Veille 2.1

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Les solutions proposées par l’institution financière sont toutefois jugées insuffisantes pour aller vers un modèle durable et résilient.
La Banque mondiale (BM) a annoncé mercredi réviser à la hausse son programme d'électrification prévu dans plusieurs pays africains, visant désormais le raccordement électrique de 250 millions de personnes d'ici à 2030, contre 100 millions prévus initialement.
La Banque mondiale (BM) va investir jusque cinq milliards de dollars afin de fournir "une électricité fiable, peu chère et renouvelable" à 100 millions de personnes en Afrique d'ici à la fin de la décennie, a annoncé mercredi son président Ajay Banga en Tanzanie.Aujourd'hui environ 600 millions de personnes n'ont pas accès à l'électricité sur l'ensemble du continent, selon l'institution, l'accès à l'énergie étant pourtant un élément essentiel pour le développement économique et les créations d'emplois.
La Banque mondiale, objet de vives critiques du monde en développement, jouera un rôle limité dans la gestion de l'argent destiné au fonds sur les dommages climatiques des pays vulnérables, mis en place à la COP28, a tenté de rassurer vendredi le président de l'institution, Ajay Banga."En réalité, la Banque ne joue pas de rôle dans l'allocation de l'argent", a expliqué M. Banga lors d'un événement en marge de la COP à Dubaï, "ce sera la tâche d'un conseil de gouvernance qui doit encore être créé et qui représentera les donateurs et les bénéficiaires".
« Aucune ingénierie financière créative ne compensera le fait que nous avons tout simplement besoin de plus de financements », a notamment plaidé le président de la Banque mondiale, Ajay Banga.
Les institutions financières internationales (IFI) en font-elles assez dans le financement de la lutte contre le changement climatique? C'est la question récurrente à laquelle le FMI et la Banque mondiale tentent de répondre, face aux accusations régulières d'inaction
Sur 37 milliards de dollars investis par l’institution dans la lutte contre le changement climatique depuis plus de vingt ans, une majorité de projets ont peu ou rien à voir avec le climat. L’argent alloué à l’atténuation du changement climatique ou à l’adaptation à ce changement ne fait l’objet d’aucune évaluation en matière de réduction des émissions de gaz à effet de serre, constate l’étude.
La Banque mondiale prévoit une croissance atone en 2023 comme en 2024 alors que le monde n’est toujours pas sorti de la crise née de la pandémie, de la guerre en Ukraine et de l’inflation. Les pays pauvres sont les plus touchés.
L’innovation et l’investissement dans les villes des pays à revenu faible sont essentiels pour parvenir au zéro émission nette dans le monde d’ici 2050
C'est le début, ce lundi 10 avril, et pour toute la semaine, des réunions de printemps du Fonds monétaire international (FMI) et de la Banque mondiale (BM) à Washington. Ces réunions se tiennent alors que les appels pour une réforme de l'architecture de la finance mondiale se multiplient afin de mieux répondre aux défis du réchauffement climatique.
L’inflation qui persiste, comme la guerre en Ukraine… Dans ses “Perspectives économiques mondiales” pour 2023, publiées mardi 10 janvier, la Banque mondiale révise à la baisse ses prévisions de croissance. Estimée à 3 % en juin dernier, elle ne devrait pas dépasser 1,7 % cette année.
Confronté aux défis du changement climatique, l'Irak doit oeuvrer pour un modèle de développement "plus vert" notamment en diversifiant et "décarbonisant" son économie, a estimé mardi la Banque mondiale (BM) après avoir présenté à Bagdad un nouveau rapport. Le pays a besoin de 233 milliards de dollars d'investissements jusqu'en 2040 pour "répondre aux principaux besoins de développement de l'Irak et permettre de s'engager sur la voie d'une croissance verte", évalue le rapport de la BM - soit 6% du PIB chaque année. Pénuries d'eau, désertification galopante, températures en hausse: l'Irak est considéré par l'ONU comme un des cinq pays au monde les plus exposés à certaines conséquences du changement climatique, frappant de plein fouet certains secteurs comme l'agriculture.
L'Afrique du Sud, gros émetteur de gaz à effet de serre qui peine avec sa transition énergétique, a décroché une aide de 497 millions de dollars pour reconvertir une de ses vétustes centrales à charbon, a annoncé la Banque mondiale dans un communiqué reçu vendredi. La première puissance industrielle du continent dont une délégation accompagnera le président Cyril Ramaphosa à la COP27 qui s'ouvre dimanche en Egypte, tire encore 80% de son électricité du charbon, pilier de l'économie sud-africaine employant près de 100.000 personnes.
Comment le changement climatique agit-il sur la sécurité alimentaire mondiale aujourd'hui et à quoi peut-on s'attendre demain ?
La Banque mondiale a injecté 14,8 milliards de dollars dans des projets liés à l'énergie fossile depuis l'adoption de l'Accord de Paris sur le climat, selon un rapport d'une coalition d'ONG environnementales publié jeudi. L'institution financière internationale a promis en 2018 de cesser de financer l'extraction pétrolière et gazière, souligne cette analyse compilée par la coalition The Big Shift Global. Mais si ces financements directs ont baissé, la mesure n'incluait pas les financements indirects via des intermédiaires, par exemple des banques privées, note-t-elle.
De nombreuses personnes ont basculé dans l'extrême pauvreté.
La Maison Blanche a dit « condamner », vendredi, les propos de David Malpass, qui avait refusé de reconnaître, lors d’une table ronde, le rôle des énergies fossiles dans le réchauffement climatique.
Dans un rapport, l’institution rappelle l’importance d’une croissance « rapide, résiliente et inclusive » comme « meilleure forme d’adaptation au changement climatique ».
Dix pays sont responsables des trois quarts du volume mondial de gaz torchés, tandis que l’élimination du torchage et des émissions de méthane est cruciale pour la transition énergétique
Les prix alimentaires et de l'énergie, dont la hausse a été exacerbée par la guerre en Ukraine, pourraient rester élevés pendant plusieurs années, estime la Banque mondiale qui évoque la fin de l'année 2024.
Et si des emprunts obligataires n’avaient pas pour moteur le profit, mais la préservation d’une espèce menacée, le rhinocéros noir ? C’est le projet lancé par la Banque mondiale en Afrique du Sud, dans une démarche qui concilie finance et préservation des espèces, souligne ce quotidien sud-africain.
Le Produit intérieur brut de l'Ukraine va plonger de 45,1% cette année, celui de la Russie de 11,2%, selon les dernières projections de l'institution de Washington. Pour l'Ukraine, c'est bien pire que les 10% à 35% projetés il y a un mois par le Fonds monétaire international (FMI), ou les 20% annoncés le 31 mars par la Banque européenne pour la reconstruction et le développement (Berd).
D’ici à 2050, les pénuries d’eau, la baisse des rendements agricoles et l’élévation du niveau de la mer, liées au réchauffement climatique, pourraient pousser 216 millions de personnes à quitter leur foyer. Le deuxième rapport Groundswell confirme le changement climatique comme un puissant facteur de migration », résume Viviane Wei Chen Clement, co-autrice de l’étude de la Banque mondiale.
«Le changement climatique est un moteur de migration de plus en plus puissant». Dans un rapport publié ce lundi, les experts de la Banque Mondiale relèvent «l’urgence à agir» alors que «les moyens de subsistance et le bien-être humain sont de plus en plus mis à rude épreuve». Elle estime que 216 millions de personnes sont menacées de devenir des réfugiés climatiques à l’horizon 2050.
D’ici à 2050, le changement climatique risque de contraindre 216 millions de personnes à migrer à l’intérieur de leur pays.
Jusqu'à 216 millions de personnes pourraient migrer d'ici 2050 dans le monde pour fuir les effets néfastes du changement climatique tels que la baisse de la production agricole, la pénurie d'eau et la hausse du niveau de la mer, un phénomène qui n'est toutefois pas irréversible, selon la Banque mondiale.
Jusqu'à 216 millions de personnes pourraient migrer d'ici 2050 dans le monde pour fuir les effets néfastes du changement climatique tels que la baisse de la production agricole, la pénurie d'eau et la hausse du niveau de la mer, un phénomène qui n'est toutefois pas irréversible, selon la Banque mondiale.
Le Liban traverse depuis fin octobre 2019 une crise sans nom. Il s’agit de l’une des pires crises économiques au monde depuis 1850, d’après la Banque Mondiale et connaît d’importantes pénuries de carburants qui affectent l’approvisionnement en biens de première nécessité. Outre le secteur de l’alimentation, le secteur médical et hospitalier tirent la sonnette d’alarme.


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mai 2024

Les solutions proposées par l’institution financière sont toutefois jugées insuffisantes pour aller vers un modèle durable et résilient.

avril 2024

La Banque mondiale (BM) a annoncé mercredi réviser à la hausse son programme d'électrification prévu dans plusieurs pays africains, visant désormais le raccordement électrique de 250 millions de personnes d'ici à 2030, contre 100 millions prévus initialement.

décembre 2023

La Banque mondiale (BM) va investir jusque cinq milliards de dollars afin de fournir "une électricité fiable, peu chère et renouvelable" à 100 millions de personnes en Afrique d'ici à la fin de la décennie, a annoncé mercredi son président Ajay Banga en Tanzanie.Aujourd'hui environ 600 millions de personnes n'ont pas accès à l'électricité sur l'ensemble du continent, selon l'institution, l'accès à l'énergie étant pourtant un élément essentiel pour le développement économique et les créations d'emplois.
La Banque mondiale, objet de vives critiques du monde en développement, jouera un rôle limité dans la gestion de l'argent destiné au fonds sur les dommages climatiques des pays vulnérables, mis en place à la COP28, a tenté de rassurer vendredi le président de l'institution, Ajay Banga."En réalité, la Banque ne joue pas de rôle dans l'allocation de l'argent", a expliqué M. Banga lors d'un événement en marge de la COP à Dubaï, "ce sera la tâche d'un conseil de gouvernance qui doit encore être créé et qui représentera les donateurs et les bénéficiaires".

octobre 2023

« Aucune ingénierie financière créative ne compensera le fait que nous avons tout simplement besoin de plus de financements », a notamment plaidé le président de la Banque mondiale, Ajay Banga.

juin 2023

Les institutions financières internationales (IFI) en font-elles assez dans le financement de la lutte contre le changement climatique? C'est la question récurrente à laquelle le FMI et la Banque mondiale tentent de répondre, face aux accusations régulières d'inaction
Sur 37 milliards de dollars investis par l’institution dans la lutte contre le changement climatique depuis plus de vingt ans, une majorité de projets ont peu ou rien à voir avec le climat. L’argent alloué à l’atténuation du changement climatique ou à l’adaptation à ce changement ne fait l’objet d’aucune évaluation en matière de réduction des émissions de gaz à effet de serre, constate l’étude.
La Banque mondiale prévoit une croissance atone en 2023 comme en 2024 alors que le monde n’est toujours pas sorti de la crise née de la pandémie, de la guerre en Ukraine et de l’inflation. Les pays pauvres sont les plus touchés.

mai 2023

L’innovation et l’investissement dans les villes des pays à revenu faible sont essentiels pour parvenir au zéro émission nette dans le monde d’ici 2050

avril 2023

C'est le début, ce lundi 10 avril, et pour toute la semaine, des réunions de printemps du Fonds monétaire international (FMI) et de la Banque mondiale (BM) à Washington. Ces réunions se tiennent alors que les appels pour une réforme de l'architecture de la finance mondiale se multiplient afin de mieux répondre aux défis du réchauffement climatique.

janvier 2023

L’inflation qui persiste, comme la guerre en Ukraine… Dans ses “Perspectives économiques mondiales” pour 2023, publiées mardi 10 janvier, la Banque mondiale révise à la baisse ses prévisions de croissance. Estimée à 3 % en juin dernier, elle ne devrait pas dépasser 1,7 % cette année.

décembre 2022

Confronté aux défis du changement climatique, l'Irak doit oeuvrer pour un modèle de développement "plus vert" notamment en diversifiant et "décarbonisant" son économie, a estimé mardi la Banque mondiale (BM) après avoir présenté à Bagdad un nouveau rapport. Le pays a besoin de 233 milliards de dollars d'investissements jusqu'en 2040 pour "répondre aux principaux besoins de développement de l'Irak et permettre de s'engager sur la voie d'une croissance verte", évalue le rapport de la BM - soit 6% du PIB chaque année. Pénuries d'eau, désertification galopante, températures en hausse: l'Irak est considéré par l'ONU comme un des cinq pays au monde les plus exposés à certaines conséquences du changement climatique, frappant de plein fouet certains secteurs comme l'agriculture.

novembre 2022

L'Afrique du Sud, gros émetteur de gaz à effet de serre qui peine avec sa transition énergétique, a décroché une aide de 497 millions de dollars pour reconvertir une de ses vétustes centrales à charbon, a annoncé la Banque mondiale dans un communiqué reçu vendredi. La première puissance industrielle du continent dont une délégation accompagnera le président Cyril Ramaphosa à la COP27 qui s'ouvre dimanche en Egypte, tire encore 80% de son électricité du charbon, pilier de l'économie sud-africaine employant près de 100.000 personnes.

octobre 2022

Comment le changement climatique agit-il sur la sécurité alimentaire mondiale aujourd'hui et à quoi peut-on s'attendre demain ?
La Banque mondiale a injecté 14,8 milliards de dollars dans des projets liés à l'énergie fossile depuis l'adoption de l'Accord de Paris sur le climat, selon un rapport d'une coalition d'ONG environnementales publié jeudi. L'institution financière internationale a promis en 2018 de cesser de financer l'extraction pétrolière et gazière, souligne cette analyse compilée par la coalition The Big Shift Global. Mais si ces financements directs ont baissé, la mesure n'incluait pas les financements indirects via des intermédiaires, par exemple des banques privées, note-t-elle.