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Dans ce troisième volet du 6e rapport d’évaluation dédié à l’atténuation du changement climatique, les experts du GIEC plaident pour une réduction immédiate des émissions dans tous les secteurs et proposent des solutions et actions pour limiter le réchauffement planétaire à 1,5 °C... ou au moins à 2,0 degrés par rapport à l'ère préindustrielle (1850).
Clôturant la trilogie ouverte en août 2021 – avec son rapport sur la « science du changement climatique »(1) suivi en mars 2022 par celui sur les « impacts et adaptation »(2) –, le GIEC (Groupement intergouvernemental sur l’étude du climat) a rendu public ce lundi 4 avril 2022 son nouveau rapport sur l’« atténuation »(3). Initiée en 2018, cette somme signée par 278 scientifiques du monde entier dresse l’état des connaissances scientifiques sur les options de réduction des émissions (« l’atténuation » du titre) de gaz à effet de serre.
4 avril. Le GIEC publie aujourd’hui la troisième partie de son 6ème rapport de synthèse. Après avoir souligné les conséquences désastreuses du dérèglement climatique, ce nouveau chapitre montre comment nous pouvons éviter le pire et changer le cours des choses. Aujourd'hui, nous disposons des connaissances, des ressources et du soutien nécessaires pour inverser la tendance.
Que nous raconte le dernier volet du rapport du GIEC du groupe 3 ? Nous te résumons ici l'essentiel de 3000 pages avec des invités de luxe et le tout comme d'habitude rendu à la sauce LIMIT !
Synthèse vulgarisée du résumé aux décideurs du groupe de travail III de l’AR6
La Belgique doit prendre ses responsabilités en matière de réchauffement climatique en mettant en place un plan d'action qui permettra d'éviter le recours aux technologies polluantes tout en favorisant une réduction de la consommation d'énergie et une utilisation maximale des énergies renouvelables, demande mardi la Coalition Climat, en réaction au nouveau rapport du Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat (Giec).
Qualifiant "d'accablant" le nouveau rapport du Giec, le secrétaire général de l'Onu, Antonio Guterres, a dénoncé lundi les mensonges de "certains gouvernements et responsables d'entreprises" en matière de lutte contre le changement climatique. "La science nous explique que ce sera le résultat de nos politiques énergétiques actuelles", a-t-il poursuivi, accusant " des pays et entreprises gros émetteurs (de gaz à effet de serre) de ne pas seulement détourner les yeux, mais de mettre de l'huile sur le feu". "Ils étouffent notre planète, au nom de leurs intérêts acquis et de leurs investissements historiques dans les énergies fossiles, alors que des solutions renouvelables moins chères offrent des emplois verts, la sécurité énergétique et une plus grande stabilité des prix."
Très attendu, le dernier rapport du Giec a été approuvé dans la soirée du dimanche 3 avril, avec deux jours de retard. Portant sur les solutions, il met à la fois l'accent sur les technologies propres et sur la baisse de la demande, autrement dit sur la sobriété, en y consacrant pour la première fois tout un chapitre. Les émissions peuvent encore être réduites de moitié d'ici 2030, mais cela nécessite la mise en place d'actions au plus tard d'ici 2025.
Valérie Masson-Delmotte est paléoclimatologue. Elle est directrice de recherche au CEA et coprésidente du groupe N°1 du GIEC depuis 2015. Elle nous fait l'honneur d'échanger avec nous sur le changement climatique dans le cadre de la sortie du Rapport du Groupe 3 du GIEC.
Rapid decarbonization of energy is non-negotiable if we are to avert catastrophic global heating, says the latest UN climate report.
Le troisième volet du dernier rapport du GIEC sur le climat a été dévoilé lundi. Interrogé sur La Première, le climatologue Jean-Pascal van Ypersele pointe l’importance des changements de comportements que les citoyens peuvent décider d’adopter, surtout si ces changements sont accompagnés par les politiques, qui doivent mettre à la disposition des citoyens les moyens de le faire.
Les rapports s’enchaînent et les conclusions confirment toujours les précédents travaux scientifiques. La décennie 2020-2030 était présentée comme une décennie cruciale pour atténuer le réchauffement climatique, le dernier rapport du GIEC vient de le souligner. Il liste toutes les solutions à mettre en œuvre pour atténuer le réchauffement climatique avec un message fort : nous vivons les derniers instants possibles pour limiter les dégâts. Nous avons déjà tous les outils nécessaires, ne manque plus que la volonté politique.
Comment freiner la surchauffe de la planète et enrayer les dégâts et souffrances qu’elle inflige, tant aux humains qu’à la nature ? C’est à cette épineuse question, éminemment politique, que doit répondre le Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC), dans un nouveau rapport qui devrait être publié lundi 4 avril, à 17 heures.
The Working Group III report provides an updated global assessment of climate change mitigation progress and pledges, and examines the sources of global emissions. It explains developments in emission reduction and mitigation efforts, assessing the impact of national climate pledges in relation to long-term emissions goals.
Le Giec (Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat) publie ce lundi 4 avril le dernier volet de son rapport consacré aux moyens de faire face à l’urgence climatique. Tandis que les deux précédents volets de ce 6e rapport des experts du climat de l’ONU ont confirmé l’urgence climatique, ce nouveau rapport titré AR6 Climate Change 2022: Mitigation of Climate Change (6e rapport d’évaluation sur le changement climatique : l’atténuation du changement climatique) doit permettre aux gouvernements de trouver des solutions pour limiter le réchauffement à 2°C. Il passe en revue les possibilités existantes pour réduire les émissions de gaz à effet de serre. La sortie rapide des énergies fossiles (le pétrole et le charron), l’électrification, la décarbonation de l’économie ainsi que la capture et le stockage du carbone figurent parmi les solutions mises en avant. Le Giec constate aussi un ralentissement dans l’augmentation des émissions de gaz à effet de serre et une insuffisance des investissements.
Le dernier volet du rapport du GIEC vient de paraître. Et le moins que l’on puisse dire, c’est qu’il incite à une action urgente. Car il reste trois ans maximum pour inverser la courbe des émissions mondiales de gaz à effet de serre si l’on veut espérer limiter le changement climatique sous la barre des 1,5°C, mais aussi des 2°C.
Dans un contexte sensible de guerre en Ukraine exposant la dépendance des économies aux énergies fossiles, les experts climat de l'ONU (Giec) ont publié lundi leur éventail de scénarios pour limiter le réchauffement et ses impacts déjà dévastateurs. Selon les scientifiques, l'humanité n'a plus que trois ans pour agir pour conserver un monde "vivable".
Les promesses "creuses" entrainent la planète vers un réchauffement désastreux de 3°C mais le monde a encore une chance d'éviter le pire: transformer radicalement l'économie et faire plafonner les émissions d'ici moins de trois ans, en commençant par se désintoxiquer des énergies fossiles. Le troisième volet de la trilogie scientifique des experts climat de l'ONU (Giec) publié lundi ne laisse pas de place au doute: "C'est maintenant ou jamais", résume Jim Skea, coprésident du groupe ayant produit cet opus de près de 3.000 pages.
Le nouveau rapport des experts climat de l'ONU (Giec), publié lundi, se penche sur la réduction des émissions responsables du réchauffement climatique dont les effets catastrophiques se font déjà sentir à travers le monde. Le réchauffement par rapport à l'ère préindustrielle a déjà atteint 1,1°C, alors que l'Accord de Paris de 2015 fixe comme objectif de le contenir nettement en dessous de 2°C et si possible 1,5°C. Voici les points clés de ce rapport long de quelque 2 800 pages, qui représente le consensus scientifique mondial le plus à jour sur ces questions.
Après le rapport du Groupe de travail I (WGI) et le 2e sorti en février 2022, le 3e et dernier rapport est enfin sorti !
Dans un nouveau rapport, le Giec dresse un sombre état des lieux de nos efforts pour atténuer nos émissions de gaz à effet de serre. Il dévoile toutefois un itinéraire clair pour y parvenir, notamment avec les renouvelables.
Julia Steinberger, auteure principale du rapport GIEC, commente les enjeux climatiques mis en avant dans son rapport
The Intergovernmental Panel on Climate Change (IPCC), made up of the world’s leading climate scientists, has now published all three sections of its landmark comprehensive review of climate science.
Jusque là écartée par les experts du climat, la captation du carbone dans l'air apparait maintenant comme l'une des solutions pour limiter nos émissions de CO2.
The Working Group III report provides an updated global assessment of climate change mitigation progress and pledges, and examines the sources of global emissions. It explains developments in emission reduction and mitigation efforts, assessing the impact of national climate pledges in relation to long-term emissions goals.
Inspirés des militants d’Extinction Rebellion, les membres de Scientist Rebellion vont s’essayer à la désobéissance civile à l’occasion d’un nouveau rapport du Giec. Leurs actions vont durer toute la semaine dans vingt pays.
Le silence. Voici quatre jours que le rapport du groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (Giec) a été publié, et, malgré ses conclusions alarmantes, il n’a suscité que très peu de réactions.
Plateforme wallonne pour le GIEC - Lettre n°24 - Édition spéciale - Février 2022 - Aperçu du Résumé pour les décideurs
Le monde doit s’adapter urgemment au changement climatique, alerte le Giec dans un rapport publié le 28 février. Vagues de chaleur, perte des rendements agricoles, pénurie d’eau, inondations : les conséquences seront nombreuses, estime-t-il.
Les experts climat de l'ONU tirent de nouveau la sonnette d'alarme dans un nouveau rapport dévoilé ce lundi 28 février 2022.


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avril 2022

Dans ce troisième volet du 6e rapport d’évaluation dédié à l’atténuation du changement climatique, les experts du GIEC plaident pour une réduction immédiate des émissions dans tous les secteurs et proposent des solutions et actions pour limiter le réchauffement planétaire à 1,5 °C... ou au moins à 2,0 degrés par rapport à l'ère préindustrielle (1850).
Clôturant la trilogie ouverte en août 2021 – avec son rapport sur la « science du changement climatique »(1) suivi en mars 2022 par celui sur les « impacts et adaptation »(2) –, le GIEC (Groupement intergouvernemental sur l’étude du climat) a rendu public ce lundi 4 avril 2022 son nouveau rapport sur l’« atténuation »(3). Initiée en 2018, cette somme signée par 278 scientifiques du monde entier dresse l’état des connaissances scientifiques sur les options de réduction des émissions (« l’atténuation » du titre) de gaz à effet de serre.
4 avril. Le GIEC publie aujourd’hui la troisième partie de son 6ème rapport de synthèse. Après avoir souligné les conséquences désastreuses du dérèglement climatique, ce nouveau chapitre montre comment nous pouvons éviter le pire et changer le cours des choses. Aujourd'hui, nous disposons des connaissances, des ressources et du soutien nécessaires pour inverser la tendance.
Que nous raconte le dernier volet du rapport du GIEC du groupe 3 ? Nous te résumons ici l'essentiel de 3000 pages avec des invités de luxe et le tout comme d'habitude rendu à la sauce LIMIT !
Synthèse vulgarisée du résumé aux décideurs du groupe de travail III de l’AR6
La Belgique doit prendre ses responsabilités en matière de réchauffement climatique en mettant en place un plan d'action qui permettra d'éviter le recours aux technologies polluantes tout en favorisant une réduction de la consommation d'énergie et une utilisation maximale des énergies renouvelables, demande mardi la Coalition Climat, en réaction au nouveau rapport du Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat (Giec).
Qualifiant "d'accablant" le nouveau rapport du Giec, le secrétaire général de l'Onu, Antonio Guterres, a dénoncé lundi les mensonges de "certains gouvernements et responsables d'entreprises" en matière de lutte contre le changement climatique. "La science nous explique que ce sera le résultat de nos politiques énergétiques actuelles", a-t-il poursuivi, accusant " des pays et entreprises gros émetteurs (de gaz à effet de serre) de ne pas seulement détourner les yeux, mais de mettre de l'huile sur le feu". "Ils étouffent notre planète, au nom de leurs intérêts acquis et de leurs investissements historiques dans les énergies fossiles, alors que des solutions renouvelables moins chères offrent des emplois verts, la sécurité énergétique et une plus grande stabilité des prix."
Très attendu, le dernier rapport du Giec a été approuvé dans la soirée du dimanche 3 avril, avec deux jours de retard. Portant sur les solutions, il met à la fois l'accent sur les technologies propres et sur la baisse de la demande, autrement dit sur la sobriété, en y consacrant pour la première fois tout un chapitre. Les émissions peuvent encore être réduites de moitié d'ici 2030, mais cela nécessite la mise en place d'actions au plus tard d'ici 2025.
Valérie Masson-Delmotte est paléoclimatologue. Elle est directrice de recherche au CEA et coprésidente du groupe N°1 du GIEC depuis 2015. Elle nous fait l'honneur d'échanger avec nous sur le changement climatique dans le cadre de la sortie du Rapport du Groupe 3 du GIEC.
Rapid decarbonization of energy is non-negotiable if we are to avert catastrophic global heating, says the latest UN climate report.
Le troisième volet du dernier rapport du GIEC sur le climat a été dévoilé lundi. Interrogé sur La Première, le climatologue Jean-Pascal van Ypersele pointe l’importance des changements de comportements que les citoyens peuvent décider d’adopter, surtout si ces changements sont accompagnés par les politiques, qui doivent mettre à la disposition des citoyens les moyens de le faire.
Les rapports s’enchaînent et les conclusions confirment toujours les précédents travaux scientifiques. La décennie 2020-2030 était présentée comme une décennie cruciale pour atténuer le réchauffement climatique, le dernier rapport du GIEC vient de le souligner. Il liste toutes les solutions à mettre en œuvre pour atténuer le réchauffement climatique avec un message fort : nous vivons les derniers instants possibles pour limiter les dégâts. Nous avons déjà tous les outils nécessaires, ne manque plus que la volonté politique.
Comment freiner la surchauffe de la planète et enrayer les dégâts et souffrances qu’elle inflige, tant aux humains qu’à la nature ? C’est à cette épineuse question, éminemment politique, que doit répondre le Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC), dans un nouveau rapport qui devrait être publié lundi 4 avril, à 17 heures.
The Working Group III report provides an updated global assessment of climate change mitigation progress and pledges, and examines the sources of global emissions. It explains developments in emission reduction and mitigation efforts, assessing the impact of national climate pledges in relation to long-term emissions goals.
Le Giec (Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat) publie ce lundi 4 avril le dernier volet de son rapport consacré aux moyens de faire face à l’urgence climatique. Tandis que les deux précédents volets de ce 6e rapport des experts du climat de l’ONU ont confirmé l’urgence climatique, ce nouveau rapport titré AR6 Climate Change 2022: Mitigation of Climate Change (6e rapport d’évaluation sur le changement climatique : l’atténuation du changement climatique) doit permettre aux gouvernements de trouver des solutions pour limiter le réchauffement à 2°C. Il passe en revue les possibilités existantes pour réduire les émissions de gaz à effet de serre. La sortie rapide des énergies fossiles (le pétrole et le charron), l’électrification, la décarbonation de l’économie ainsi que la capture et le stockage du carbone figurent parmi les solutions mises en avant. Le Giec constate aussi un ralentissement dans l’augmentation des émissions de gaz à effet de serre et une insuffisance des investissements.
Le dernier volet du rapport du GIEC vient de paraître. Et le moins que l’on puisse dire, c’est qu’il incite à une action urgente. Car il reste trois ans maximum pour inverser la courbe des émissions mondiales de gaz à effet de serre si l’on veut espérer limiter le changement climatique sous la barre des 1,5°C, mais aussi des 2°C.
Dans un contexte sensible de guerre en Ukraine exposant la dépendance des économies aux énergies fossiles, les experts climat de l'ONU (Giec) ont publié lundi leur éventail de scénarios pour limiter le réchauffement et ses impacts déjà dévastateurs. Selon les scientifiques, l'humanité n'a plus que trois ans pour agir pour conserver un monde "vivable".
Les promesses "creuses" entrainent la planète vers un réchauffement désastreux de 3°C mais le monde a encore une chance d'éviter le pire: transformer radicalement l'économie et faire plafonner les émissions d'ici moins de trois ans, en commençant par se désintoxiquer des énergies fossiles. Le troisième volet de la trilogie scientifique des experts climat de l'ONU (Giec) publié lundi ne laisse pas de place au doute: "C'est maintenant ou jamais", résume Jim Skea, coprésident du groupe ayant produit cet opus de près de 3.000 pages.
Le nouveau rapport des experts climat de l'ONU (Giec), publié lundi, se penche sur la réduction des émissions responsables du réchauffement climatique dont les effets catastrophiques se font déjà sentir à travers le monde. Le réchauffement par rapport à l'ère préindustrielle a déjà atteint 1,1°C, alors que l'Accord de Paris de 2015 fixe comme objectif de le contenir nettement en dessous de 2°C et si possible 1,5°C. Voici les points clés de ce rapport long de quelque 2 800 pages, qui représente le consensus scientifique mondial le plus à jour sur ces questions.
Après le rapport du Groupe de travail I (WGI) et le 2e sorti en février 2022, le 3e et dernier rapport est enfin sorti !
Dans un nouveau rapport, le Giec dresse un sombre état des lieux de nos efforts pour atténuer nos émissions de gaz à effet de serre. Il dévoile toutefois un itinéraire clair pour y parvenir, notamment avec les renouvelables.
Julia Steinberger, auteure principale du rapport GIEC, commente les enjeux climatiques mis en avant dans son rapport
The Intergovernmental Panel on Climate Change (IPCC), made up of the world’s leading climate scientists, has now published all three sections of its landmark comprehensive review of climate science.
Jusque là écartée par les experts du climat, la captation du carbone dans l'air apparait maintenant comme l'une des solutions pour limiter nos émissions de CO2.
The Working Group III report provides an updated global assessment of climate change mitigation progress and pledges, and examines the sources of global emissions. It explains developments in emission reduction and mitigation efforts, assessing the impact of national climate pledges in relation to long-term emissions goals.
Inspirés des militants d’Extinction Rebellion, les membres de Scientist Rebellion vont s’essayer à la désobéissance civile à l’occasion d’un nouveau rapport du Giec. Leurs actions vont durer toute la semaine dans vingt pays.

mars 2022

Le silence. Voici quatre jours que le rapport du groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (Giec) a été publié, et, malgré ses conclusions alarmantes, il n’a suscité que très peu de réactions.
Plateforme wallonne pour le GIEC - Lettre n°24 - Édition spéciale - Février 2022 - Aperçu du Résumé pour les décideurs
Le monde doit s’adapter urgemment au changement climatique, alerte le Giec dans un rapport publié le 28 février. Vagues de chaleur, perte des rendements agricoles, pénurie d’eau, inondations : les conséquences seront nombreuses, estime-t-il.

février 2022

Les experts climat de l'ONU tirent de nouveau la sonnette d'alarme dans un nouveau rapport dévoilé ce lundi 28 février 2022.