Veille 2.1

OA - Liste OA - Liste

Sélection du moment:

Le retour au pouvoir du président Lula change-t-il la donne dans les pratiques de l’agro-industrie ? L.M.B. : Pour l’instant, non. On peut néanmoins citer
«Nous allons faire ça autrement», a affirmé le porte-parole de l’armée israélienne samedi 6 janvier, après que le Premier ministre Nétanyahou a rappelé sa volonté de poursuivre la guerre jusqu’à ce que «Gaza ne soit plus une menace».
Le ministère sud-coréen de la Défense a annoncé que Pyongyang avait tiré, vendredi matin, plus de 200 obus d'artillerie au large de sa côte ouest. Par précaution, la Corée du Sud a ordonné l'évacuation des habitants des îles frontalières de Yeonpyeong et de Baengnyeong.
Une réunion cruciale sur les "pertes et dommages" climatiques avant la COP28 s'est séparée sur un constat d'échec, pays du Nord et du Sud n'étant pas parvenus à se mettre d'accord, selon des sources concordantes samedi.Un accord de principe avait été trouvé l'an dernier à la COP27 en Egypte sur la création d'un fonds pour compenser les "pertes et dommages" des nations du Sud vulnérables face au changement climatique.
Pays du Nord et du Sud peinent toujours à se mettre d'accord sur les modalités d'établissement d'un fonds pour les "pertes et dommages" climatiques, à quelques semaine de la COP28, dont le président a estimé vendredi qu'une absence de progrès sur cette question ne serait "pas acceptable".Un accord de principe avait été trouvé l'an dernier à la COP27 en Egypte sur la création d'un fonds pour compenser les "pertes et dommages" des nations du Sud vulnérables face au changement climatique.
La rencontre organisée en marge de l’Assemblée générale a eu lieu à un peu plus de deux mois de la COP28 de Dubaï. Antonio Guterres a commencé par s’excuser. A cause d’une réunion du Conseil de sécurité des Nations unies consacrée à l’Ukraine, le secrétaire général de l’ONU ne pouvait pas assister à l’ensemble des débats du Sommet sur l’ambition climatique, mercredi 20 septembre. Mais, avant de s’éclipser, M. Guterres a tonné. Contre le « comportement honteux » de ceux qui ne respectent pas l’objectif de la neutralité carbone en 2050. Contre ceux qui préparent un « monde réchauffé de 2,8 °C ». Contre l’inaction qui pousse l’humanité aux « portes de l’enfer ». « L’avenir n’est pas écrit : c’est à vous, les dirigeants, de l’écrire », a-t-il ajouté, sonnant la mobilisation générale.
Une large partie sud et est du pays enregistre encore des températures très élevées, avec 17 départements en alerte rouge ce jeudi 24 août. Une vingtaine d’autres sont en vigilance orange en raison des orages.
Pour Olivier De Schutter, rapporteur spécial des Nations unies sur les droits de l’homme et l’extrême pauvreté, nos pays avancés produisent assez de richesses ; l’enjeu est de mieux les répartir.
Les grands argentiers du G20 se sont attaqué mardi à la réforme fiscale et aux bailleurs multilatéraux, sans grand progrès sur la restructuration de la dette, tandis que la Banque mondiale s'est alarmée du fossé qui se creuse entre pays riches et pays pauvres.
De nombreux pays d’Asie, d’Europe et d’Amérique du Nord subiront une chaleur étouffante : plus de 40 °C en Italie, des régions d’Espagne à 15 °C au-dessus des normales, des records attendus aux Etats-Unis. En France, sept départements sont en vigilance orange.
Une cinquantaine de chefs d'État, des représentants d'institutions internationales et de la société civile se réunissent à Paris jeudi et vendredi à l'initiative d'Emmanuel Macron. Leur objectif : imaginer un nouveau système financier mondial pour mieux armer les États les plus vulnérables contre le dérèglement climatique et la pauvreté.
Au sommet de Bonn sur le climat, clôt le 15 juin, les négociations ont patiné, dit Gaïa Febvre, du Réseau Action Climat. En effet, « les pays riches rechignent à assumer leur responsabilité historique dans la crise climatique ».
Fréquent en saison chaude, ce phénomène météorologique, propice à la formation d’orages, touche actuellement le sud de la France.
Le terme a brusquement jailli dans les débats d’actualité à la faveur de l’abstention d’une quarantaine d’Etats du Sud dans les votes de l’Assemblée générale de l’ONU condamnant l’agression russe en Ukraine, en 2022.
Dans sa décision finale, la COP27 ouvre la perspective d'un élargissement des transferts financiers des pays riches vers les pays les moins développés économiquement. Une réelle avancée.
Dans une tribune au « Monde », le secrétaire général de l’Organisation des Nations unies exhorte les pays développés à prendre des mesures pour « combler le gouffre » des inégalités mondiales, lors de la COP27 en Egypte et du sommet du G20 à Bali.
Le continent paie déjà cher les conséquences d’une crise climatique dont il n’est pas responsable. Lors de la Conférence mondiale en Egypte, du 6 au 18 novembre, les pays africains comptent réclamer une transition énergétique juste avec comme priorité l’accès à l’électricité pour 600 millions de personnes qui en sont encore privées.
This full length briefing explains what Non-Economic Loss and Damage (NELD) is, why and how it happens, where it happens, who is most affected, and importantly how it can be addressed. Featuring case studies from both the Global North and South, the brief captures the latest thinking on NELD all in one place whilst acting as an accessible introduction for those new to the topic.
Le secrétaire général des Nations unies António Guterres a accordé au quotidien britannique “The Guardian” un entretien exclusif en marge du sommet mondial sur les océans à Lisbonne. Il y exprime sa très vive inquiétude face à une situation mondiale où “tout concourt” à creuser les inégalités.
After all, Western economies – and their economic growth – depend utterly on labour and resources from the South...
l’idée de « responsabilités communes mais différenciées » fut discutée et adoptée en tant que principe par la communauté internationale au Sommet de la Terre à Rio en 1992, il y a trente ans déjà. Une victoire des pays pauvres qui ont bataillé ferme pour obtenir un accord international sur sa formulation. En voici les principaux éléments : « Les États doivent coopérer (…) en vue de rétablir l’intégrité de l’écosystème terrestre. Étant donné la diversité des rôles joués dans la dégradation de l’environnement, les États ont des responsabilités communes mais différenciées. Les pays développés admettent la responsabilité qui leur incombe (…), compte tenu des pressions que leurs sociétés exercent sur l’environnement mondial, et des techniques et des ressources financières dont ils disposent. »
A mi-parcours de la COP26, les pays en développement ont fustigé lundi les engagements selon eux insuffisants des pays les plus riches, accusés de sacrifier les vies de milliards d'habitants de la planète en première ligne du réchauffement climatique.
Réunis à Glasgow pour la 26e Conférence des Nations unies pour le climat, les États-Unis, le Royaume-Uni, l’Union européenne, mais aussi la France et l’Allemagne, ont annoncé, le mardi 2 novembre, avoir conclu un accord avec Johannesburg pour soutenir la “transition énergétique juste” de l’Afrique du Sud, très dépendante du charbon.
Dans cette région du Soudan du Sud bordant le Nil, le changement climatique a déjà des effets dévastateurs. Plus ravageur que les traditionnelles crues saisonnières, un cycle d’inondations sans précédent a démarré en 2019 et continue, année après année, de noyer le nord du Jonglei ainsi que les Etats voisins d’Unité et du Haut-Nil.
Les demandes alimentaires des pays du Nord accentuent la déforestation des pays du Sud. La France est en tête du classement des pays qui provoquent des coupes d’arbres à l’autre bout du monde.
Quand elle est correctement planifiée par les gouvernements locaux ou régionaux, l’implantation du palmier à huile se traduit le plus souvent par un fort développement économique dans les régions concernées et une importante réduction de la pauvreté rurale. Quels pays assurent la production ? Qui sont les pays consommateurs ? Quels sont les usages de l’huile de palme ? Quels outils de certification existent pour encadrer l’implantation du palmier à huile ?
Principaux responsables du gâchis environnemental, le productivisme et le consumérisme des grands producteurs et des gros consommateurs. Un mode d’exploitation séculaire de la nature, irresponsable, sans limites, mû par l’appât du gain et la logique de l’accumulation. Les pollueurs majeurs tardent à passer à la caisse, tandis que les secteurs populaires et les pays non industrialisés en font les frais. Les concepts d’éco-impérialisme, de justice verte, d’écologie décoloniale convoqués par les mouvements qui, en Afrique, en Amérique latine et en Asie, à rebours des opinions publiques, se mobilisent sur des enjeux environnementaux, apportent des réponses.
L’ampleur du désastre écologique, chiffrée à l’envi, sidère. Scientifiques et militants auront mis cinquante ans à agiter les consciences, avant que l’évidence s’impose. Ses causes sont connues, enfin admises. Ou presque. Principaux responsables du gâchis environnemental, le productivisme et le consumérisme des grands producteurs et des gros consommateurs. Un mode d’exploitation séculaire de la nature, irresponsable, sans limites, mû par l’appât du gain et la logique de l’accumulation. Dont les effets délétères s’accélèrent et réactualisent la sentence de Hugo – « c’est de l’enfer des pauvres qu’est fait le paradis des riches » –, la vulnérabilité des premiers étant sans commune mesure avec celle des seconds. Les pollueurs majeurs tardent à passer à la caisse, tandis que les secteurs populaires et les pays non industrialisés en font les frais.


Langue(3/3)
Médias(8/8)
Résultats pour:
nord sud

février 2024

Le retour au pouvoir du président Lula change-t-il la donne dans les pratiques de l’agro-industrie ? L.M.B. : Pour l’instant, non. On peut néanmoins citer

janvier 2024

«Nous allons faire ça autrement», a affirmé le porte-parole de l’armée israélienne samedi 6 janvier, après que le Premier ministre Nétanyahou a rappelé sa volonté de poursuivre la guerre jusqu’à ce que «Gaza ne soit plus une menace».
Le ministère sud-coréen de la Défense a annoncé que Pyongyang avait tiré, vendredi matin, plus de 200 obus d'artillerie au large de sa côte ouest. Par précaution, la Corée du Sud a ordonné l'évacuation des habitants des îles frontalières de Yeonpyeong et de Baengnyeong.

octobre 2023

Une réunion cruciale sur les "pertes et dommages" climatiques avant la COP28 s'est séparée sur un constat d'échec, pays du Nord et du Sud n'étant pas parvenus à se mettre d'accord, selon des sources concordantes samedi.Un accord de principe avait été trouvé l'an dernier à la COP27 en Egypte sur la création d'un fonds pour compenser les "pertes et dommages" des nations du Sud vulnérables face au changement climatique.
Pays du Nord et du Sud peinent toujours à se mettre d'accord sur les modalités d'établissement d'un fonds pour les "pertes et dommages" climatiques, à quelques semaine de la COP28, dont le président a estimé vendredi qu'une absence de progrès sur cette question ne serait "pas acceptable".Un accord de principe avait été trouvé l'an dernier à la COP27 en Egypte sur la création d'un fonds pour compenser les "pertes et dommages" des nations du Sud vulnérables face au changement climatique.

septembre 2023

La rencontre organisée en marge de l’Assemblée générale a eu lieu à un peu plus de deux mois de la COP28 de Dubaï. Antonio Guterres a commencé par s’excuser. A cause d’une réunion du Conseil de sécurité des Nations unies consacrée à l’Ukraine, le secrétaire général de l’ONU ne pouvait pas assister à l’ensemble des débats du Sommet sur l’ambition climatique, mercredi 20 septembre. Mais, avant de s’éclipser, M. Guterres a tonné. Contre le « comportement honteux » de ceux qui ne respectent pas l’objectif de la neutralité carbone en 2050. Contre ceux qui préparent un « monde réchauffé de 2,8 °C ». Contre l’inaction qui pousse l’humanité aux « portes de l’enfer ». « L’avenir n’est pas écrit : c’est à vous, les dirigeants, de l’écrire », a-t-il ajouté, sonnant la mobilisation générale.

août 2023

Une large partie sud et est du pays enregistre encore des températures très élevées, avec 17 départements en alerte rouge ce jeudi 24 août. Une vingtaine d’autres sont en vigilance orange en raison des orages.
Pour Olivier De Schutter, rapporteur spécial des Nations unies sur les droits de l’homme et l’extrême pauvreté, nos pays avancés produisent assez de richesses ; l’enjeu est de mieux les répartir.

juillet 2023

Les grands argentiers du G20 se sont attaqué mardi à la réforme fiscale et aux bailleurs multilatéraux, sans grand progrès sur la restructuration de la dette, tandis que la Banque mondiale s'est alarmée du fossé qui se creuse entre pays riches et pays pauvres.
De nombreux pays d’Asie, d’Europe et d’Amérique du Nord subiront une chaleur étouffante : plus de 40 °C en Italie, des régions d’Espagne à 15 °C au-dessus des normales, des records attendus aux Etats-Unis. En France, sept départements sont en vigilance orange.

juin 2023

Une cinquantaine de chefs d'État, des représentants d'institutions internationales et de la société civile se réunissent à Paris jeudi et vendredi à l'initiative d'Emmanuel Macron. Leur objectif : imaginer un nouveau système financier mondial pour mieux armer les États les plus vulnérables contre le dérèglement climatique et la pauvreté.
Au sommet de Bonn sur le climat, clôt le 15 juin, les négociations ont patiné, dit Gaïa Febvre, du Réseau Action Climat. En effet, « les pays riches rechignent à assumer leur responsabilité historique dans la crise climatique ».
Fréquent en saison chaude, ce phénomène météorologique, propice à la formation d’orages, touche actuellement le sud de la France.

février 2023

Le terme a brusquement jailli dans les débats d’actualité à la faveur de l’abstention d’une quarantaine d’Etats du Sud dans les votes de l’Assemblée générale de l’ONU condamnant l’agression russe en Ukraine, en 2022.

novembre 2022

Dans sa décision finale, la COP27 ouvre la perspective d'un élargissement des transferts financiers des pays riches vers les pays les moins développés économiquement. Une réelle avancée.
Dans une tribune au « Monde », le secrétaire général de l’Organisation des Nations unies exhorte les pays développés à prendre des mesures pour « combler le gouffre » des inégalités mondiales, lors de la COP27 en Egypte et du sommet du G20 à Bali.
Le continent paie déjà cher les conséquences d’une crise climatique dont il n’est pas responsable. Lors de la Conférence mondiale en Egypte, du 6 au 18 novembre, les pays africains comptent réclamer une transition énergétique juste avec comme priorité l’accès à l’électricité pour 600 millions de personnes qui en sont encore privées.

octobre 2022

This full length briefing explains what Non-Economic Loss and Damage (NELD) is, why and how it happens, where it happens, who is most affected, and importantly how it can be addressed. Featuring case studies from both the Global North and South, the brief captures the latest thinking on NELD all in one place whilst acting as an accessible introduction for those new to the topic.

juillet 2022

Le secrétaire général des Nations unies António Guterres a accordé au quotidien britannique “The Guardian” un entretien exclusif en marge du sommet mondial sur les océans à Lisbonne. Il y exprime sa très vive inquiétude face à une situation mondiale où “tout concourt” à creuser les inégalités.

juin 2022

After all, Western economies – and their economic growth – depend utterly on labour and resources from the South...

mai 2022

l’idée de « responsabilités communes mais différenciées » fut discutée et adoptée en tant que principe par la communauté internationale au Sommet de la Terre à Rio en 1992, il y a trente ans déjà. Une victoire des pays pauvres qui ont bataillé ferme pour obtenir un accord international sur sa formulation. En voici les principaux éléments : « Les États doivent coopérer (…) en vue de rétablir l’intégrité de l’écosystème terrestre. Étant donné la diversité des rôles joués dans la dégradation de l’environnement, les États ont des responsabilités communes mais différenciées. Les pays développés admettent la responsabilité qui leur incombe (…), compte tenu des pressions que leurs sociétés exercent sur l’environnement mondial, et des techniques et des ressources financières dont ils disposent. »

novembre 2021

A mi-parcours de la COP26, les pays en développement ont fustigé lundi les engagements selon eux insuffisants des pays les plus riches, accusés de sacrifier les vies de milliards d'habitants de la planète en première ligne du réchauffement climatique.
Réunis à Glasgow pour la 26e Conférence des Nations unies pour le climat, les États-Unis, le Royaume-Uni, l’Union européenne, mais aussi la France et l’Allemagne, ont annoncé, le mardi 2 novembre, avoir conclu un accord avec Johannesburg pour soutenir la “transition énergétique juste” de l’Afrique du Sud, très dépendante du charbon.

septembre 2021

Dans cette région du Soudan du Sud bordant le Nil, le changement climatique a déjà des effets dévastateurs. Plus ravageur que les traditionnelles crues saisonnières, un cycle d’inondations sans précédent a démarré en 2019 et continue, année après année, de noyer le nord du Jonglei ainsi que les Etats voisins d’Unité et du Haut-Nil.

mai 2021

mars 2021

Les demandes alimentaires des pays du Nord accentuent la déforestation des pays du Sud. La France est en tête du classement des pays qui provoquent des coupes d’arbres à l’autre bout du monde.

février 2021

Quand elle est correctement planifiée par les gouvernements locaux ou régionaux, l’implantation du palmier à huile se traduit le plus souvent par un fort développement économique dans les régions concernées et une importante réduction de la pauvreté rurale. Quels pays assurent la production ? Qui sont les pays consommateurs ? Quels sont les usages de l’huile de palme ? Quels outils de certification existent pour encadrer l’implantation du palmier à huile ?

novembre 2020

août 2020

Principaux responsables du gâchis environnemental, le productivisme et le consumérisme des grands producteurs et des gros consommateurs. Un mode d’exploitation séculaire de la nature, irresponsable, sans limites, mû par l’appât du gain et la logique de l’accumulation. Les pollueurs majeurs tardent à passer à la caisse, tandis que les secteurs populaires et les pays non industrialisés en font les frais. Les concepts d’éco-impérialisme, de justice verte, d’écologie décoloniale convoqués par les mouvements qui, en Afrique, en Amérique latine et en Asie, à rebours des opinions publiques, se mobilisent sur des enjeux environnementaux, apportent des réponses.
L’ampleur du désastre écologique, chiffrée à l’envi, sidère. Scientifiques et militants auront mis cinquante ans à agiter les consciences, avant que l’évidence s’impose. Ses causes sont connues, enfin admises. Ou presque. Principaux responsables du gâchis environnemental, le productivisme et le consumérisme des grands producteurs et des gros consommateurs. Un mode d’exploitation séculaire de la nature, irresponsable, sans limites, mû par l’appât du gain et la logique de l’accumulation. Dont les effets délétères s’accélèrent et réactualisent la sentence de Hugo – « c’est de l’enfer des pauvres qu’est fait le paradis des riches » –, la vulnérabilité des premiers étant sans commune mesure avec celle des seconds. Les pollueurs majeurs tardent à passer à la caisse, tandis que les secteurs populaires et les pays non industrialisés en font les frais.

juillet 2018