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Le ministre fédéral de l'Agriculture a pris sa décision concernant la vaccination contre différents sérotypes de la fièvre catarrhale ovine, ou "maladie de la langue bleue". Elle sera obligatoire en 2025 pour les cheptels bovins et ovins, mais le coût des vaccins restera à charge des éleveurs, annonce David Clarinval mercredi.
Sans regard critique, les slogans et mots nouveaux qui rythment les débats sur la transition peuvent perdre de leur sens, voire avoir un effet délétère.
Le virus de la fièvre catarrhale a été détecté dans 3586 endroits en Belgique, rapporte l’Agence fédérale pour la sécurité de la chaîne alimentaire (Afsca) jeudi dans un nouveau bilan. Selon l’organisation, le pic est toutefois passé car elle constate une baisse du nombre de cadavres récupérés.
Le cheptel ovin adulte en France comptait 5 millions de têtes, selon une étude de l’Interbev, publiée en 2023. Devant l’ampleur des pertes, le premier syndicat agricole réclame un accès accéléré aux vaccins et des indemnisations.
La fièvre catarrhale ovine ou maladie de la langue bleue touche tous les ruminants domestiques. Elle ne cesse de progresser sur notre territoire. En 5 jours 40 nouveaux foyers ont été détectés dans notre province, soit 181 foyers dénombrés en province de Luxembourg à la date du lundi 9 septembre. Le variant qui touche notre pays et les territoires voisins est virulent et fait d’importants dégâts dans les élevages.
La fièvre catarrhale, également connue sous le nom de maladie de la langue bleue, a été détectée sur 1192 sites en Belgique, a indiqué lundi l'Agence fédérale pour la sécurité de la chaîne alimentaire (Afsca). Le virus progresse également chez les animaux de compagnie tels que les alpagas. Cela peut expliquer cette hausse assez conséquente par rapport à la semaine dernière, lorsque 874 cas avaient été recensés.
La vaccination contre cette maladie – non transmissible à l’homme et dont un nouveau sérotype (3) est apparu le 5 août en France – a débuté, mais trop tardivement, selon la Fédération nationale ovine (FNO).
La fièvre catarrhale, également connue sous le nom de maladie de la langue bleue, a été détectée sur 874 sites en Belgique, selon les chiffres de l'Agence fédérale pour la sécurité de la chaîne alimentaire (Afsca) communiqués mardi. Il s'agit d'une forte hausse par rapport à la semaine dernière lorsque 501 foyers avaient été comptabilisés.
Quarante-et-un foyers d'un nouveau type de fièvre catarrhale ovine (FCO), aussi appelée "maladie de la langue bleue", étaient confirmés au 14 août dans six départements du nord de la France, a indiqué vendredi le ministère de l'Agriculture.
Le ministre fédéral de l'Agriculture et des Indépendants David Clarinval (MR) a proposé de reconnaître l'élevage bovin et ovin comme secteurs en crise en raison de l'épidémie de fièvre catarrhale (ou maladie de la langue bleue) qui touche des centaines d'élevages en Belgique
« Il y a une véritable vague qui déferle depuis le début de juillet dans les exploitations avec des animaux sensibles », a fait savoir le Friedrich-Loeffler-Institut, l’institut fédéral de recherche sur la santé animale allemand.
La fièvre catarrhale continue à se répandre dans les fermes de Belgique puisque le nombre d'élevages atteints, des exploitations bovines et ovines principalement, a dépassé les 500.
La fièvre catarrhale ou maladie de la langue bleue est en pleine expansion dans notre pays. Elle touche les ruminants (principalement les bovins et les ovins, mais aussi les caprins). Le 1er août dernier, l’Afsca recensait 87 foyers. Aujourd’hui, Kathy Brison, porte-parole de l’Afsca, cite le chiffre de 308 foyers. Elle explique : " C’est lié aux conditions météorologiques. Les insectes prolifèrent. Ils sont les vecteurs de la maladie virale ".
Cette affection, également nommée « maladie de la langue bleue », passe d’un ruminant infecté à un animal sain par l’intermédiaire d’insectes. Elle n’est pas transmissible à l’être humain, et ne nécessite pas l’euthanasie des animaux malades.
Un premier foyer en France de fièvre catarrhale ovine pouvant être mortelle pour les moutons a été confirmé dans un élevage ovin de Marpent (Nord), a annoncé ce mercredi 7 août la préfecture du Nord.


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octobre 2024

Le ministre fédéral de l'Agriculture a pris sa décision concernant la vaccination contre différents sérotypes de la fièvre catarrhale ovine, ou "maladie de la langue bleue". Elle sera obligatoire en 2025 pour les cheptels bovins et ovins, mais le coût des vaccins restera à charge des éleveurs, annonce David Clarinval mercredi.

septembre 2024

Sans regard critique, les slogans et mots nouveaux qui rythment les débats sur la transition peuvent perdre de leur sens, voire avoir un effet délétère.
Le virus de la fièvre catarrhale a été détecté dans 3586 endroits en Belgique, rapporte l’Agence fédérale pour la sécurité de la chaîne alimentaire (Afsca) jeudi dans un nouveau bilan. Selon l’organisation, le pic est toutefois passé car elle constate une baisse du nombre de cadavres récupérés.
Le cheptel ovin adulte en France comptait 5 millions de têtes, selon une étude de l’Interbev, publiée en 2023. Devant l’ampleur des pertes, le premier syndicat agricole réclame un accès accéléré aux vaccins et des indemnisations.
La fièvre catarrhale ovine ou maladie de la langue bleue touche tous les ruminants domestiques. Elle ne cesse de progresser sur notre territoire. En 5 jours 40 nouveaux foyers ont été détectés dans notre province, soit 181 foyers dénombrés en province de Luxembourg à la date du lundi 9 septembre. Le variant qui touche notre pays et les territoires voisins est virulent et fait d’importants dégâts dans les élevages.

août 2024

La fièvre catarrhale, également connue sous le nom de maladie de la langue bleue, a été détectée sur 1192 sites en Belgique, a indiqué lundi l'Agence fédérale pour la sécurité de la chaîne alimentaire (Afsca). Le virus progresse également chez les animaux de compagnie tels que les alpagas. Cela peut expliquer cette hausse assez conséquente par rapport à la semaine dernière, lorsque 874 cas avaient été recensés.
La vaccination contre cette maladie – non transmissible à l’homme et dont un nouveau sérotype (3) est apparu le 5 août en France – a débuté, mais trop tardivement, selon la Fédération nationale ovine (FNO).
La fièvre catarrhale, également connue sous le nom de maladie de la langue bleue, a été détectée sur 874 sites en Belgique, selon les chiffres de l'Agence fédérale pour la sécurité de la chaîne alimentaire (Afsca) communiqués mardi. Il s'agit d'une forte hausse par rapport à la semaine dernière lorsque 501 foyers avaient été comptabilisés.
Quarante-et-un foyers d'un nouveau type de fièvre catarrhale ovine (FCO), aussi appelée "maladie de la langue bleue", étaient confirmés au 14 août dans six départements du nord de la France, a indiqué vendredi le ministère de l'Agriculture.
Le ministre fédéral de l'Agriculture et des Indépendants David Clarinval (MR) a proposé de reconnaître l'élevage bovin et ovin comme secteurs en crise en raison de l'épidémie de fièvre catarrhale (ou maladie de la langue bleue) qui touche des centaines d'élevages en Belgique
« Il y a une véritable vague qui déferle depuis le début de juillet dans les exploitations avec des animaux sensibles », a fait savoir le Friedrich-Loeffler-Institut, l’institut fédéral de recherche sur la santé animale allemand.
La fièvre catarrhale continue à se répandre dans les fermes de Belgique puisque le nombre d'élevages atteints, des exploitations bovines et ovines principalement, a dépassé les 500.
La fièvre catarrhale ou maladie de la langue bleue est en pleine expansion dans notre pays. Elle touche les ruminants (principalement les bovins et les ovins, mais aussi les caprins). Le 1er août dernier, l’Afsca recensait 87 foyers. Aujourd’hui, Kathy Brison, porte-parole de l’Afsca, cite le chiffre de 308 foyers. Elle explique : " C’est lié aux conditions météorologiques. Les insectes prolifèrent. Ils sont les vecteurs de la maladie virale ".
Cette affection, également nommée « maladie de la langue bleue », passe d’un ruminant infecté à un animal sain par l’intermédiaire d’insectes. Elle n’est pas transmissible à l’être humain, et ne nécessite pas l’euthanasie des animaux malades.
Un premier foyer en France de fièvre catarrhale ovine pouvant être mortelle pour les moutons a été confirmé dans un élevage ovin de Marpent (Nord), a annoncé ce mercredi 7 août la préfecture du Nord.