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Micro-particules, additifs chimiques, enchevêtrements de déchets… la présence massive du plastique dans les océans a de nombreux effets sur les milieux marins. Si les scientifiques n’en mesurent pas encore tous les ravages, des solutions pourraient déjà être appliquées.
Faut-il mettre la forêt sous cloche pour la conserver ? Déplacer des populations pour créer des aires protégées ? Interdire certaines pratiques traditionnelles de chasse ou de culture sur des terres coutumières ? Armer des écogardes pour faire respecter les règles ? Si la sanctuarisation d’espaces naturels est envisagée comme rempart à la sixième extinction de masse du vivant, elle n’est pas sans poser des questions complexes. Les zones riches en biodiversité, susceptibles d’obtenir un statut spécial de protection, sont précisément celles où vivent des peuples autochtones. Pourtant, cette relation millénaire continue de faire l’objet de vives discussions.
L’Organisation des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO) estime la perte nette de forêts à 178 millions d’hectares depuis 1990. Si le rythme de déforestation a ralenti sur la décennie 1990-2000, 10 millions d’hectares de forêt ont disparu chaque année entre 2015 et 2020. Cette tendance menace de nombreuses espèces végétales et animales et pèse fortement dans la lutte contre le réchauffement climatique.


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Résultats pour:
Aurélie Darbouret

décembre 2021

Micro-particules, additifs chimiques, enchevêtrements de déchets… la présence massive du plastique dans les océans a de nombreux effets sur les milieux marins. Si les scientifiques n’en mesurent pas encore tous les ravages, des solutions pourraient déjà être appliquées.

juin 2021

Faut-il mettre la forêt sous cloche pour la conserver ? Déplacer des populations pour créer des aires protégées ? Interdire certaines pratiques traditionnelles de chasse ou de culture sur des terres coutumières ? Armer des écogardes pour faire respecter les règles ? Si la sanctuarisation d’espaces naturels est envisagée comme rempart à la sixième extinction de masse du vivant, elle n’est pas sans poser des questions complexes. Les zones riches en biodiversité, susceptibles d’obtenir un statut spécial de protection, sont précisément celles où vivent des peuples autochtones. Pourtant, cette relation millénaire continue de faire l’objet de vives discussions.
L’Organisation des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO) estime la perte nette de forêts à 178 millions d’hectares depuis 1990. Si le rythme de déforestation a ralenti sur la décennie 1990-2000, 10 millions d’hectares de forêt ont disparu chaque année entre 2015 et 2020. Cette tendance menace de nombreuses espèces végétales et animales et pèse fortement dans la lutte contre le réchauffement climatique.