2030.
L’Académie du Climat et CNRS Editions ont convié à une table ronde animée par Juliette Nouel Christophe Cassou, David Chavalarias, Valérie Masson-Delmotte et Magali Reghezza-Zitt autour du livre « Tout comprendre (ou presque) sur le climat », médaille de la médiation scientifique du CNRS 2023,. De nombreuses questions ont été abordées : quels bénéfices du livre en termes de lutte contre le scepticisme et le déni ? Ces progrès sont-ils durables, notamment sur les réseaux sociaux ? Comment la situation évolue-t-elle ? Comment lutter contre « les mercenaires de l’intox » sans entrer dans leur jeu ? Y a-t-il des terrains d’engagement encore inexplorés…?
Cinquante compagnies de l'industrie du pétrole et du gaz, représentant 40% de la production mondiale, se sont engagées à décarboner leurs opérations de production d'ici à 2050, a annoncé samedi la présidence émiratie de la COP28, un engagement a minima puisqu'il n'englobe pas le pétrole qu'elles vendent.
La COP28 à Dubaï s’est ouverte le 30 novembre avec une décision historique sur les dommages climatiques, suivie par toute une série d’annonces financières ou énergétiques préparées depuis des mois par les Émirats arabes unis pour tenter de donner une impulsion positive aux négociations.
L’objectif est de porter les capacités mondiales d’énergies renouvelables à 11 000 gigawatts à cet horizon. Il s’agit d’un engagement non contraignant.
Au troisième jour du sommet mondial à Dubaï, vice-présidente Kamala Harris a annoncé ce samedi 2 septembre une contribution américaine dans le Fonds vert pour le climat. Une première depuis 2014.
Contre le charbon et le méthane, et pour le nucléaire et les renouvelables. Les pays réunis à la COP28 à Dubaï mettent les projecteurs samedi sur le monde énergétique de demain, parallèlement à de laborieuses négociations sur les moyens de parvenir à un monde sans énergies fossiles d'ici quelques décennies.- Tripler les renouvelables -C'est l'objectif qui a le vent en poupe: plus de la majorité des nations, au moins 118, veulent tripler les capacités d'énergies renouvelables (solaire, éolien, hydroélectricité, biomasse...) et doubler l'efficacité énergétique d'ici 2030.
Un engagement non contraignant à tripler les capacités renouvelables dans le monde d'ici à 2030 a été signé par au moins 118 pays, soit plus de la moitié des États représentés à la COP28, a annoncé samedi son président Sultan Al Jaber.Un communiqué de la présidence avait auparavant annoncé 116 pays, et la liste s'allongeait encore peu après à 118... Quel que soit le nombre final, cette annonce vise à imposer l'inscription de cet objectif dans tout accord final à la COP28, cette fois dans le cadre onusien.
Cinquante compagnies de l'industrie du pétrole et du gaz, représentant 40% de la production mondiale, se sont engagées à décarboner leurs opérations de production d'ici à 2050, a annoncé samedi la présidence émiratie de la COP28, un engagement a minima puisqu'il n'englobe pas le pétrole qu'elles vendent.Ces entreprises, dont 29 compagnies nationales parmi lesquelles la saoudienne Aramco et l'émiratie Adnoc, ont signé une charte fixant comme objectifs "la neutralité carbone en 2050 ou avant", des émissions de méthane "proche de zéro" et "aucun torchage de routine" d'ici 2030.
Cinq des plus gros transporteurs maritimes mondiaux ainsi que la France, la Corée du Sud et le Danemark, ont adopté une déclaration commune vendredi à la COP28 à Dubaï pour promouvoir l'adoption "d'un cadre réglementaire solide" d'ici 2027 favorisant la transition écologique du secteur."Je veux saluer (...) le formidable accord qui a été trouvé par l'industrie maritime de nos pays il y a quelques instants et qui va permettre de réduire les émissions très fortement d'ici 2030", a salué le président français Emmanuel Macron dans un discours en séance plénière.
Plus de 130 pays se sont engagés à donner la priorité à l’alimentation et à l’agriculture dans leurs plans...
Cinq des plus gros transporteurs maritimes mondiaux ainsi que la France, la Corée du Sud et le Danemark, ont adopté une déclaration commune vendredi à la COP28 à Dubaï pour promouvoir l'adoption "d'un cadre réglementaire solide" d'ici 2027 favorisant la transition écologique du secteur."Je veux saluer (...) le formidable accord qui a été trouvé par l'industrie maritime de nos pays il y a quelques instants et qui va permettre de réduire les émissions très fortement d'ici 2030", a salué le président français Emmanuel Macron dans un discours en séance plénière.
Les entreprises qui subventionnent la Conférence internationale sur le climat, qui ouvre ce jeudi 30 novembre à Dubaï, sont tenues de se conformer aux “Objectifs fondés sur la science de neutralité carbone”. Mais cette initiative sous l’égide des Nations unies n’a validé le programme climatique que d’un seul des plus de vingt sponsors officiels.
Dans une note publiée par la Fondation Jean-Jaurès intitulée Les habits verts des influenceurs, Mises en scène de soi « écolos » au service des imaginaires consuméristes, Erica Lippert, docteure en analyse du discours environnemental de l'Université libre de Bruxelles, décortique la manière dont les influenceurs prônent une consommation dite durable sans bousculer le système. Il ne faudrait pas non plus tirer une croix sur les partenariats commerciaux et le lancement de produits dans l'ensemble plutôt inutiles. Et ce même si un nombre croissant de penseurs et scientifiques souligne l'incompatibilité entre écologie et capitalisme.
Soutiens historiques de l'État hébreu, les Druzes forment une communauté soudée, en première ligne dans l'effort de guerre israélien contre le Hamas. Mais cette minorité arabe liée à Israël par "un pacte de sang" s'estime marginalisée et discriminée par la loi controversée de 2018 sur l'État-nation, qui consacre Israël en tant qu'État juif. Face à la pression exercée par ses représentants, la coalition gouvernementale dirigée par Benjamin Netanyahu semble ouverte à quelques concessions.
Les Nations unies estiment que si les États actuels ne revoient pas leurs engagements actuels pour limiter les émissions de gaz à effet de serre, le réchauffement climatique s'élèvera au moins à 2,5°C degrés d'ici 2100.
Une semaine après le scandale de la contamination aux PFAS, révélé par le magazine #Investigation de la RTBF, Jean-Luc Crucke député wallon et ex-ministre wallon est l’invité de Matin Première. Sous la bannière du MR, il a été le collègue de Céline Tellier (Ecolo) au sein du gouvernement wallon. Aujourd’hui chez Les Engagés et désormais sur les bancs de l’opposition, Jean-Luc Crucke et son parti demandent une commission spéciale pour faire la clarté sur le scandale PFAS.
Les gouvernements du monde font pour l’heure « des petits pas pour éviter la crise climatique » mais ils « doivent faire des pas de géants lors de la COP28 »
Ils ont enfin décidé de s’occuper sérieusement de notre environnement. (On espère). Jeudi dernier, l’Union européenne et le Parlement européen ont trouvé un terrain d’entente pour une loi qui va changer la donne et inédit dans notre civilisation thermo-industrielle qui éclate la planète pour construire des supermarchés, des routes et des parking à la con.Leur …
Les repris de justice russes engagés en Ukraine au sein de l’armée russe en échange d’une amnistie future 'expient...
De plus en plus de salariés sont prêts à démissionner si leur entreprise n’a pas une politique environnementale compatible avec leurs valeurs, explique la “BBC”. À l’inverse, ils peuvent accepter des salaires inférieurs dans des entreprises plus éthiques, note le “Financial Times”.
Un "engagement en matière de climatisation" qui sera dévoilé lors du sommet COP28 le mois prochain obligera les pays signataires à réduire les émissions liées à l'utilisation de climatiseurs de 68% d'ici 2050, selon un projet de texte consulté vendredi par l'AFP.
Un "engagement en matière de climatisation" qui sera dévoilé lors du sommet COP28 le mois prochain obligera les pays signataires à réduire les émissions liées à l'utilisation de climatiseurs de 68% d'ici 2050, selon un projet de texte consulté vendredi par l'AFP.
Le 16 juin dernier, l’ASBL bruxelloise We Are Nature a mis le gouvernement bruxellois en demeure d’arrêter de...
Une coalition de 45 pays s’est engagée mardi 3 octobre à lever 12 milliards de dollars d’ici 2030 pour la conservation et la restauration des récifs coralliens menacés dans le monde entier par le changement climatique.
Le plan du gouvernement vise à réduire les émissions françaises de gaz à effet de serre (GES) de 33,8 % en 2030 par rapport à 2022. Mais sans contraintes, certains secteurs continueront d’aller dans le mauvais sens.
Face à l’inaction des politiques, quand les tribunes et les alertes restent inaudibles, d’autres formes d’intervention doivent s’inventer. Par Virginie Maris, philosophe.
C’est plus que ce qui était espéré : au moins 75 pays ont signé le 1ᵉʳ traité international de protection de la haute mer, lors de l’Assemblée générale des Nations unies, du 20 au 22 septembre. Parmi les signataires, figurent les États-Unis et la Chine, deux pays dont l’engagement était attendu.
Profondément divisé sur le pétrole, le G20 a échoué à appeler à une sortie des énergies fossiles samedi, mais soutient pour la première fois un triplement des renouvelables d'ici 2030: une "lueur d'espoir" pour les uns, un "strict minimum" pour les autres à trois mois de la COP28.
Le président brésilien Luiz Inácio Lula da Silva a déclaré au sommet du G20 samedi que le monde était confronté à une "urgence climatique sans précédent", citant en exemple les inondations dans son pays.
Profondément divisé sur le pétrole, le G20 a échoué à appeler à une sortie des énergies fossiles samedi, mais soutient pour la première fois un triplement des renouvelables d'ici 2030: une "lueur d'espoir" pour les uns, un "strict minimum" pour les autres à trois mois de la COP28.
Het nieuwe boek van Aviel Verbruggen over energiewinning. en -gebruik mag een olympische prestatie genoemd worden. Een inspiratiebron voor basiswerkers, ondernemers en politici.
En Suisse, une association de femmes âgées – 73 ans en moyenne – a saisi la Cour européenne des droits de l’Homme pour forcer le gouvernement à agir contre le changement climatique.
Les sociétés pétrolières mondiales sont loin de consentir aux efforts nécessaires pour limiter le réchauffement planétaire, selon un rapport publié ce jeudi 7 septembre par Carbon Tracker. Certaines revoient leurs engagements à la baisse.
Au cours d'une visite inédite samedi en Mongolie, où il a été accueilli avec les honneurs par un défilé de cavaliers mongols, le pape François a appelé à "un engagement urgent" pour protéger la planète, et fustigé la corruption qu'il a qualifiée de "menace sérieuse".
De plus en plus de sportifs font une croix sur certaines compétitions en même temps que l'avion. Mais s'il n'y a pas de char à voile en remplacement, comme le proposait ironiquement l'entraîneur du Paris-Saint-Germain, ces sportifs de regrettent rien. Ils trouvent des compromis pour poursuivre leur carrière et inventent de nouveaux modèles plus durables pour le sport.
Appel du 8 mai pour le climat En tant qu’intellectuels et citoyens engagés, et juchés sur les épaules de géants -ces dizaines de milliers de citoyens et décideurs engagés depuis plus de 6 moi…
Échanges en ligne, kits de formation, guides pratiques... Inquiets de l’inaction publique, des hauts fonctionnaires se regroupent depuis l’arrivée au pouvoir d’Emmanuel Macron pour agir en faveur du climat et de la biodiversité.
Touché-coulé ! À quelques mois de la COP28 sur le climat, les pays membres de l'Organisation maritime internationale (OMI) ont échoué vendredi 7 juillet à s'entendre sur un accord suffisamment ambitieux pour respecter le scénario 1,5°C. Une nouvelle occasion manquée alors que la fenêtre de tir pour agir avant 2030 se referme.
Quels objectifs climatiques la France doit-elle adopter pour être sur une trajectoire compatible avec un réchauffement climatique limité à +1,5 °C ?
Peut-on être militant quand on est scientifique ? Dans cet entretien, le climatologue Jean Jouzel, ancien vice-président du GIEC, débat de la place que prend le militantisme dans la vie d'un scientifique et du rôle qu'il joue dans la lutte contre la crise climatique.
Le changement climatique dû à l’inuence humaine a entraîné des impacts graves en France en 2022, excédant la capacité de prévention et de gestion de crises actuelle. L’année 2022, emblématique de l‘intensication des eets du changement climatique, illustre le besoin d’acter l’urgence et d’engager les moyens nécessaires au rehaussement de l’action pour l’adaptation et la décarbonation en France, en Europe, et à l’international. La baisse des émissions se poursuit en France en 2022, mais à un rythme qui reste insusant pour aeindre les objectifs de 2030. Le cadre d’action des politiques publiques pour le climat se construit, sans pour l’heure être accompagné d’une politique économique d’ampleur permeant de déclencher l’accélération nécessaire. L’adoption de la réglementation du paquet Fit for 55 de l’Union européenne doit rapidement se traduire en mesures concrètes et nouvelles sources de nancements en France et en Europe. L’adaptation doit passer du mode réactif prévalent aujourd’hui pour devenir transfor
Thermomètre qui s’affole, sols assoiffés, rivières à sec, 70 000 hectares carbonisés… L’été 2022 a planté un jalon dans l’histoire de France du climat. Un avant-goût de ce que nous réserve le changement climatique, alertent les scientifiques. Les activités humaines, émettrices des gaz à effet de serre, en sont responsables. Désormais, la probabilité que l’été présent soit plus froid « est hautement improbable », prévient Magali Reghezza-Zitt.
Le nombre de recours portant sur des promesses trompeuses liées au changement climatique explose depuis quelques années, observent les experts d’un institut de recherche britannique.
Organisme indépendant chargé d'évaluer la mise en œuvre des politiques et mesures publiques pour réduire les émissions de gaz à effet de serre de la France.
Alors que l’UE encourage les États membres à ratifier une nouvelle série d’accords de commerce, notamment à l’occasion du sommet UE-CELAC de mi juillet 2023, l’Institut Veblen examine dans cette note le degré d’alignement de ces accords avec les engagements internationaux en matière de lutte contre le changement climatique et de protection de l’environnement. L’Institut formule plusieurs propositions concrètes pour avancer dans ce domaine.
À l'occasion du Sommet de Paris "pour un nouveau pacte financier" mondial, qui se tient les 22 et 23 juin, 13 dirigeants ont publié mercredi une tribune dans laquelle ils s'engagent à "avancer sur des mesures concrètes" pour une "transition écologique juste et solidaire". Parmi eux, Emmanuel Macron, Joe Biden ou encore Olaf Scholz.
Considérant les risques et les conséquences des installations nucléaires, plus de 200 chercheurs, universitaires et ingénieurs appellent à signer l’appel suivant à refuser le nouveau programme nucléaire.
Alors que la loi climat s'apprête à être adoptée dimanche aux urnes, notre chroniqueuse Corinne Corminboeuf, avocate spécialiste du climat à Genève, rappelle l'enjeu. Il y a, non pas un mais TROIS écarts entre la trajectoire idéale actée par Berne à l'international et la réalité de la Suisse.
Le paquet nature du Green Deal, qui doit permettre d'atteindre la neutralité carbone au sein de l'Union européenne, verra-t-il le jour ? Il est permis d'en douter tant les attaques à son encontre se multiplient. Un vote crucial devait avoir lieu le 15 juin en commission Environnement du Parlement mais il a été reporté, mettant la loi sur la renaturation de la nature en sursis. Ce texte est pourtant indispensable car il doit traduire les engagements pris par l'UE dans le cadre de la COP15 Biodiversité.
Près de la moitié des grandes entreprises ont promis d'effacer leur empreinte carbone ces prochaines décennies mais seules quelques unes ont des plans crédibles pour y parvenir, selon une étude publiée lundi par le consortium Net Zero Tracker.Près de 90% de l'économie mondiale est liée par des promesses de "neutralité carbone", contre 15% il y a quatre ans, en prenant en compte les engagements des nations, des régions et des entreprises. Parmi celles-ci, 929 entreprises sur la liste Forbes 2.000 se sont fixé de tels objectifs, en hausse de 15% par rapport à il y a quinze ans.
Moyen privilégié du dialogue actionnarial, les résolutions climatiques se développent et ne sont pas limitées aux banques ou aux entreprises pétrolières.
Territoires au Futur est un outil d'aide au diagnostic de la résilience territoriale pour les territoires de France. Participez à notre campagne de mobilisation des élus locaux en faveur de la résilience et de la transition écologique de leur territoire
Alors que la conférence ministérielle du G7 sur le climat, l'énergie et l'environnement se tient ce week-end à Sapporo, dans le nord du Japon, voici les grands engagements climatiques actuels des membres de ce groupe des principaux pays industrialisés. Tous visent la neutralité carbone d'ici 2050 - dès 2045 dans le cas de l'Allemagne - mais cet objectif s'annonce semé d'embûches pour chacun d'entre eux.
Les États membres et le Parlement européen ont conclu un accord provisoire en ce sens, jeudi. De près de 22 % actuellement, la consommation de renouvelables passera à 42,5 % à l’orée de la prochaine décennie. Pour y parvenir, l’UE facilite l’obtention des permis pour construire les infrastructures et fixe des objectifs spécifiques à différents secteurs dont le bâtiment, les transports et l’industrie.
Découvrez dans cet article les enjeux relatifs au sommet pour un « nouveau pacte financier mondial » qui aura lieu en Juin 2023 à Paris
Les ONG NewClimate Institute et Carbon Market Watch pointent dans une étude les manquements et les ambiguïtés de 24 multinationales qui affirment viser la « neutralité carbone ».
Voilà des heures qu’elle n’a pas bougé. Une adolescente est assise face aux longues colonnes de pierre du Parlement suédois. À un mois des élections, elle espère un sursaut politique face à la menace climatique. Mais le 8 septembre 2018, rien ne change. La question écologique reste aux portes du Riksdag. Et il semble que le palais bénéficie d’un excellent double vitrage. Sauf que Greta Thunberg, alors âgée de 15 ans, est rejointe par des millions de lycéens sous le hashtag #FridaysForFuture. Il était temps que l’effet boule de neige se produise. Dans peu de temps, la neige elle-même pourrait bien disparaître.
Le politiste Edouard Morena publie aux éditions La Découverte Fin du monde et petits fours, une enquête foisonnante sur les (riches) promoteurs du « capitalisme vert », qu’il analyse comme un « projet politique taillé sur mesure pour garantir les intérêts de classe [des élites] dans un monde en surchauffe ». Entretien.
Il y a quelques semaines, Rose Abramoff, une scientifique américaine, était licenciée après avoir arboré une banderole appelant les scientifiques à l’action, lors d’un congrès. Un choc pour ses collègues du monde entier, dont Jérôme Santolini, biochimiste, directeur de recherche au CEA et l’un des coordinateurs de "Scientifiques en rébellion", lancé en 2020 en France. Pour Novethic, il revient sur ce coup de tonnerre et explique en quoi, derrière l'image des "bons élèves", il est du devoir des scientifiques de "servir l'intérêt général".
Près de 30 milliards de dollars de financements ont été annoncés pour réduire la dépendance alimentaire du continent, lors d’un sommet organisé du 25 au 27 janvier à Dakar sous l’égide de la Banque africaine de développement.
Un kern a été convoqué pour présenter le résultat des négociations avec Engie.

2022

L’année 2022 restera marquée par des discours engagés lors des cérémonies de remises des diplômes. Une situation qui place les établissements de formation en gestion face à leurs paradoxes.
Les émissions de ce gaz, responsable de 25 % de la hausse des températures depuis l’ère préindustrielle, atteignent des records. Mais leur réduction partielle, et rapide, est à portée de main.
La plupart des engagements à la neutralité carbone des entreprises, villes ou régions ne sont pas à la hauteur des récentes recommandations du groupe d'experts de l'ONU dédié à cette question, selon une analyse publiée mardi à la COP27.
Alors que les pays en développement ont fustigé, lors de la COP27 à Charm-el-Cheikh (Égypte), le manque d'ambition des pays riches et leur faible soutien aux pays les plus vulnérables, l'Union européenne a assuré, mardi, être prête à réhausser ses engagements en faveur du climat.
La Conférence des parties qui s’est ouverte dimanche 6 novembre en Égypte sera-t-elle un sommet climatique pour rien, ou pas grand-chose ? Face à l’urgence de la situation, les organisateurs appellent à la mise en œuvre des engagements climatiques passés, présents et à venir.
Agir pour le climat. C’est l’objectif de la COP 27 qui a démarré ce dimanche à Charm el-Cheikh, en Égypte. Mais ce grand rassemblement qui vise à prendre des décisions pour protéger le climat est aussi décrié pour son manque de résultats et d’efficacité. Alors la COP 27 est-elle vraiment utile ? QR l’actu fait le point avec Xavier Fettweis, climatologue à l’ULiège.
Les engagements pris jusqu’ici par les États dans la lutte contre le réchauffement climatique restent nettement insuffisants et devraient même être plus que quadruplés pour avoir une chance de limiter la hausse de la température mondiale à 1,5 °C, comme l’ambitionne l’accord de Paris, selon un rapport publié jeudi par le Programme des Nations unies pour l’environnement (Pnue).
Les nouvelles projections de l'ONU prévoient un réchauffement climatique bien supérieur à l'objectif des accords de Paris.
Lors de la journée de remise des diplômes de la promotion 2022 de l’EDHEC – la Graduation Afternon session -, un discours a retenti par sa teneur et sa sincérité. Tout juste alumna, Anne-Charlotte Sauveplane invite ses camarades à l’action, à l’anticipation et à construire le monde de demain. Ce discours fait écho aux interventions de fin d’année à AgroParisTech, à HEC ou encore à Sciences Po. Vous pouvez retrouver le discours sur ce lien.
Née en 2020, la Convention des entreprises pour le Climat vient de présenter un vaste rapport qui vise à « accélérer la bascule du business as usual vers l’entreprise régénérative ».
Les pays signataires de l’accord de Paris ne sont pas sur une trajectoire permettant de tenir l’objectif de 1,5 °C.
Malgré la crise actuelle liée au gaz russe, l'Allemagne maintient le cap qu'elle s'était fixé dans le dossier de la transition énergétique.
Après un été apocalyptique et un hiver pétri d’incertitudes sur la capacité du pays à affronter la crise énergétique, les deux grandes chaînes de télévision se transforment pour mieux traiter des enjeux environnementaux et leur accorder plus de temps d’antenne. Après Radio France qui a annoncé son "Tournant" à la rentrée, TF1 et France Télévisions bousculent leurs grilles, programmes, organisations et lignes éditoriales pour mieux prendre en compte la transition écologique.
Fin août, Radio France annonçait son « tournant environnemental » dans un manifeste ; deux semaines plus tard paraissait la Charte pour un journalisme à la hauteur de l’urgence écologique, notamment signée par le groupe France média monde (FMM), qui compte Radio France international et France 24. Cette semaine, le mouvement se poursuit parmi les mastodontes de l’audiovisuel, public comme privé.
Le Réseau Action Climat a fait le point sur les émissions nettes de CO2 pour la France en 2021. Nous sommes 5 % au-dessus de l’objectif que nous nous étions fixés.
Le gaz naturel liquéfié transporté par bateaux permet à l’Europe de s’affranchir du gaz russe et pourrait l’aider à passer la saison froide. Devenue stratégique, la ressource est l’objet de toutes les convoitises.
Des rédactions, formations en journalisme et journalistes soutiennent une charte publiée ce mercredi qui invite la profession à améliorer le traitement de la crise climatique et de la biodiversité, et à verdir leurs pratiques en réduisant leur bilan carbone.
Le nouveau roi Charles III est un écologiste convaincu, qui milite depuis longtemps pour la protection de la nature, une agriculture biologique et la lutte contre le changement climatique, un engagement qui pourrait séduire les jeunes Britanniques.
Royaume-démuni. La nomination de la première ministre du Royaume-Uni, Liz Truss, fait naître des inquiétudes après ses promesses de campagnes contraires aux engagements environnementaux du pays.
Plusieurs États membres, dont la France, ont annoncé la prolongation ou la remise en route de centrales à charbon qui avaient été fermées afin de répondre aux enjeux climatiques.
La crise climatique fait l’objet d’un consensus scientifique international solide depuis plus de vingt ans, documenté par le GIEC dans ses rapports successifs. Plus personne ne peut en ignorer les conséquences graves et concrètes sur l’environnement, l’économie et la vie humaine. Beaucoup a été fait pour parler des enjeux environnementaux sur nos antennes et faire de Radio France un média de service public écologiquement responsable. Pourtant, face à l’ampleur de l’urgence climatique, nous sommes résolus à aller plus loin. Radio France engage un tournant environnemental.
Pour Sylvain Barone, chercheur en science politique à l’Institut national de recherche pour l’agriculture, l’alimentation et l’environnement, la crise actuelle doit conduire à repenser les priorités entre les différents usages.
Les "centaines de milliers d'entreprises" du commerce regroupée dans deux grandes associations se sont engagées, dans le sillage des supermarchés, à réduire leur consommation énergétique, selon un communiqué publié mardi. Les entreprises représentées au sein des fédérations du CdCF (Conseil du commerce de France) et de la CDF (Confédération des commerçants de France) s'engagent à "réduire leur consommation d'énergie et éviter ainsi les coupures annoncées en cas de crise cet hiver", ont annoncé ces deux associations, la première regroupant une trentaine de fédérations professionnelles, et la seconde des fédérations de commerces indépendants.
L’urgence climatique, le dépassement des limites planétaires et l’accroissement des inégalités sociales nécessitent d’interroger nos besoins et nos usages actuels en ressources énergétiques fossiles et en matières premières. Pour répondre à ces défis, une transition profonde et rapide de notre système énergétique carboné, non renouvelable et dispendieux vers un modèle fondé sur la sobriété et des ressources renouvelables est nécessaire. La sobriété constitue la pierre angulaire d’une transition énergétique et écologique socialement juste. Elle peut devenir une véritable boussole pour la mise en place de politiques publiques robustes favorisant la qualité de vie tout en répondant aux défis énergétiques, économiques et démocratiques du XXIe siècle. Les collectivités ont un rôle clé à jouer pour accompagner ces évolutions à l’échelle locale et construire des projets de territoires sobres et résilients. Coordonnée et élaboré par Virage Énergie en partenariat avec le Cédis (centre de formation), cet ouvrage a pour
Le gouvernement fédéral est bloqué quant à un nouvel accord de coopération sur la répartition des efforts climatiques entre les différentes entités du pays.
Compte-rendu du livre de Sebastian Conrad, What is Global History (Princeton, Princeton University Press, 2016). Par Mathieu Roy, doctorant à l’Université du Québec à Montréal (UQAM)
Comment s’engager malgré tout, en dépit des échecs successifs, des désillusions qui s’accumulent et des espoirs qui s’envolent ? Tant l’œuvre que la vie du philosophe Günther Anders offrent des éléments pour fonder l’action écologiste autrement que dans l’espoir « d’une vie meilleure », « des jours heureux » et « du monde d’après ». Au lieu de s’exposer à l’anxiété, la dépression et au nihilisme, il propose politiquement de retrouver de la morale dans l’existence, chose que la modernité évince constamment par ses artifices, sa complexité, son conformisme et son productivisme. C’est certainement dans le devoir et la responsabilité que se trouvent les ressources pour engager l’action politique avec joie et humanité, quoi qu’il advienne.
Ce vendredi 24 juin se tenait le quinzième et dernier cycle de négociations sur le Traité sur la charte de l’énergie (TCE). Ce texte permet à des investisseurs d'attaquer des États quand ils adoptent des lois climatiques qui remettent en cause leurs intérêts. Critiqué depuis des années, le traité faisait l'objet d'une refonte depuis 2018. Malgré la pression, la Commission européenne a choisi de rester dans le TCE, moyennant quelques amendements.
Des investissements seront nécessaires mais les deux parties veulent s'engager sur le long terme.
En novembre 2021, lors de la COP 26 à Glasgow, plus de 100 pays se sont engagés à réduire d'au moins 30 % leurs émissions de méthane, un puissant gaz à effet de serre, d'ici à 2030 par rapport au niveau de 2020. L'Union européenne ne pourra tenir cet objectif sans adopter de nouvelles mesures, révèle un rapport publié, ce mardi 14 juin, par l'organisation à but non lucratif CE Delft pour la fondation Changing Markets.
Jean-Luc Crucke avait annoncé quitter la vie politique mais il n’a pas présenté sa candidature au poste de juge à la Cour constitutionnelle. Il reste donc député wallon. De quoi être libre pour se présenter en 2023 à la présidence du MR à la fin du mandat de Georges-Louis Bouchez ? "Rien n’est impossible", répond-il à la rédaction de la Libre Belgique. Dans une interview à Thomas Gadisseux ce jeudi matin sur la Première, Jean-Luc Crucke précise "Je suis un homme libre, essentiellement pour le climat".
Par ailleurs, le G7 s'engage également à un secteur électrique "majoritairement décarbonné" d'ici 2035.
C’est la première fois que les sept puissances industrielles (États-Unis, Japon, Canada, France, Italie, Royaume-Uni, Allemagne) se fixent ensemble un tel objectif. Les pays du G7 se sont engagés vendredi 27 mai à décarboner la majorité de leur secteur électrique ainsi qu’à mettre fin à tout financement international des projets liés aux énergies fossiles dès cette année.
Les entreprises pétrolières sont tenues de respecter certains engagements dans le cadre des Accords de Paris. Une récente étude collaborative montre que ce n’est pas du tout le cas. Comme les constructeurs automobiles, les compagnies pétrolières peinent à respecter leurs engagements écologiques. C’est ce que montre l’étude Big Oil Reality Check, en référence au nom américain du lobby pétrolier. Pour cela, Oil Change International a ainsi travaillé avec 35 entreprises mondiales.
La COP15 désertification s’est tenue à Abidjan pour contrer la dégradation des sols et la sécheresse, des fléaux qui affectent déjà la moitié de la population du globe. Au final, les engagements pris ne sont pas assez ambitieux.
Deux instituts d'études spécialisés ont appelé vendredi les pays du G20 à renforcer rapidement leurs engagements climatiques pour tenter de respecter les objectifs de l'accord de Paris comme ils l'ont promis lors de la dernière conférence climat COP26. "Aucun des pays du G20 n'en fait assez pour maintenir l'espoir de limiter le réchauffement à 1,5°C" par rapport à l'ère pré-industrielle, a déclaré dans un communiqué Tom Evans, de l'institut E3G qui publie une analyse des derniers engagements de ces pays conjointement avec le Energy and Climate Intelligence Unit.
La COP15 qui s'est achevée vendredi à Abidjan s'est engagée à "accélérer la restauration d'un milliard d'hectares de terres dégradées d'ici à 2030", indique la déclaration finale publiée à l'issue de la conférence.
Boris Johnson est le premier dirigeant occidental à entériner un soutien militaire à la Finlande et à la Suède en cas d’agression russe, en signant un pacte de défense mutuelle lors d’une visite dans la région, le 11 mai. Selon The Times, le Premier ministre britannique a déclaré que la Grande-Bretagne envisagerait “très sérieusement” de déployer des armes nucléaires pour protéger la souveraineté des deux pays au moment ils sont sur le point de rejoindre l’Otan après des années de non-alignement.
Le dérèglement climatique est devenu une préoccupation majeures des décideurs de ce monde, tout au moins de ceux qui ont encore un brin de conscience et de rationalité scientifique. La Commission européenne, déjà au taquet sur les questions de vie privée, vient de publier les détails du projet « Villes intelligentes et neutres pour le climat », qui liste les villes européennes engagées vers la neutralité carbone d’ici 2030. Près de 400 villes avaient déposé un dossier de candidature pour rejoindre ce projet, mais la Commission n’a retenu les dossiers que de 112 villes européennes. Le greenwashing n’est pas mort…
L’humanité entre dans une spirale d’autodestruction. Voici le constat dramatique dressé dans un rapport publié le 26 avril par le Bureau des Nations unies pour la réduction des risques de catastrophes.
Les derniers engagements de Pékin en matière de climat, ont déjà conduit à l'annulation de 15 projets de centrales électriques au charbon, financés à l'étranger par la Chine, mais certains chantiers "dans une zone grise" pourraient aboutir, anticipent des experts. Les 15 projets annulés représentaient l'équivalent de 12,8 gigawatts (GW) d'électricité, selon une étude publiée vendredi par le Centre for Research on Energy and Clean Air (CREA), un institut de recherche basé en Finlande.
Les auteurs estiment que le réchauffement climatique peut atteindre 1,9 à 2 °C par rapport à l’ère pré-industrielle si l’ensemble de ces engagements est mis en œuvre sans tarder. Il est en revanche peu probable que les promesses des États parviennent à limiter le changement climatique à 1,5 °C. Si des mesures d’atténuation plus ambitieuses ne sont pas prises d’ici la fin de la décennie, les scientifiques estiment qu’il n’y aurait qu’entre 6 et 10 % de chances de rester sous ce seuil critique du degré et demi de hausse des températures.
Aux côtés des pionniers comme Patagonia ou Lush, de plus en plus de sociétés comme Camif ou Lamazuna choisissent délibérément de se priver d’une partie de leur chiffre d’affaires pour des raisons environnementales. Encore exceptionnels, ces parcours d’entreprises ont vocation à se multiplier, avancent des experts.
Les grandes banques et fonds d'investissement financent toujours des milliards pour l'extraction des énergies fossiles responsables du réchauffement climatique, en contradiction avec leurs engagements de lutter contre les émissions de gaz à effet de serre, selon un rapport publié vendredi.
Le groupe gazier polonais PGNiG a annoncé jeudi qu'il continuerait à régler ses achats de gaz russe conformément au contrat en cours et refuserait les paiements en roubles réclamés par Moscou. L'Allemagne - pour qui un tel changement représente une "rupture de contrat" - et l'Autriche ont déjà rejeté cette demande formulée mercredi par le président russe Vladimir Poutine. "On ne voit pas trop une telle possibilité", a dit le président du groupe polonais Pawel Majewski, interrogé sur l'exigence de Moscou. "Le contrat, dont je ne peux révéler les détails, fixe le mode de paiement. Il n'est pas prévu qu'une partie puisse le modifier selon son bon vouloir", a-t-il déclaré, selon l'agence PAP. "Nous remplirons ce contrat conformément à nos engagements", a-t-il conclu.
Outre s’opposer à la Russie et soutenir les Ukrainiens, nous devons aussi nous engager dans une moralisation de nos économies. Il faut tirer les leçons de la guerre.
La question du sens et de la raison d'être d'une organisation sont des sujets qui prennent de plus ne plus de place et dont on entends de plus en plus parler. Quand on commence à s'engager dans une organisation (association ou entreprise) on peut parfois s'épuiser, il est alors difficile de poursuivre son engagement.
Les chercheurs se plaignent de ne pas être écoutés. Mais veulent-ils vraiment se faire entendre? La posture neutre du GIEC n’est plus tenable au regard des enjeux.
Si le phénomène est impossible à quantifier, les départs d’Ukrainiens depuis la France se multiplient. «Libération» a pu s’entretenir avec certains de ces volontaires, prêts à se battre face à la Russie.
La major pétrolière britannique BP a annoncé dimanche qu'elle se désengageait du géant russe Rosneft dont elle détient une participation de 19,75%, à la suite de "l'agression" de l'Ukraine par la Russie. Dans un communiqué, le groupe a précisé que son directeur général Bernard Looney démissionnerait du conseil d'administration de Rosneft "avec effet immédiat", de même qu'un autre administrateur nommé par BP, son ancien dirigeant Bob Dudley.
Le fonds souverain de la Norvège, le plus grand du monde, va geler ses investissements en Russie et entamer une sortie totale dans le cadre des sanctions contre Moscou pour l'invasion de l'Ukraine, a annoncé le gouvernement norvégien dimanche. "Le but est de retirer le fonds pétrolier entièrement du marché russe", a déclaré le ministre des Finances lors d'une conférence de presse.
Le gendarme des communications russe, Roskomnadzor, a menacé de « limiter l’accès » à Facebook, vendredi 25 février. Il accuse le réseau social américain de censurer des médias russes ainsi que de violer les droits humains et des citoyens russes. « En conformité avec la décision du procureur général à l’égard du réseau social Facebook, à compter du 25 février Roskomnadzor adopte des mesures pour limiter son accès », a déclaré l’agence, sans préciser toutefois la nature des limitations.
Les gaz à effet de serre émis par les exploitations minières et gazières en Australie, un des plus grands producteurs de charbon et de gaz naturel au monde, sont supérieurs aux engagements des exploitants, selon une association environnementale. Au cours de 18 mois d'une enquête, publiée jeudi en Australie, les chercheurs de l'Australian Conservation Foundation ont ainsi découvert qu'une entreprise de combustibles fossiles sur cinq déclarait que ses émissions avait dépassé la quantité approuvée par le gouvernement. À lui seul, un gazoduc situé dans l'État du Queensland, exploité par Origin Energy, a rejeté 2 000% de plus que la quantité prévue avant l'approbation du projet.
Les pays exportateurs de gaz disposent de capacités limitées pour augmenter rapidement l'approvisionnement de l'Europe et n'ont aucune visibilité sur les prix, ont prévenu mardi les membres du FPEG à l'issue d'un sommet à Doha, dans un contexte de crise entre la Russie et l'Ukraine.
C'est désormais un risque réputationnel et juridique. Les allégations de "neutralité carbone" qui foisonnent dans les publicités et engagements des entreprises pourraient bien se retourner contre elles. Cibles de collectifs citoyens luttant contre le greenwashing et bientôt de la loi, ces mentions provoquent l'effet inverse, décrédibilisant l'ensemble des démarches, parfois sincères, des entreprises.
La banque Crédit Agricole a continué de financer de grandes entreprises développant de nouvelles mines et centrales à charbon au mépris de ses propres engagements climatiques, ont dénoncé mardi plusieurs ONG.
La banque Crédit Agricole a été attaquée mardi par plusieurs ONG qui l'accusent de ne pas respecter ses engagements sur le charbon. Au-delà de ce cas particulier, c'est la crédibilité des promesses de l'ensemble du secteur qui se joue, estiment les associations.
Les banques européennes continuent d'injecter des milliards de dollars dans des compagnies qui développent la production de pétrole et de gaz, en dépit de leurs engagements en faveur du climat, pointe lundi l'ONG britannique ShareAction.
Les banques européennes continuent d'injecter des milliards de dollars dans des compagnies qui développent la production de pétrole et de gaz, en dépit de leurs engagements en faveur du climat, pointe lundi l'ONG britannique ShareAction. "Vingt-cinq banques européennes, affichant toutes des objectifs de neutralité carbone, ont fourni l'an dernier 55 milliards de dollars de financement à des entreprises qui développent leur production de pétrole et de gaz", a affirmé l'ONG dans un communiqué.
Les Français sont à 75 % méfiants à l'encontre des engagements sociaux et environnementaux des entreprises, selon un sondage Harris Interactive publié mercredi par le mouvement Impact France.
Leurs engagements face à l’urgence climatique ont été passés au crible d’une enquête indépendante : 25 multinationales, dont Unilever, Nestlé, Ikea, Google, Amazon ou BMW, ne prévoient de réduire leurs émissions de CO2 que de 40 % en moyenne, alors qu’elles annoncent des objectifs zéro carbone.
La question que nous nous sommes posée peut se résumer ainsi: que faut-il faire pour mettre l’éco- nomie française en cohérence avec une baisse des émissions planétaires de 5 % par an, compatible avec nos engagements climatiques, tout en permettant à chacun(e) de trouver un emploi?C’est ce plan de marche visant la décarbonation effective de nos activités que nous avons essayé de construire.
Au XXIe siècle, est-ce vraiment possible de vivre dans un pays développé en émettant moins de 2 tonnes de CO2e par an ? Petit rappel : cette étape est indispensable pour pouvoir atteindre la neutralité carbone, respecter les engagements de notre pays et conserver une planète habitable. Pour être franc : oui et non.
Sur les 194 Parties signataires de l'Accord de Paris ayant déposé auprès des Nations Unies leurs « contributions déterminées au niveau national »(1) (engagements pour lutter contre le réchauffement climatique, « INDC » ou « NDC » en anglais), 182 Parties avaient inclus des objectifs relatifs aux énergies renouvelables à mi-novembre 2021 après la COP26 (dont 144 avec des objectifs quantifiés et seulement 13 s'engageant avec un pourcentage d'énergies renouvelables dans leurs mix énergétiques respectifs).
Selon les Nations Unies, les engagements pris par les parties lors de la COP26 à Glasgow aboutiraient à une hausse de températures de 2,9 à 3,1 degrés d'ici à 2100. Des nouveaux engagements en 2022 seront essentiels pour garder en vie l’objectif de limiter le réchauffement à 1,5 °C et les pays sont encouragés à accroître l'ambition de leurs engagements avant la COP27 qui se tiendra en Égypte du 7 au 18 novembre.

2021

"Tenir nos engagements vis-à-vis des raffineries est désormais impossible et nous sommes dans l'obligation de déclarer l'état de force majeure", qui permet une exonération de la responsabilité de la compagnie en cas de non-respect des contrats de livraison, a souligné le patron de l'entreprise publique, Mustafa Sanalla. En instaurant ce blocus, les GIP (Gardes des installations pétrolières) entendent protester contre "le retard du versement de leurs salaires", a déclaré à l'AFP un de leurs responsables.
Cyril Dion, le réalisateur du documentaire Animal – en salle depuis le 1er décembre – raconte à Amandine Lepoutre, présidente du think tank Thinkers & Doers, son engagement contre la sixième extinction de masse. Le militant écologiste appelle les décideurs économiques et politiques à penser leurs engagements au prisme du vivant. Pour durer.
Face aux conséquences économiques d’une crise sanitaire mondiale sans équivalent, de nombreux gouvernements ont mis sur pied des plans de relance exceptionnels dont l’un des piliers est la transition énergétique. L’ambition affichée est de tout mettre en œuvre pour honorer leurs engagements de décarbonation pris dans le cadre de l’accord de Paris sur le climat1 tout en stimulant leur croissance.
Le dernier catalogue des émissions de gaz à effet de serre de la Malaisie présenté aux Nations unies ressemble à un rapport issu d’un univers parallèle. Le document de 285 pages suggère que les arbres de Malaisie absorbent le carbone quatre fois plus vite que les forêts similaires de l’Indonésie voisine. Cette affirmation surprenante a permis au pays de soustraire plus de 243 millions de tonnes de dioxyde de carbone de son inventaire de 2016, ce qui représente une réduction de 73 % de ses émissions.
La désorganisation logistique provoquée par la crise sanitaire, les tensions géopolitiques, les catastrophes climatiques et une flambée de la demande sur des produits en tension provoquent des ruptures d’approvisionnement. Les entreprises les plus engagées sont d’autant plus touchées par ce phénomène mondial que la demande de matières premières durables augmente. Certains groupes sont contraints de reporter des lancements, d’annuler des projets durables ou d’être moins exigeants sur les conditions de production.
Plusieurs études ont montré cet automne que ces engagements étaient insuffisants. En particulier, l’analyse du secrétariat de l’Accord de Paris(1) a montré qu’ils conduisaient à 2,7 °C d’augmentation moyenne des températures d’ici la fin du siècle. C’est mieux que les 3 ou 3,5° qu’annonçaient les contributions initiales des États en 2015, mais c’est bien loin des objectifs posés dans l’Accord de Paris !
A Rochefort, Proximus veut revendre un tiers du massif de la Héronnerie, composée de magnifiques chênes bicentenaires, à un promoteur immobilier. Un dossier troublant en décalage total avec les enjeux sociétaux actuels et les engagements politiques wallons. Et si on en faisait un dossier exemplaire?
Les projections de réchauffement élaborées par l'ONU à partir des engagements et des politiques de réduction d'émissions de gaz à effet de serre sont plus incertaines qu'on ne le pense, insiste une étude publiée lundi.
La COP26 sur le climat n'a pas été "un échec" mais les engagements doivent maintenant être pleinement mis en œuvre, a appelé jeudi le directeur exécutif de l'Agence internationale de l'énergie (AIE), Fatih Birol. "Je ne suis pas d'accord avec l'idée que Glasgow serait un échec", a-t-il déclaré en soulignant les "nombreux et importants résultats positifs" du sommet.
Alors même que sa capitale est souvent plongée dans un brouillard toxique, l'Inde a mené la charge pour affaiblir les engagements contre le charbon lors du sommet de la COP26, privilégiant, selon les experts, sa croissance économique au détriment de l'avenir de la planète.
Le dernier projet de décision invite les États parties à l'accord de Paris à relever leurs engagements de réduction d'émissions dès la fin 2022. Le texte, ce qui serait une première s'il était adopté, appelle à accélérer la sortie du charbon (sans technique de capture du carbone). Si la formulation a été édulcorée par rapport à un premier brouillon de texte, l'évocation, même à demi-mots et de manière alambiquée, de la fin du charbon et des énergies fossiles est vue par les ONG comme une (demi-)victoire.
Un nouveau projet de déclaration finale de la conférence sur le climat appelle ce samedi à «accélérer les efforts» vers la sortie du charbon et le rythme des engagements des pays pour la réduction des émissions de gaz à effet de serre.
Un nouveau projet de déclaration finale de la conférence de Glasgow sur le climat appelle samedi à "accélérer les efforts" vers la sortie du charbon et le rythme des engagements des pays pour la réduction des émissions de gaz à effet de serre.
Huit pays dont la France se sont engagés à éliminer l’exploitation des énergies fossiles de leur territoire. Mais cette nouvelle alliance ne comprend pas les principaux États producteurs d’hydrocarbures dans le monde, comme les États-Unis, l’Arabie Saoudite et la Norvège.
Après une semaine d’hésitation, la France a rejoint une nouvelle alliance s’engageant à mettre un terme d’ici à la fin 2022 au financement à l’étranger de projets d’énergies fossiles. Mais la portée de cet engagement reste limitée.
Vingt-deux pays ont adopté vendredi une feuille de route initiée par la France visant à coopérer pour adapter leurs forces armées à l'impact du changement climatique et décarboner les activités militaires, encore très dépendantes des énergies fossiles.
« Les promesses sonnent creux quand l’industrie des énergies fossiles continue de recevoir des milliers de milliards de subventions (…) ou quand des pays continuent à construire des centrales à charbon », a déclaré, jeudi 11 novembre, le secrétaire général de l’Organisation des nations unies (ONU), Antonio Guterres, à la veille de la fin de la COP26. « Les annonces ici à Glasgow sont [toutefois] encourageantes, mais elles sont loin d’être suffisantes », a-t-il estimé.
Les toutes nouvelles promesses annoncées à la COP26 de Glasgow engendreraient un réchauffement de la planète d'environ 2,4°C d'ici la fin du siècle, selon le groupe de recherche Climate Action Tracker. Cela les placerait loin de la limite de 1,5°C, que les scientifiques estiment nécessaire pour éviter les effets les plus dévastateurs du changement climatique.
Le premier projet de résolution de la COP26 publié mercredi encourage les pays à réviser à la hausse leurs engagements de réduction d'émissions de gaz à effet de serre dès 2022, soit trois ans avant la date prévue par l'accord de Paris.
A l’issue du dixième jour des discussions de la 26e Conférence des parties (COP) pour le climat des Nations unies, la Chine et les Etats-Unis ont conclu une « déclaration conjointe sur le renforcement de l’action climatique », a annoncé l’émissaire pour le climat chinois, Xie Zhenhua, mercredi 10 novembre. « Les deux parties reconnaissent l’écart existant entre les efforts actuels et les objectifs de l’accord de Paris, donc nous renforcerons conjointement l’action climatique », a-t-il ainsi déclaré devant la presse depuis Glasgow, en Ecosse.
Après dix jours de discussions à Glasgow, une première mouture de la déclaration finale de la COP26 appelle les pays à « réviser et renforcer », dès 2022, les contributions nationales qui fixent les engagements à court terme.
Le rapport annuel de référence du Programme des Nations unies (Pnue) pour l'environnement publié juste avant la conférence climat de Glasgow mettait en garde contre un réchauffement "catastrophique" de +2,7°C, ou de +2,2°C en ajoutant les objectifs de neutralité carbone pour le milieu du siècle.
Les tout nouveaux engagements climatiques des Etats n'ont que marginalement amélioré les chances de l'humanité de freiner le réchauffement de la planète, a regretté l'ONU mardi, appelant encore à plus d'ambition d'ici la fin de la COP26 sur le climat.
La neuvième journée de la COP26 était réservée à l’étude de la situation plus vulnérable des femmes face au changement climatique.
"Le greenwashing est le nouveau déni climatique": l'économiste française Laurence Tubiana, directrice de la Fondation européenne pour le climat et l'une des architectes de l'accord de Paris en 2015, met en garde contre des engagements climatiques dont la plupart restent difficiles à vérifier. "Crédibilité et redevabilité seront les mots clés pour cette semaine" ultime de négociations à la COP26, dit-elle.
A mi-parcours de la COP26, les pays en développement ont fustigé lundi les engagements selon eux insuffisants des pays les plus riches, accusés de sacrifier les vies de milliards d'habitants de la planète en première ligne du réchauffement climatique.
À mi-parcours de la cruciale COP26, l'ancien président américain Barack Obama, en déplacement à Glasgow, a regretté lundi le manque d'ambition de la plupart des pays et salué la "colère" de la jeunesse.
Cette anticipation tout à fait correcte de l'évolution du climat à l'échelle des dernières décennies vient d'être confirmée par le premier volet du 6e rapport du GIEC adopté en août dernier. Y est affirmée la certitude que le réchauffement de l'atmosphère, des océans et des continents est dû à nos activités ; qui plus est l'ensemble du réchauffement observé depuis le début du XXe siècle peut leur être attribué.
La COP26 a enregistré jeudi plusieurs engagements sur les énergies fossiles, principales causes du changement climatique, mais avec de grands absents alors même qu'une étude avertissait que les émissions de CO2 sont quasiment revenues à leurs niveaux records d'avant Covid.
Deux épais brouillards qui ne vont pas plaider en faveur des engagements de la Chine et de l’Inde à Glasgow. Parmi les plus mauvais élèves dans la lutte contre le changement climatique, les deux grandes puissances voient leur capitale en proie à deux importants épisodes de pollution, en pleine COP 26 sur le climat en Ecosse.
À la Conférence de Glasgow sur les changements climatiques, l’Indonésie, pays couvert de forêts sur plus de la moitié de son territoire, s’est engagée à atteindre zéro déforestation en 2030. Mais le gouvernement indonésien semble déjà renoncer à cet accord, évoquant une erreur d’interprétation, voire de traduction.
Au moins 19 pays ont annoncé jeudi s'engager à mettre un terme d'ici la fin de 2022 au financement à l'étranger de projets d'énergies fossiles sans techniques de capture de carbone, parmi lesquels de grands investisseurs comme les Etats-Unis et le Canada.
La COP26 a enregistré jeudi plusieurs engagements sur les énergies fossiles, principales causes du changement climatique, mais avec de grands absents alors même qu'une étude avertissait que les émissions de CO2 sont quasiment revenues à leurs niveaux records d'avant Covid.
L'Indonésie a remis en question jeudi son engagement dans l'accord pour mettre fin à la déforestation d'ici à 2030, signé à la COP26 par une centaine de pays dont cet archipel d'Asie du Sud-Est qui abrite la troisième plus grande forêt tropicale du monde.
La France, l’Allemagne, l’Argentine, le Canada, le Brésil, les Etats-Unis, l’Indonésie, l’Irak ou encore le Royaume-Uni se sont engagés à réduire les émissions mondiales de méthane d’au moins 30 % d’ici à 2030 par rapport aux niveaux de 2020. Il s’agit du premier engagement politique mondial en la matière.
Deux jours après l’ouverture de la COP26, les climatologues ne sont guère optimistes quant aux engagements qui seront pris par les États, à en croire un sondage publié le 1er novembre par la revue Nature.
Réunis à Glasgow pour la 26e Conférence des Nations unies pour le climat, les États-Unis, le Royaume-Uni, l’Union européenne, mais aussi la France et l’Allemagne, ont annoncé, le mardi 2 novembre, avoir conclu un accord avec Johannesburg pour soutenir la “transition énergétique juste” de l’Afrique du Sud, très dépendante du charbon.
Les dirigeants mondiaux réunis à Glasgow pour la COP26 doivent s'engager mardi au deuxième jour du sommet sur le climat à enrayer la déforestation d'ici 2030, mais leur promesse est déjà jugée trop lointaine par les défenseurs de l'environnement.
Plus de 80 pays, dont l'UE et les Etats-Unis, se sont engagés mardi pendant la COP26 sur le climat à réduire leurs émissions de méthane, puissant gaz à effet de serre, de 30% d'ici 2030 par rapport à 2020, a annoncé la présidente de la Commission européenne.
Depuis, certains de ces engagements climatiques ont été revus, et serviront de base aux négociations entre les 196 pays présents à cette COP. Et le moins que l’on puisse dire, c’est que ces nouvelles promesses sont loin d’être suffisantes pour rester sous la barre des 1,5°C, et même des 2°C, laissant présager d’âpres négociations afin d’élever les ambitions climatiques.
Les dirigeants des grandes économies de la planète, réunis en G20 à Rome, ont réussi à s'entendre dimanche sur des engagements pour le climat un peu plus ambitieux que ceux de l'accord de Paris, au moment où s'ouvre la COP26 en Ecosse.
Fin des subventions aux centrales électriques au charbon à l’étranger et poursuite des efforts pour limiter le réchauffement climatique à +1,5 °C. Mais les dirigeants des vingt économies les plus puissantes du monde n’ont fixé aucune date limite pour parvenir à la neutralité carbone.
La capacité des chefs d’Etat et de gouvernement à s’entendre, lors de ce week-end, sur des engagements forts pour le climat n’est pas garantie.
"A la veille de la COP26 et deux ans après l'annonce d'engagements inédits pour diminuer nos émissions de gaz à effet de serre, les progrès wallons en matière d'énergie renouvelable sont largement insuffisants", dénonce jeudi Edora, la fédération des énergies renouvelables.
Pékin s'engage, dans cette "contribution nationale" (NDC) révisée, à atteindre son pic d'émissions "avant 2030" et la neutralité carbone "avant 2060", des objectifs en ligne avec les annonces du président Xi Jinping.
La Chine, premier émetteur mondial de gaz à effet de serre (GES), a joué la montre. A trois jours seulement de l’ouverture de la 26e Conférence des parties (COP26), cruciale pour lutter contre le réchauffement climatique, le pays a officiellement détaillé, jeudi 28 octobre, ses nouveaux engagements pour la planète, très attendus.
A quelques jours de la conférence sur le climat COP26, le constat de l'ONU est sans appel : les engagements de réduction d'émissions de gaz à effet de serre devraient être plus de sept fois plus ambitieux pour espérer limiter le réchauffement à +1,5°C.
Sandrine Mathy est économiste de l’environnement au CNRS. Dans cet entretien, elle revient sur les engagements des pays à réduire leurs émissions de gaz à effet de serre et les enjeux économiques de la COP26.
A six jours de la COP26 sur le climat à Glasgow, le Premier ministre britannique Boris Johnson s'est montré "très inquiet" quant à son succès, tandis que les émissions de gaz à effet de serre ont atteint de nouveaux records.
Kim Le Quang, co-fondateur de Rise for Climate, un collectif citoyen bénévole et engagé né il y a environ trois ans, était ce jeudi matin l’Invité de La Première pour faire le point sur ce dossier. Il a répondu aux questions de Sophie Brems. À quelques jours du début de la COP26 à Glasgow, vous voulez faire entendre votre voix auprès des chefs d’États européens ?
A dix jours de l’ouverture de la conférence internationale sur le climat en Ecosse, des documents consultés par l’équipe de journalistes d’investigation de Greenpeace UK, Unearthed, puis transmis à la BBC, montrent qu’un certain nombre d’Etats et d’organisations essaient d’influencer les travaux du Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (Giec) afin de ralentir la lutte contre l’utilisation des combustibles fossiles (gaz, pétrole, charbon). A l’heure où l’on attend d’eux de nouveaux engagements pour limiter le changement climatique, certains poussent en coulisses pour… que le Giec dilue ses conclusions.
Malgré les engagements à réduire les émissions de gaz à effet de serre, les plans de production de charbon, de pétrole et de gaz sont toujours largement incompatibles avec les objectifs de l'accord de Paris, selon un rapport publié mercredi.
M. Poutine a longtemps minimisé le rôle de l'humain dans le changement climatique, mais il s'est récemment montré plus engagé sur le sujet, notamment du fait de la multiplication de catastrophes naturelles --comme des incendies records-- dans son pays.
La COP26 se déroulera à Glasgow du 31 octobre au 12 novembre 2021. Au terme de 2 semaines de négociations entre États, ce sommet pour le climat doit déboucher sur un accord afin de mettre en œuvre l’Accord de Paris. Son ambition est de limiter le réchauffement climatique à 2°C, ce qui demande aux États de renforcer leurs engagements de réduction des émissions de gaz à effet de serre. Retour rapide sur plus de 30 ans de négociations climatiques, puis bilan et perspectives pour la tant attendue COP26.
Les six plus grandes banques françaises ont annoncé lundi, à deux semaines de l'ouverture de la COP 26 à Glasgow, s'être mises d'accord pour ne plus financer certains projets dédiés aux hydrocarbures non conventionnels, comme le gaz de schiste, à partir de 2022.
En février, le tribunal avait donné raison aux quatre organisations à l'origine de cette plainte, déclarant l'Etat "responsable" de manquements à ses propres engagements, pris notamment dans le cadre de l'accord de Paris.
La justice a ordonné, jeudi, à l'État français de "réparer" les conséquences de ses engagements non tenus en matière de lutte contre le réchauffement, dans une nouvelle décision fustigeant l'action climatique des gouvernements successifs.
Le gouvernement fédéral a approuvé vendredi les "ambitions et engagements" de la politique climatique fédérale pour la période 2021-2030. Celle-ci prévoit une trajectoire de réduction de 55% des émissions de gaz à effet de serre par rapport à l’année de référence 1990, a annoncé la ministre de l’Environnement, Zakia Khattabi. Cette ambition, conforme à l’accord de gouvernement, représente une réduction de 233 millions de tonnes cumulées.
Pour réussir à maintenir le réchauffement climatique sous la barre des +1,5 °C par rapport à l'ère préindustrielle, le temps nous est désormais compté. Le rapport United in Science 2021 estime même que le monde est déjà engagé sur la voie d'un réchauffement de 2,7 °C aux conséquences catastrophiques.
Engagé pour la transition agroécologique, Ver de Terre Production agit pour les agriculteurs en créant et diffusant des contenus de formation de haute qualité, conçus avec des agronomes et des professionnels reconnus en agroécologie
Portée par Sandrine Rousseau à l’occasion de la primaire écologiste, la notion de radicalité suscite la controverse. Loin d’être déraisonnable, elle est la seule attitude qui permet de se confronter aux crises écologiques selon Vincent Liegey, ingénieur engagé et auteur de plusieurs livres sur la décroissance (1).
Dans un rapport publié mi-septembre, l’Organisation des Nations unies fait le point sur les engagements climatiques des 191 États signataires de l’Accord de Paris. Ils sont beaucoup trop faibles et nous conduiraient à un réchauffement de 2,7°C par rapport à l’ère pré-industrielle.
Cela fait des années que des appels à l’engagement des pays se succèdent et s’accroissent. Mais trop peu, trop lent, alerte une nouvelle fois l’ONU à six semaines de la COP26 à Glasgow. Les engagements déposés par les États signataires de l’Accord de Paris mènent le monde à un réchauffement de +2,7°C, très loin de l’objectif de 1,5°C espéré pour limiter ses retombées destructrices, s’est alarmée l’organisation internationale.
Dans quelques semaines, la COP26 réunira les représentants des 197 pays de la convention climat. Or, l’ONU a alerté sur le fait que même respectés, les engagements actuels des États conduiraient à une augmentation considérable des émissions de CO2 et à un réchauffement du climat d’au moins 2,7 °C.
Six semaines. Il ne reste que six semaines avant la COP26 prévue en Ecosse. L’ONU alerte et publie un nouveau rapport sur un réchauffement climatique. On y apprend que les engagements déposés par les États signataires de l'accord de Paris mènent le monde vers un réchauffement "catastrophique" de 2,7 °C, très loin de l'objectif de 1,5 °C espéré pour limiter les retombées destructrices du réchauffement climatique.
A six semaines de la COP 26, rendez-vous crucial sur le climat qui réunira 191 pays, les engagements pris pour limiter le changement climatique sont loin d’être suffisants, constate une fois de plus l’ONU dans rapport publié ce vendredi.
Les engagements déposés par les Etats signataires de l'Accord de Paris mènent le monde à un réchauffement "catastrophique" de +2,7°C, très loin de l'objectif de 1,5°C espéré pour limiter ses retombées destructrices, s'est alarmée l'ONU à six semaines de la COP26.
On estime que près de la moitié des terres du Kenya est utilisée à des fins agricoles, et qu’environ 12 % des terres sont désignées comme zones protégées. La plupart des autres pays africains tendent également à favoriser les terres agricoles et les populations plutôt que les réserves et les parcs nationaux, ce qui semble mettre le continent africain dans une position difficile pour assurer la protection...
Damas s'est dit "prêt" à aider Beyrouth pour ses approvisionnements en énergie, avec l'aval des États-Unis, qui passeront outre leurs sanctions contre la Syrie. Le Liban traverse l'une des pires crises économiques au monde et connaît de graves pénuries de carburant et des coupures d'électricité.
Cela fait un moment maintenant qu’associations et journalistes dénoncent les conditions de travail dans différentes filières de l’agroalimentaire et dans les abattoirs. Ces alertes ont provoqué une prise de conscience chez certains consommateurs et parfois permis de fermer des établissements aux méthodes barbares mais l’enquête implacable et effroyable que nous publions montre que le secteur est loin d’avoir engagé la moindre remise à plat de ses méthodes.
Le monde doit "avoir confiance" dans les engagements de la Chine en matière de lutte contre le changement climatique, a assuré mardi Pékin, après la publication du rapport des experts climat de l'ONU (Giec).
Aux constats répétés des scientifiques se greffent de nouveaux appels à l’action, alors que les engagements des États restent très éloignés des objectifs de lAccord de Paris.
Seulement un peu plus de la moitié des Etats ont soumis leurs nouveaux engagements climatiques, s'est inquiétée samedi la responsable climat de l'ONU Patricia Espinosa, appelant également à "renforcer" l'ambition des plans déposés. En vertu de l'Accord de Paris de 2015 qui vise à maintenir le réchauffement "bien en deçà" de +2°C, si possible +1,5°C par rapport à l'ère pré-industrielle, chacun des quelque 200 signataires devait déposer avant fin 2020 une version révisée de ses engagements en matière de lutte contre les dérèglements climatiques, appelés "contribution déterminée au niveau national" (NDC).
Aménager notre territoire de manière préventive devient une nécessité criante alors que tout indique que nous entrons dans une nouvelle ère de risques climatiques, sanitaires, économiques...
La fondation finançant et organisant les prix Nobel a annoncé mardi avoir vendu ses participations liées au secteur du pétrole, après s'être également retirée de l'industrie du charbon.
L’agence internationale de l’énergie atomique (AIEA) a fait savoir, dans un rapport consulté par l’Agence France-Presse (AFP), que l’Iran comptait « produire de l’uranium, métal avec un taux d’enrichissement de 20 % », en violation de ses engagements internationaux.
Au terme de deux jours d’une table ronde sur les conséquences des 193 essais nucléaires en Polynésie française, Macron et trois ministres se sont engagés à la vérité et la justice, mais pas à demander pardon.
Un nouveau rapport publié mercredi 9 juin 2021 par un trio d’ONG progressistes lève le voile sur les promesses climatiques dites «zéro émission nette» qui sont souvent présentées par les entreprises et les gouvernements comme des solutions à l’urgence climatique. Selon les auteurs du document, elles ne sont qu’une forme dangereuse d’écoblanchiment qui devrait être évitée au profit de politiques «zéro émission réelle»
Un large ensemble de simulations réalisées à l’aide d’un modèle novateur permet de mieux quantifier le risque d’effet domino ou cascade climatique – une forme de réaction en chaine – pour différents niveaux de réchauffement global. Les résultats révèlent la dimension interconnectée des éléments pouvant bifurquer, tels l’inlandsis groenlandais, et l’importance de les étudier via une approche intégrée. L’étude paraît ce mois-ci dans la revue scientifique Earth System Dynamics.
Le rapport, intitulé " La Grosse Arnaque: Comment les Grands Pollueurs mettent en avant un programme climatique "zéro émission nette" pour retarder, tromper et nier ", fait suite à une année remplie d'annonces record d'engagements "zéro émission nette" de la part des entreprises et des gouvernements, et s'appuie sur un nombre croissant de recherches qui remettent sérieusement en question l'intégrité du "zéro émission nette" en tant qu'objectif politique. Alors que de plus en plus de plans "zero émission nette" ont été mis en place, les communautés scientifique, universitaire et activiste ont toutes exprimé de graves inquiétudes quant à l'incapacité de ces plans à respecter les engagements de l'Accord de Paris et à maintenir l'augmentation de la température mondiale en dessous de 1,5 degré Celsius.
Le G7 Finances s'est engagé sur l'objectif d'un taux d'impôt minimal mondial sur les sociétés d'"au moins 15%", d'après un communiqué commun publié samedi à l'issue d'une réunion de deux jours à Londres.
Les ministres des sept grandes puissances se sont engagés samedi sur l’objectif d’un taux d’impôt minimal mondial sur les sociétés d’ «au moins 15%», d’après un communiqué commun publié samedi à l’issue d’une réunion de deux jours à Londres.
Les Etats-Unis ont salué, samedi 5 juin, l’accord obtenu par les ministres des finances du G7 ouvrant la voie à un projet de réforme de la fiscalité mondiale, et à un taux d’imposition minimal sur les multinationales.
Face à la triple menace des changements climatiques, de la perte de la nature et de la pollution, le monde doit tenir son engagement de restaurer au moins un milliard d'hectares de terres dégradées au cours de la prochaine décennie, une superficie équivalente à celle de la Chine.
La récupération d’au moins un milliard d’hectares dégradés dans la prochaine décennie est un moyen de faire face aux menaces du changement climatique, de la perte de la nature et de la pollution, indique l’ONU, dans un rapport publié aujourd’hui dans le cadre de la Décennie des Nations Unies pour la restauration de Écosystèmes 2021-2030. Les pays, ajoute l’ONU, doivent également ajouter des engagements similaires en ce qui concerne les océans,
C'est un "pas en avant important" pour les pays industrialisés. Le G7 s'est engagé, vendredi 21 mai, à mettre fin dès cette année aux aides publiques à destination des centrales à charbon. À trois semaines du sommet du G7 en Angleterre et à six mois de la conférence sur le climat COP26 à Glasgow, les ministres de l'Environnement de l'Allemagne, du Canada, des États-Unis, de la France, de l'Italie, du Japon et du Royaume-Uni ont promis "des efforts ambitieux et accélérés" pour réduire leurs émissions de CO2.
Plus de 90 aéroports européens se sont engagés à atteindre la « neutralité carbone » dès 2030, un objectif en avance de 20 ans sur les promesses du secteur mais qui n’inclut pas les émissions de gaz à effet de serre des avions eux-mêmes, a annoncé jeudi l’instance les fédérant.
C’est une historique impulsion vers une démocratie transgénérationnelle qui vient d’être lancée par une décision communiquée par le Tribunal constitutionnel fédéral allemand, le 29 avril. Pour la première fois, dans une action attaquant les dispositions d’une loi climat, une juridiction constitutionnelle reconnaît l’obligation d’un État d’agir de manière audacieuse sur le terrain du changement climatique au regard des libertés futures.
En cette journée internationale du livre et au lendemain de la journée de la Terre, Novethic présente le nouvel ouvrage de Naomi Klein et Rebecca Stefoff "Vaincre l'injustice climatique et social", publié le 21 avril. Dans cet essai, les autrices s'adressent aux jeunes générations. Elles livrent des outils pour comprendre le réchauffement climatique, et s'engager efficacement. 
La copie est (très) largement à revoir. Selon l’ONU, les derniers engagements climatiques déposés par les Etats signataires de l'Accord de Paris sont « très loin » des objectifs, a dénoncé vendredi l’organisation, appelant les gros pays émetteurs à passer de la parole aux actes.
Alors que le droit est considéré sur la forme comme un ensemble de règles générales et abstraites, les normes contenant des engagements se montrent au contraire plus concrètes, remplies d’objectifs à atteindre, souvent chiffrés et datés.

2020

L'Afrique, continent parmi les plus menacés et déjà impactés par le changement climatique, apparaît aussi comme l'un des champions sur la scène internationale. D'ici la fin de l'année, les États doivent relever leur ambition pour être en ligne sur l'Accord de Paris. Parmi la centaine d'entre eux à avoir annoncé leur intention de le faire, une quarantaine se trouve sur le continent africain.
L'Accord de Paris signé en décembre 2015 lors de la COP 21 a pour objectif – central et ultime – de « contenir l'élévation de la température moyenne de la planète nettement en dessous de 2 °C par rapport aux niveaux préindustriels et à poursuivre l'action menée pour limiter l'élévation de la température à 1,5 °C par rapport aux niveaux préindustriels ». Toutes les Parties à la Convention Climat se sont accordées sur cet objectif, et y contribuent, appuyées par l’ensemble des acteurs non étatiques, par différents types d'engagements et d'instruments de suivi...
Dans le cadre du plan de sortie du glyphosate engagé par le gouvernement, l’Anses a lancé une évaluation des alternatives non chimiques à cet herbicide dont les résultats ont été rendus publics le 9 octobre 2020. L’usage de la substance est dorénavant restreint aux situations où le glyphosate n’est pas substituable à court terme. Ces restrictions sont désormais prises en compte par l’Agence pour délivrer les autorisations de mise sur le marché des produits à base de glyphosate.
Le présent texte n’est ni une carte blanche, ni une pétition : il s’agit d’une charte par laquelle les signataires, académiques de toutes les universités belges, s’engagent à sortir de leur réserve et à prendre position dans les débats qui animent notre société, dans le respect bien entendu de la liberté de pensée individuelle.
Atteindre une économie neutre en carbone, c'est l'objectif fixé par l'Europe pour 2050. Dans cette optique, la Commission attendait de chaque État membre qu'il lui fournisse pour le 1er janvier une note stratégique présentant les efforts envisagés afin de réduire les émissions de gaz à effet de serre. Avec près de deux mois de retard, les représentants du gouvernement fédéral et des entités fédérées se sont accordés mercredi et vont donc pouvoir remettre leur devoir à l'Europe.

2019

Cet article est issu d’un débat ayant eu lieu sur le Discord d’Ingénieurs Engagés. Il reprend et approfondit les différents arguments avancés par les différent·e·s participant·e·s, qui ont également contribué à son amélioration et sa relecture. Il s’intègre dans la réflexion du Livre d’Ingénieurs Engagés.
Parce que, pour préserver les grands équilibres planétaires, les manifestations, pétitions, élections ou blocages ne suffiront pas plus que les changements du quotidien menés de manière individualisante et culpabilisante, nous nous engageons à adopter dès à présent, selon nos possibilités, jusqu’à dix résolutions fortes, afin d’avancer ensemble vers un mode de vie soutenable.
« L'accord Climat signé à Paris en 2015 avec l'engagement des pays de tenter de limiter le réchauffement climatique à 2 °C en 2100* sera impossible à atteindre. Le Programme des Nations unies pour l'Environnement (Unep) estime que le réchauffement climatique devrait être plus proche de 3°C.
Vingt rencontres officielles en trois jours, cinq interventions devant des publics de haut niveau, une visite à l’Université de Columbia, un événement sur la santé mentale… La reine Mathilde a connu des journées intenses à New York, lors de l’ouverture de la 74e assemblée générale des Nations unies.

2018

2016

Les divers engagements de la communauté internationale demandent que les émissions de CO2 soient divisées par trois dans les trois prochaines décennies. Le GIEC ainsi que le « modèle Gemmes-monde » (développé par l’AFD) sont formels : il faut atteindre le plancher de zéro émission dans le courant de la seconde moitié de ce siècle si nous voulons conserver une planète accueillante. Respecter ces engagements exige de s’interroger sur l’impératif de la croissance du PIB, même dans un contexte économique déflationniste comme celui que connaît l’hémisphère nord actuellement.