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Capital

2024

Chimère humain-porc, clonage humain, souche militarisée, virus à gain de fonction, vaccin codant, ciseaux moléculaires, etc. Il est temps de s’attaquer franchement à tous les petits monstres de la biologie moderne et de comprendre en quoi cette discipline est un des fronts de conquête les plus prometteurs du technocapitalisme sur les humains et la nature.
comment les individus vivent-ils la société marchande ? Quel type de subjectivité le capitalisme produit-il ? Pour le comprendre, il faut rouvrir le dialogue avec la tradition psychanalytique, de Freud à Erich Fromm ou Christopher Lasch. Et renoncer à l'idée, forgée par la Raison moderne, que le " sujet " est un individu libre et autonome. En réalité, ce dernier est le fruit de l'intériorisation des contraintes créées par le capitalisme, et aujourd'hui le réceptacle d'une combinaison létale entre narcissisme et fétichisme de la marchandise.
Entretien avec Daniel Tanuro, écosocialiste, membre de la 4e Internationale et de la Gauche anticapitaliste belge, et auteur de nombreux ouvrages sur l’écologie. Il vient de publier un nouvel ouvrage : "Écologie, luttes sociales et révolution"
The Shifters Belgium - Propositions visant la diminution de la masse des véhicules en région Bruxelles-Capitale
Les graves inondations ces dernières semaines au Liberia ont poussé un groupe de sénateurs à proposer la création d'une nouvelle capitale loin de Monrovia, surpeuplée et mal gérée, une idée accueillie à la fois avec enthousiasme et scepticisme dans ce petit pays d'Afrique de l'Ouest, l'un des plus pauvres au monde.
Au pays de Karl Marx, il devient de plus en plus compliqué de défendre… le marxisme. La première force économique européenne veut faire taire les voix qui mettent en cause le capitalisme. Attaqué, le quotidien Junge Welt a décidé de réagir. Il mérite notre soutien.
Offsetting allows corporations to increase emissions, while getting credit for pseudo-reductions elsewhere
L’accélération technologique qu’a permis l’épidémie mondiale du SARS-CoV2 a été sans précédent depuis la mise en place du techno-capitalisme (c’est-à-dire depuis les années 1990 et l’internet public ainsi que la micro-informatique). Il faut dire que tout était déjà bien en place pour cet effort de guerre technologique contre les humains.
Overexploitation and habitat loss pose extinction threats for migratory fish, birds and others, worldwide
Since the Paris Agreement in 2016, the world’s 60 largest private banks financed fossil fuels with USD $6.9 trillion. Nearly half – $3.3 trillion – went towards fossil fuel expansion. In 2023, banks financed $705 billion in fossil fuel financing with $347 billion going to fossil fuel expansion alone.
Le texte est composé de 3 parties d’inégales longueurs : sur le capitalisme, sur la décroissance, sur une revendication de libre parole qui débouche sur un appel à l’unité avec les syndicats pour le 5 décembre 1 . En tant que décroissants, ces 3 parties nous interpellent : parce que nous pouvons nous définir comme anticapitalistes, mais pas seulement ; parce que la critique adressée à la décroissance nous semble manquer sa cible ; parce que depuis longtemps, quant à la stratégie générale pour sortir du capitalisme, nous sommes plus que sceptiques vis-à-vis de ces appels à l’unité qui feraient l’impasse sur une base idéologique préalable et minimale de convergence. Car il ne suffit pas d’être anticapitaliste pour légitimer une mobilisation : il faudrait aussi, au préalable, partager une vision même minimale mais au moins commune de ce nous pourrions entendre par « vie bonne dans une société juste ». Autrement dit, surtout quand on ne peut que constater l’incroyable capacité de résilience et de récupération du
Ce document présente l'Opération REGIME (Réduire Grandement et Irrémédiablement la Masse des vEhicules) menée par l’association The Shifters Belgium, qui vise à proposer des mesures concrètes pour réduire la masse moyenne des véhicules en Région de Bruxelles-Capitale (RBC). Deux outils sont envisagés : un outil réglementaire d’une part avec le développement d’une Low Danger Zone (LDZ), et un outil fiscal de l’autre avec l’adaptation du projet de réformes fiscales SmartMove. Ce document fait suite à l’analyse prospective des émissions liées aux voitures particulières à horizon 2030 réalisée par The Shifters Belgium : l’association a calculé le bilan carbone induit par les hypothèses de la réalisation du Plan Régional de Mobilité en RBC (Good Move) en 2030, et l’a comparé aux objectifs de réduction des émissions pour le secteur de la mobilité. En supplément, une série de scénarios activant différents leviers a été analysée, l’un d’eux étant la réduction de la masse des véhicules.
Les écosocialistes sont traversés par des divergences de fond à propos du capitalisme et de son nécessaire dépassement.
Le contexte de crise écologique favorise l’émergence d’initiatives qui invitent à revoir radicalement le rapport entre les hommes et la nature.
Mon article « Le néolibéralisme, coincé entre des services avares de productivité et une demande insolvable de produits essentiels, fait appel au capitalisme vert » démontrait factuellement que sur la base de statistiques gonflées et d’engagements à la fois trop courts et boursouflés, le capitalisme vert réellement existant courait derrière la croissance sans la rattraper sauf pour la fausse solution des véhicules privés électriques. La combinaison des ces véhicules avec le recours tout électrique aux énergies renouvelables et au nucléaire dans un contexte de croissance, définit une nouvelle révolution industrielle. Celle-ci, loin de permettre l’atteinte des cible du GIEC-ONU, annonce une exponentielle orgie d’énergivore production de matériel tant pour la nouvelle énergie que pour les nouveaux véhicules, tous deux exigeant davantage de matériel que les anciens par unité d’énergie produite ou consommée. D’autant plus que continue le tout aussi énergivore étalement urbain et que s’ensuit l’inévitable et gargan
Des microplastiques dans notre eau de bouteille. Et donc dans notre corps. C’est l’une des dernières alertes qui a retenti dans les médias. Le plastique est nocif pour notre planète et pour notre santé. On le sait, et pourtant sa production continue à augmenter. 174 pays négocient en ce moment à Ottawa (Canada) pour mettre le holà, via un traité international contraignant visant à réduire la pollution plastique. En principe, du moins.
Peut-on parler d’une régionalisation du conflit ? "On est déjà dans une régionalisation du conflit depuis le 7 octobre, puisque tout une série d’acteurs ont été impliqués dans les opérations contre Israël. Pensons par exemple au Hezbollah, mais aussi aux Houthis qui ont frappé assez régulièrement différents bateaux dans la mer Rouge.
Monique PINÇON-CHARLOT est sociologue spécialisée sur l'étude des classes supérieures, et ancienne directrice de recherche au CNRS. Elle a publié, avec Michel Pinçon, de nombreux ouvrages consacrés à ce sujet comme « Sociologie de la bourgeoisie » (La Découverte, 2016), « La violence des riches » (Zones, 2013) ou encore « Le Président des ultra-riches : Chronique du mépris de classe dans la politique d’Emmanuel Macron » (La Découverte, 2022). Plus récemment, en 2023, elle a publié « Le Méprisant de la République » dans lequel elle complète l'analyse de la politique complaisante du président de la République à l'égard des classes les plus riches de la société. Dans cette interview par Olivier Berruyer pour Élucid, elle présente le résultat de ses années de recherches, et de ses enquêtes de terrain, grâce à son infiltration dans ces cercles très fermés et secrets d'ultras riches. Qui sont-ils et comment fonctionnent-ils vraiment ?
Global investment in the clean energy transition grew by 17% in 2023, showing resilience despite geopolitical tensions, high interest rates, and inflation. But was it enough to keep the world on track to hit net zero by 2050? To answer this question, we compare 2023 clean energy investment by sector with what’s annually needed to reach net zero by 2050, in partnership with the National Public Utilities Council.
Sommes-nous tous responsables, à intensité égale, du dérèglement climatique ? Sommes-nous tous responsables du creusement des inégalités ? Certains discours tendent à le faire croire. Le concept d’anthropocène qui pénètre actuellement le débat public est de ceux-là. Il dépolitise les questions climatiques ou sociales. Le salut viendrait alors non d’une transformation du système économique, mais des « petits gestes » quotidiens d’un Être humain désincarné.
Face à l’urgence et à la gravité de la situation environnementale, il est évident que chaque acteur et secteur d’activité – y compris le secteur socio-culturel – a un rôle à jouer pour (tenter de) limiter le désastre. Mais il est tout aussi évident que les torts et les responsabilités ne sont pas équitablement partagées. Et surtout, que le problème est structurel, ce qui signifie que les solutions doivent l’être aussi. Or, les structures dominantes aujourd’hui ont un nom qu’il faut pouvoir prononcer : le capitalisme.
La capitale vietnamienne, Hanoï, était recouverte d'un épais brouillard de pollution mardi, masquant les immeubles et obligeant ses quelque neuf millions d'habitants à respirer un air toxique.
Extrait dans une quinzaine de pays et utilisé comme combustible pour les réacteurs nucléaires, l’uranium provient en majorité d’Amérique du Nord.
« Je crois profondément en la sobriété ; consommer moins et consommer mieux, oui, mais pas en prenant les vendeurs ou les commerces physiques comme cible, et pas en culpabilisant, mais en incitant. » Le 23 novembre dernier, au micro de France Info, le ministre de l’Économie, Bruno Le Maire, s’attaquait à la campagne de communication lancée par son collègue Christophe Béchu, ministre de la Transition écologique, visant à inciter les Français à des modes de consommation plus sobres.
Les clés du changement de modèle énergétique viennent de la combinaison des actions suivantes : laisser les stocks de pétrole, de gaz et de charbon sous terre ; stimuler les économies d’énergie ; électrifier les transports et l’ensemble de l’activité productive exigeante en énergie ; changer les sources en remplaçant les combustibles fossiles et nucléaires par des combustibles renouvelables (solaire, éolien, géothermique, marémotrice, etc.). Avec un développement particulier de la production décentralisée et de la production d’énergie, des systèmes de transport et de distribution de propriété publique et sociale dans un modèle qui prend en compte à la fois la dimension de la coordination des ressources pour permettre des synergies et des économies, et celle de la décentralisation pour rapprocher les décisions des individus et des communautés dans leurs facettes de producteurs et de consommateurs, pouvoir promouvoir la souveraineté et la démocratie dans les affaires des énergies qui satisfont les besoins.
Une récente synthèse sur la décroissance permet de dessiner les principales critiques que ce courant d'idées et de recherche adresse au système capitaliste.
ARTICLE LECTEUR // Bâtir un avenir sur la base de la technologie mais en assumant qu’il ne soit pas positif pour l’immense majorité des populations : voici ce vers quoi ont basculé les patrons de la tech. C’est en tout cas le constat de Chem Assayag, auteur du blog Néotopia et fidèle lecteur d’Usbek & Rica. 
Après avoir passé près de 40 ans à observer les us et coutumes du peuple Wari' en Amazonie, l'anthropologue brésilienne Aparecida Vilaça revient dans cet entretien sur leur relation au vivant, particulièrement éloignée des conceptions occidentales, et sur leur rapport au changement climatique, imprégné de mythologie. 
Small modular reactors (SMRs) have been the subject of endless hype in recent years but in fact, no SMRs have ever been built, none are being built now and in all likelihood none will ever be built because of the prohibitive costs. SMRs are defined as reactors with a capacity of 300 megawatts (MW) or less with serial factory production of reactor components (or ‘modules’). No SMRs have been built, but dozens of small (<300 MW) power reactors have been built in numerous countries, without factory production of reactor components.
La concentration en particules fines, potentiellement nocives pour la santé, dépasse le seuil fixé par l’Organisation mondiale de la santé dans la grande majorité des capitales. Une pollution qui aggrave les pathologies respiratoires et concourt au développement des cancers du poumon.

2023

« En traitant l'espace comme une ressource illimitée, l'humanité crée de sérieux problèmes de sécurité et de soutenabilité à long terme dans l'usage de l'orbite basse », écrivent quatre chercheurs dans un papier publié dans Science. Une assertion partagée par Irénée Régnauld, lecteur d’Usbek & Rica et co-auteur du livre à paraître Une histoire de la conquête spatiale: Des fusées nazies aux astrocapitalistes du New Space (éditions La Fabrique, février 2024). 
Without a phase out of fossil fuels, by 2100, 1 in 12 hospitals worldwide will be at high risk of total or partial shutdown from extreme weather events — a total of 16,245 hospitals. Without a phase out of fossil fuels, all of these 16,245 hospitals will require adaptation, where suitable. Even with this enormous investment, for many, relocation will be the only option.
The effect of increasing the concentration of atmospheric carbon dioxide (CO2) on global average surface air temperature might be expected to be constant, but this is not the case. A study published in the journal Science shows that carbon dioxide becomes a more potent greenhouse gas as more is released into the atmosphere.
Depuis trois ans, il ne pleut presque plus à Barcelone. Conséquence, les réserves d’eau sont à 18% de leur capacité et les six millions d’habitants, (presque toute la région) sont soumis à des restrictions. Fac à...
La capitale économique de la Birmanie, Rangoun, et ses alentours sont frappés par une pénurie d'essence, ont indiqué mercredi des habitants et un média d'Etat, qui a décrit de longues files d'attente de voitures aux stations-service.Le Global New Light of Myanmar a évoqué des "problèmes de circulation en raison de retards prolongés" à la pompe.Le quotidien contrôlé par la junte a évoqué des "retards dans l'approvisionnement" à partir "du port de Thilawa" jusqu'aux stations-service, entraînant "une offre insuffisante d'essence".
Dubaï, qui accueille la COP28 jusqu’au 12 décembre, est l’incarnation des effets délétères du capitalisme, qu’ils soient climatiques, environnementaux ou sociaux.
Faute d’eau courante et d’infrastructures suffisantes, au moins 51 personnes ont été tuées par la bactérie. Plus de 7 000 cas de contamination ont été recensés.
Mapped: Carbon Dioxide Emissions Around the World According to Our World in Data, the global population emits about 34 billion tonnes of carbon dioxide (CO₂) each year. Where does all this CO₂ come from? This graphic by Adam Symington maps out carbon emissions around the world, using 2018 data from the European Commission that tracks tonnes of CO₂ per 0.1 degree grid (roughly 11 square kilometers). This type of visualization allows us to clearly see not just population centers, but flight paths, shipping lanes, and high production areas. Let’s take a closer look at some of these concentrated (and brightly lit) regions on the map.
Explosion des inégalités, triomphe de l'égoïsme, perte du sens du collectif… Face à ce triste bilan, ils sont de plus en plus nombreux à chercher de nouveaux mode de vie et à faire le choix de s'installer dans des écovillages....
Les écoles ont été fermées vendredi dans la capitale indienne New Delhi en raison du niveau dangereux de pollution...
Les autorités ont annoncé, vendredi, que les écoles de la capitale indienne ont été fermées pour deux jours en raison d'un niveau dangereux de pollution atmosphérique due aux brûlis agricoles, au transport routier et aux émissions industrielles. Le niveau de particules fines, les plus dangereuses, est 35 fois supérieur au niveau maximum fixé par l'OMS.
Les algorithmes captent «l’expérience humaine» et la transforment en «marchandise», concluent des chercheurs.
Hervé Kempf, le fondateur et rédacteur en chef du média Reporterre sera présent à Bruxelles ce mardi 10 octobre à la soirée d’ouverture du Festival Alimenterre. Entretien.
Dans le Club aujourd'hui, un climatologue face à des décideurs, la végétalisation des cours d'écoles, et la presque extinction de nos ancêtres il y a 900 000 ans.
To prevent catastrophe, these countries must stop new extraction projects n: Just 20 countries, led overwhelmingly by the United States, Canada and Russia, are responsible for nearly 90 percent of new greenhouse gas emissions threatened by new oil and gas fields and fracking wells planned between now and 2050. If these extraction projects are allowed to proceed, they will lock in climate chaos and an unlivable future.
Au début de leur Mémo sur la nouvelle classe écologique, Bruno Latour et Nicolaj Schultz se demandent « à quelles conditions l'écologie, au lieu d'être un ensemble de mouvements parmi d'autres (un sujet parmi d'autres du débat public, dont l'importance varie au gré de l'actualité), pourrait-elle organiser la politique autour d'elle ? » Autrement dit, pourquoi l'écologie demeure-t-elle politiquement impuissante, minoritaire, alors qu'elle porte, dans la politique humaine, la parole de la menace la plus puissante et la plus universelle qui soit ? Pourquoi les nouvelles, et à présent la perception, des dérèglements catastrophiques, ne provoquent-elles pas l'action, la « mobilisation générale », qu'elles devraient normalement produire ?
Débat entre Paul Magnette et Daniel Tanuro, le 19 octobre 2022 à Charleroi.
Épuisement des ressources, infrastructures vétustes ou inadaptées, mauvaise qualité de l’eau... Une large partie de la population mondiale est en situation d’insécurité hydrique.
Et si ce pouvoir de la fiction était plutôt utilisé pour changer la trajectoire funeste de nos sociétés et inventer un nouveau récit ? Et si l’art nous donnait l’envie de résister et de nous battre pour un monde plus juste et soutenable ? Pour en parler, Paloma Moritz reçoit Alain Damasio, le plus politique des auteurs de science fiction, célèbre pour la puissance de son imaginaire et ses critiques incisives de la société de contrôle 2.0. Un auteur qui a choisi de raconter des luttes enviables plutôt que de décrire un monde enviable. Son espoir quand il écrit est que son roman donne envie au lecteur de changer de sa vie et la société qui la structure.
Lancet study finds 'green growth' policies fall far short of what's needed to prevent dangerous change…
Un terme a aujourd’hui une certaine vogue, celui de «polycrise» utilisé, entre autres, par l’historien économique américain Adam Tooze pour caractériser la situation actuelle où plusieurs crises, actuelles ou potentielles, interagissent. «Une polycrise n’est pas seulement une situation où l’on est confronté à des crises multiples. Il s’agit d’une situation […] où le tout est encore plus dangereux que la somme des parties.»[1]
More than 1 billion cows around the world will experience heat stress by the end of the century if carbon emissions are high and environmental protection is low, according to new research published in Environmental Research Letters. This would mean cattle farming would face potentially lethal heat stress in much of the world, including Central America, tropical South America, Equatorial Africa, and South and Southeast Asia.
L’Hysacam n’assure plus le ramassage des ordures à Douala. Fin 2022, l’Etat devait 11,6 millions d’euros à la société privée, délégataire de ce service public.
Moins d'avions dans le ciel parisien. C'est le souhait du Conseil de Paris qui a plaidé début juin pour une réduction du trafic. La capitale rêve de suivre l'exemple d'Amsterdam qui a plafonné le nombre de vols de l'aéroport de Schiphol, pourtant troisième aéroport le plus fréquenté d’Europe. Une réduction du trafic nécessaire pour respecter l'Accord de Paris.
Le réchauffement climatique ne m’intéresse pas. Parlez-moi d’autre chose Sandrine Aumercier Alors que les objectifs admis en matière de réduction des gaz à effets de serre ne cessent de ridiculiser leurs porte-paroles et que les alarmes scientifiques...
Même si Paris n’a pas encore été confrontée à une vague de chaleur importante cet été, la ville a conscience du chemin qu’elle doit encore faire pour protéger ses habitants. Ils ont en effet plus de risques de mourir en cas de canicule que les résidents des autres capitales européennes, selon une étude publiée dans The Lancet.
Le voici, le voilà ! Le nouveau dada des adeptes de la green tech et de la croissance verte : l'hydrogène blanc (ou naturel), directement pompé sous forme H₂ dans le sol. On le pensait extrêmement rare... Mais on en a découvert d'énormes gisements au Mali, aux Etats-Unis et en Finlande dans les zones volcaniques, dans les fonds marins, en Amazonie... Le techno-capitalisme est sauvé ! Sur le papier, c'est LA source d'énergie parfaite : ça ne rejette que de l'eau, et n'exige pas d'électrolyse coûteuse et énergivore. Il suffit de le récolter dans le sous-sol, et de l'exploiter, pour décarboner nos vie et sauver la planète ! Oui, mais voilà...
Dans la ville de Nantes, aux rencontres organisées à la fin du mois de juin par l’association APALA, censée mettre en avant la Low Tech, une discussion publique s’est muée en festival du malaise : Yves Cochet, un ancien ministre de l’Aménagement du territoire (époque Jospin) discutera avec Ferghane Azihari, auteur récent d’un affligeant texte (Les écologistes contre la modernité) obsédé par la croissance économique, aveugle à la raréfaction grandissante de ressources essentielles, qui considère que tout ce qui s’exprime à contre courant de la mondialisation "constitue un profond désintérêt pour le sort de l’humanité ». Certains animateurs de la "fresque des low techs" nous ont transmis cette tribune, qui met le doigt sur les différents processus de dévoiement/détournement des critiques de la technique.
nous trouvons engagés par les communs négatifs que nous lèguent le monde organisé dans et par le capitalisme. Que faire de ces infrastructures, projets et imaginaires ? Héritage et fermeture sont les deux gestes d'une écologie proprement responsable : en finir avec ce monde-là.
Le glacier de l'Himalaya pourrait perdre jusqu'à 80 % de son volume d'ici 2100 en raison du réchauffement climatique, préviennent des scientifiques dans un rapport.
La métropole qui concentre la moitié de la population de l’Uruguay n’aura pas une goutte d’eau à la fin du mois. La sécheresse dure depuis trois ans, et les autorités se voient reprocher leur négligence.
La théorie des collapsologues est à la fois fataliste et naturaliste. Fataliste, au sens où l'effondrement n'est pas évitable avec eux : ils jugeront vaine toute tentative actuelle de transformation globale (il est « inutile de se battre », disent-ils dans Une autre fin du monde est possible). Naturaliste, car ils empruntent les sciences naturelles bourgeoises pour naturaliser systématiquement le monde social moderne. Avec eux, fatalisme et naturalisme vont de pair : c'est parce que le social est naturalisé qu'il est inutile de lutter contre ses lois implacables. Il s'agira dans cet essai, de critiquer à la racine un tel discours. Nous reprendrons les trois ouvrages des collapsologues (Comment tout peut s'effondrer, Une autre fin du monde est possible, L'entraide, l'autre loi de la jungle), et nous proposerons un commentaire suivi. Il s'avérera que les collapsologues, au fond, ne veulent pas nous faire sortir du capitalisme, mais tentent bien plutôt d'accommoder la société capitaliste à l'effondrem
On parle beaucoup de la Singularité technologique, vu les progrès époustouflants de l’intelligence artificielle (IA). J’ai tenté de relier cette tendance avec la possibilité d’une Singularité écologique. Je voudrais maintenant aborder la possibilité d’une Singularité capitaliste, en lien avec le néolibéralisme et le transhumanisme. Ceci à partir de l’actualité et de ses signaux faibles, comme il plaît au prospectiviste de le faire. La presse nous informe de l’usage croissant de l’intelligence artificielle dans l’économie réelle, notamment en Chine. Cet article est édifiant. Des influenceurs achètent des avatars pilotés par intelligence artificielle pour animer leurs canaux de diffusion et réaliser leur promotion (et celle de produits commerciaux), y compris en leur absence. Des graphistes se retrouvent au chômage car l’IA produit mieux, plus vite et moins cher des graphismes de personnages, d’objets et de décors pour l’industrie du jeu vidéo. Etc. On observe que l’IA a déjà commencé à remplacer l’emploi humai
Depuis sa naissance, le capitalisme fait l’objet de violentes attaques. Hier soupçonné d’être un instrument de domination, aujourd’hui accusé de détruire la planète, il s’adapte, se reformule. Et résiste.
Le premier mandat d’Emmanuel Macron est passé à côté de ses objectifs pour le climat. Dans un rapport publié lundi 22 mai, deux économistes appellent au changement en misant sur des solutions concrètes, qui signifient inévitablement des sacrifices, tant pour les classes aisées, que pour les plus modestes, et plus généralement pour la communauté dans son ensemble.
Le capitalisme responsable n’est pas exempt de paradoxes et pourrait conduire à reproduire des inégalités socioculturelles.
Pour le gouvernement Trudeau, il serait possible de lutter contre le réchauffement climatique tout en exploitant le pétrole tiré des sables bitumineux, d’en développer la production et de l’exporter sur les divers marchés internationaux. Voilà la politique que ce gouvernement défend et qui se concrétise par le soutien à l’expansion de l’exploration et de l’exploitation des hydrocarbures.
Rencontre avec les collapsologues Raphaël Stevens et Pablo Servigne, à l'occasion de la sortie de l'ouvrage collectif Aux origines de la catastrophe (Les Liens qui libèrent, 2020), qui remonte loin dans le temps pour identifier les raisons qui expliquent l'état du monde actuel.
Usbek & Rica les avait interviewés en mai 2020 pour discuter de l’initiative « Closing worlds ». Alexandre Monnin, Emmanuel Bonnet et Diego Landivar publient aujourd’hui Héritage et Fermeture (Divergences, 2021), un essai qui donne à voir les détails de leurs travaux, à la fois savoirs et pratiques, destinés à démanteler le capitalisme, « dépourvu de sens face à l’Anthropocène ».
Il n’est pas trop tard pour aller vers la décroissance, selon l’économiste Timothée Parrique. Cela suppose de changer tout notre système capitaliste.
Le capitalisme est souvent considéré comme le responsable principal de la crise écologique. Il n’est pas facile de définir ce qu’est le capitalisme ; en revanche on peut affirmer qu’une entreprise capitaliste se doit de faire fructifier et rémunérer le capital[1] qui lui est apporté. Cette exigence de rémunération, si elle est trop élevée, peut faire obstacle à la transition écologique et à la nécessaire adaptation au changement climatique.
Depuis plus d’un an, la «dernière génération» bloque des routes très fréquentées en Allemagne, notamment à Berlin. Alors qu’au début de 2022, ils n’étaient que 30 militant·e·s à se joindre aux blocages de rues, ils sont désormais plus de 800, selon leurs propres dires, à s’être inscrits pour participer à la plus grande vague de protestation jamais vue à Berlin. Ils ne se laissent pas non plus décourager par les peines de prison de plusieurs mois auxquelles deux activistes climatiques ont été condamnés dernièrement. Les deux hommes s’étaient collés sur une route à Heilbronn [ville du Bade-Wurtemberg] en février dernier. En raison de délits antérieurs, les peines n’ont pas été assorties d’un sursis. Beaucoup de gens se demandent: jusqu’où ira la «dernière génération»? Et quel est le but de ces actions?
Dans « Perspectives Low-Tech. Comment vivre, faire et s’organiser autrement ? » Quentin Mateus et Gauthier Roussilhe s’interrogent : la low tech peut-elle conserver son potentiel émancipateur ou est-elle condamnée à être dévoyée.
Depuis 2018, la jeune militante Léna Lazare réfléchit aux stratégies pour faire vaciller la politique néolibérale et antiécologique des macronistes. Et s’en prend aux « technosolutionnistes ». Un regard lucide et radical jamais hors sol.
Analyse des définitions possibles du capitalisme, système économique aujourd’hui dominant sur la planète, en partie responsable de la crise écologique et sociale actuelle. Pour la survie de l'humanité, Comment réformer le capitalisme ? Faut-il en sortir totalement ?
Les inondations sont de plus en plus fréquentes à Nusantara, la nouvelle capitale de l’Indonésie, sur l’île de Bornéo. Pour pallier ce problème, le gouvernement construit un barrage et un bassin de captation des eaux. Mais, selon “Koran Tempo”, ces travaux pharaoniques sont contre-productifs et ne s’attaquent pas à la source du problème.
The rapid decline of Earth’s most numerous animals is a major threat to the biosphere
À l’heure de la « transition énergétique »1, l’exploitation minière des fonds marins promet un eldorado : des milliards de tonnes de métaux, nécessaires aux technologies électriques et numériques. Une telle manne suscite de nombreuses convoitises, qui se parent des vertus du capitalisme vert. À quel prix pour l’environnement et les pays dominés de l’ordre international ?
Si l’économie politique1 s’est depuis longtemps efforcée d’expliquer l’extraordinaire plasticité et l’impressionnante résilience de l’économie capitaliste face aux crises, et l’anthropologie culturelle de dévoiler les croyances fondamentales de notre modernité prétendument débarrassée de toute forme de superstition et de pensée magique, les ouvrages qui tentent de bâtir des ponts entre ces deux disciplines sont plus rares. C’est le projet d’Alf Hornborg, professeur d’anthropologie culturelle et d’écologie humaine à l’Université de Lund.
Secoué par des crises de plus en plus profondes et inscrites dans sa logique même, le capitalisme ne cesse de nous surprendre à la fois par son absurdité et par sa capacité à perdurer. Comment expliquer la persistance de l'aliénation dans nos sociétés, si ce n'est par une " fixation " collective sur une logique destructrice ? Et comment y remédier ? Prolongeant les analyses existentielles amorcées dans sa Critique de l'existence capitaliste, Christian Arnsperger répond ici à l'une des questions les plus difficiles de notre époque : pourquoi sommes-nous de plus en plus nombreux à ressentir qu'un avenir post-capitaliste est une perspective à la fois nécessaire et inquiétante ? Au point que nos dirigeants politiques, cooptés dans ce qu'il faut bien appeler une pseudo-démocratie capitaliste, ne parviennent à utiliser les rouages de l'Etat providence que pour renforcer, encore et encore, l'emprise de ce système sur nos corps, nos âmes et nos esprits. La réponse, nous dit l'auteur. se situera dans un vér
Les sociétés humaines, qui n’existeraient pas sans l’apport de l’énergie solaire, sont soumises aux lois de la Physique. En particulier la Thermodynamique apporte un éclairage singulier sur l’évolution de l’humanité des chasseurs-cueilleurs à nos jours et donne des clés pour appréhender le futur.
Le politiste Edouard Morena publie aux éditions La Découverte Fin du monde et petits fours, une enquête foisonnante sur les (riches) promoteurs du « capitalisme vert », qu’il analyse comme un « projet politique taillé sur mesure pour garantir les intérêts de classe [des élites] dans un monde en surchauffe ». Entretien.
Comme l’affirment Legault, Theurillat-Cloutier et Savard dans Pour une écologie du 99 %[3], nous avons de bonnes raisons de croire que le capitalisme est incompatible avec la préservation de la vie humaine sur terre. Il convient d’abord de montrer les limites des solutions qui passent, notamment, par un marché du carbone et insister plutôt sur l’importance d’une véritable démocratisation de l’économie. Pour ce faire, il faudra délaisser la théorie des jeux et les autres théories économiques qui ne remettent pas en cause les fondements de l’ordre destructeur du monde.
Un manifeste pour lutter contre la barbarie des métropoles ! - La métropolisation implique une expansion urbaine incessante et l’accélération des flux et des rythmes de vie. Elle transforme les villes en véritables firmes entrepreneuriales conçues pour peser dans la compétition urbaine planétaire. Ce livre, fruit de vingt-cinq ans de recherche et d’engagement sur le terrain, nous montre comment ces villes génèrent exclusion économique, ségrégation spatiale et souffrance sociale, tout en alimentant la crise écologique. Fers de lance de la start-up nation et pivots de l’organisation territoriale moderne, les métropoles concentrent tous les pouvoirs et dictent leurs lois. Mais l’auteur brosse aussi le portrait d’une nouvelle société qui émerge hors des grandes villes, un possible plus réjouissant, décroissant et fertile. Dépassant la simple analyse critique, ce livre donne à voir la multitude et la force des résistances à l’extension sans fin du capitalisme dans nos vies, loin des métropoles barbares.
Marche sans revendication offensive, controverse stérile sur un hypothétique référendum, discussion au Sénat d’une loi vide de sens : on n’a jamais autant parlé de climat pour en dire si peu. Face au travail de sape institutionnel, le mouvement climat apparaît en panne de stratégie.
Chercheur en sciences politiques à l'Université de Liège, François Gemenne enseigne également à Sciences Po et à l'Université libre de Bruxelles. Il est spécialiste des migrations et des enjeux climatiques. Il publie un nouvel ouvrage intitulé "L’écologie n’est pas un consensus. Dépasser l’indignation" (Fayard). Il fait le bilan de cette année 2022 tout en considérant les défis majeurs qui seront, selon lui, ceux de 2023.
Récemment, le dernier rapport du GIEC nous donnait trois ans pour inverser notre courbe d’émissions de dioxyde de carbone pour limiter le réchauffement climatique à un niveau acceptable d’ici la fin du siècle. De même, les niveaux de pollutions atteints dans l’ensemble des écosystèmes ainsi que la baisse rapide de la biodiversité obligent à agir rapidement. Pourtant, la régulation des rapports économiques avec l’environnement nécessite de dresser un constat clair des causes de sa dégradation généralisée. Où faut-il les chercher ?

2022

L’ampleur du désastre climatique et écologique est telle qu’il est aberrant, et même criminel, de laisser croire qu’on pourrait en sortir grâce à quelques gestes individuels, tels qu’éteindre les lumières en sortant d’une pièce ou manger moins de viande. Pour importants que puissent être les changements personnels, l’échelle des enjeux est tout autre et concerne en grande partie des systèmes de production, de transport et d’énergie qui ne sont pas à la main des individus.
Philosophe et économiste français, Frédéric Lordon est certainement l’un des penseurs les plus importants de la gauche contemporaine. Il est chercheur au Centre de sociologie européenne (CSE)1,2,3 et est directeur de recherche à la section 35 du CNRS. A travers ses écrits il démontre la nécessité de sortir du capitalisme, mais surtout d’imaginer un système économique, écologique et socialement soutenable. Il s’appuie sur les propositions du sociologue Bernard Friot de “salaire à vie” et de caisses économiques pour proposer un projet qui révolutionne la manière de rémunérer les travailleuses et travailleurs et les droits de propriété dans l’économie. Il y ajoute aussi des réflexions stimulantes sur la transition vers ce qu’il n’hésite pas à nommer le “communisme”.
Réchauffement climatique, déforestation, disparition des espèces, chacun s’alarme des catastrophes écologiques présentes ou à venir mais peu remettent en cause le système qui les a provoquées : le capitalisme. John Bellamy Foster et Brett Clark explorent les œuvres de Marx et Engels afin d’élaborer une écologie politique matérialiste et dialectique. Cette approche originale alliant l’histoire, l’économie, la science et la politique déploie la question environnementale dans toute sa variété allant de l’agriculture à la maltraitance animale, en passant par l’alimentation et l’éco-impérialisme. Leur critique à la fois féroce et méticuleuse vise non seulement le néolibéralisme mais aussi l’écologie réformiste qui s’accommode également de l’ordre capitaliste bourgeois. Dévoilant le lien entre dégradation écologique et domination sociale ils posent les bases d’une lutte révolutionnaire où l’émancipation implique la fin d’une doub
Le marxisme est-il l’avenir de l’écologie politique ? Si cette question surprendra ceux qui découvrent le courant écosocialiste, les autres y reconnaîtront l’orientation fondamentale du travail de John Bellamy Foster : voir dans le mode de production capitaliste la cause principale de la destruction de la nature aussi bien que des vies humaines, et ramener à Marx les luttes écologistes de la gauche contemporaine. Avec Brett Clark, lui aussi professeur de sociologie aux États-Unis, ils proposent ainsi dans Le pillage de la nature un parcours qui va des études consacrées par Marx aux effets du capitalisme sur les terres agricoles,...
Ce titre provocateur exagère à peine la teneur du discours, martelé par la droite, que la technologie va nous sauver de la crise écologique. Objection ! La technologie sans la sobriété ne résoudra fondamentalement rien.
Bruxelles s'apprêterait à valider cette mesure emblématique de la loi climat. Ainsi, les vols intérieurs en cas d'alternative en train de moins de 2h30 ne pourront plus se faire en avion.
L’assemblée citoyenne pérenne fraîchement créée par la Région bruxelloise n’est pas un dispositif qui associe les citoyens à la politique climatique, et encore moins le premier à le faire. C’est une institution qui établit une nouvelle forme de représentation : par tirage au sort, plutôt que par l’élection. Mais les citoyens ne seront pas plus associés qu’avant aux politiques menées.
La 27e Conférence des parties à la Convention cadre des Nations unies sur le changement climatique commence à Charm-el-Cheikh, en Egypte. Elle est sponsorisée massivement par des multinationales (qui mettent la planète à sac) et organisée par la dictature du général Sissi (qui emprisonne les activistes). La crédibilité de cette COP est nulle.
L’agence américaine chargée de la sécurité alimentaire a pour la première fois donné le feu vert pour la commercialisation de viande cultivée en laboratoire.
Alors que les impératifs de sobriété et de décarbonation se font de plus en plus pressants, les pays restent dans leur immense majorité extrêmement dépendants des ressources fossiles, dont la combustion à l’échelle mondiale aggrave et accélère la crise climatique. Dans « L’Emballement du monde », qui vient de paraître aux éditions Écosociété, l’ingénieur et économiste Victor Court propose d’explorer les liens historiques entre énergie et domination au sein des sociétés humaines. L’extrait que nous vous proposons ci-dessous se consacre plus particulièrement à l’examen critique du concept de « Capitalocène », proposé par le chercheur et militant suédois Andreas Malm, pour identifier les responsables du réchauffement climatique.
Une carte blanche de Bruno Colmant, Docteur en Économie appliquée, Expert-comptable, Membre de l’Académie Royale de Belgique.
The current energy transition is powered by the realization that avoiding the catastrophic effects of climate change requires a reduction in greenhouse gas emissions. This infographic provides historical context for the ongoing shift away from fossil fuels using data from Our World in Data and scientist Vaclav Smil.
Les écoles seront fermées à partir de samedi à New Delhi en raison du niveau "dangereux" de pollution atmosphérique provoquée par des brûlis agricoles dans le Nord de l'Inde, s'ajoutant aux émissions industrielles et routières, ont annoncé vendredi les autorités.