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En seulement deux ans, la pandémie de Covid-19 a anéanti plus de dix ans de progrès en termes d'espérance de vie à la naissance et d'espérance de vie en bonne santé (EVBS), selon le dernier rapport de l'Organisation mondiale de la Santé (OMS) sur les statistiques sanitaires mondiales.
Les exponentielles, il faut arrêter leur course dès le départ, ou sinon c'est fichu. Le tort de Malthus aura sans doute été de formaliser des cycles de population sur une ou deux générations et pas sur le temps très long. Compte tenu de temps qu'il faut pour accélérer et ralentir des mouvements de croissance de population, n'est-ce pas sur un siècle ou deux que l'on devrait vérifier l'intuition de Malthus ?
Une étude publiée ce jeudi 21 mars dans «The Lancet» affirme que «la fertilité décline à travers le monde» à tel point que de nombreux pays ont des taux trop faibles pour maintenir leur niveau de population.
Selon une étude publiée jeudi, d'ici à 2050, trois quarts des pays du monde auront un taux de fertilité insuffisant pour maintenir leur population en l'état. D'ici à 2100, la plupart des pays seront concernés.
Il y a de moins en moins de bébés. C’est ce que confirme une étude publiée aujourd’hui. Et le phénomène est presque mondial. Seuls quelques pays tirent leur épingle du jeu. Mais pour eux aussi,...
La fertilité est insuffisante pour maintenir la population en l'état dans la majorité des pays, souligne une vaste étude publiée jeudi, mettant en garde sur des déséquilibres qui s'annoncent de plus en plus marqués d'une région du monde à l'autre.
Selon une étude publiée dans « The Lancet » mercredi, l’indice de fécondité moyen en 2050 pourrait se situer autour de 1,8 enfant par femme à l’échelle de la planète, soit au-dessous du seuil de renouvellement de la population.
Quelle place pour la technologie sur une planète qui devrait selon l'ONU avoisiner les 9,7 milliards d'individus en 2050 ? Tentative de réponses du philosophe Alexandre Monnin.
Bruxelles et la Wallonie verront leur population diminuer respectivement à partir de 2030 et 2040, tandis que la population flamande continuera de croître, prévoit le Bureau fédéral du Plan dans une nouvelle étude.
En 2023, environ 110.400 naissances ont été enregistrées en Belgique, selon des chiffres provisoires publiés par...
La population chinoise a baissé en 2023 pour la deuxième année consécutive, a indiqué mercredi le Bureau des statistiques, le taux de natalité ralentissant face notamment au coût de l'éducation et du changement des comportements sociaux.
En recul de 6,8% sur les onze premiers mois de 2023 par rapport à la même période de 2022, le nombre de naissances devrait atteindre un nouveau point bas historique sur l'ensemble de l'année, selon des données de l'Insee publiées jeudi.
Entre janvier et novembre 2023, 621 691 bébés sont nés, soit 45 000 de moins qu’en 2022 sur la même période. Cela représente un recul du nombre de naissances de 6,8 % sur les onze premiers mois de l’année, selon l’Insee.
An easy way to start a long, heated debate is to mention global population. Thomas Malthus famously ignited furious arguments in the eighteenth century when
La légère hausse des naissances enregistrée en 2021, à la suite des confinements liés à la crise du Covid-19, n’a pas été renouvelée en 2022.
Le monde, tel que nous le connaissons, est-il au bord de l’implosion? Alors que la population mondiale a doublé ces cinquante dernières années – elle dépasse désormais les 8 milliards d’individus et devrait en compter 10 milliards en 2060 - l’impact négatif des activités humaines sur l'environnement ne cesse d’augmenter. Dès lors, les ressources naturelles viendront-elles à manquer? Faut-il accélérer les programmes visant à freiner l’explosion démographique? Et si la solution était ailleurs? Dans sa conférence publique, la professeure Clémentine Rossier fera le point sur ces questions complexes, sujettes à controverses, et remettra en question certaines croyances sur la surpopulation et ses conséquences. Directrice de l’Institut de démographie et socioéconomie de l’UNIGE, elle est aussi l’une des spécialistes de l’étude de la contraception, l'avortement et la fécondité en Europe et en Afrique subsaharienne.
Révélation alarmante : des chercheurs estiment que si le réchauffement climatique atteint 2 °C d’ici 2100, les industries gazière et pétrolière seront responsables du décès d’environ 1 milliard de personnes issues des communautés les plus vulnérables. Cela équivaudrait à des homicides involontaires par les populations les plus riches, contrôlant ces industries. En effet, malgré les avertissements concernant leur impact sur l’environnement, les émissions de CO2 liées aux combustibles fossiles ne cessent d’augmenter pour des raisons économiques et géopolitiques.
Population ecologist William Rees, with the University of British Columbia's School of Community and Regional Planning, is reminding denizens of Earth that the planet can only support so many people. In his paper published in the journal World, he points out that many models have been developed over the years that show that only a certain number of animals (such as rats) can live in a given environment—they all show that at some point, a population correction occurs.
Homo sapiens has evolved to reproduce exponentially, expand geographically, and consume all available resources. For most of humanity’s evolutionary history, such expansionist tendencies have been countered by negative feedback. However, the scientific revolution and the use of fossil fuels reduced many forms of negative feedback, enabling us to realize our full potential for exponential growth. This natural capacity is being reinforced by growth-oriented neoliberal economics—nurture complements nature. Problem: the human enterprise is a ‘dissipative structure’ and sub-system of the ecosphere—it can grow and maintain itself only by consuming and dissipating available energy and resources extracted from its host system, the ecosphere, and discharging waste back into its host. The population increase from one to eight billion, and >100-fold expansion of real GWP in just two centuries on a finite planet, has thus propelled modern techno-industrial society into a state of advanced overshoot. We are consuming and
Le Japon a connu une baisse record de sa population de nationaux en 2022, selon des données gouvernementales publiées...
Le Covid a pourtant moins causé de décès qu’en 2021. L’institut mentionne d’autres causes, comme la grippe ou les fortes chaleurs de l’été 2022.
Les derniers recensements traduisent une baisse importante de la population grecque en dix ans, ainsi qu’un vieillissement rapide. Et cette inquiétante tendance pourrait encore s’accélérer.
Un organisme de recherche a publié ce mercredi 26 avril un rapport mettant en lumière une future baisse importante de la démographie dans moins de 50 ans. Cette baisse serait notamment liée à une évolution de la société.
Une étude démographique commandée par le Club de Rome présente de nouvelles perspectives sur l’évolution de la population mondiale d’ici la fin du siècle. Cette étude réalisée par Earth4all revoit en effet à la baisse les projections sur le nombre d’habitants qui peupleront la Terre en 2100. Alors que les démographes de l’ONU estiment que, à ce moment-là, notre planète comptera 9,7 milliards d’humains, le rapport d’Earth4all avance un chiffre plus faible compris entre 6  et 7,3 milliards.
L'Organisation mondiale de la santé alerte mardi contre l'infertilité, un "problème sanitaire majeur", qui touche 17,8 % de la population adulte des pays riches et 16,5 % des pays à revenus faibles et intermédiaires.
La population mondiale pourrait culminer à 8,6 milliards au milieu du siècle avant de sérieusement décliner. Mais comment l'expliquer ?
Si la surpopulation constitue une préoccupation majeure dans un monde aux ressources limitées, les scientifiques du projet Earth4all ont dévoilé de nouvelles prévisions démographiques se révélant nettement inférieures à celles des Nations Unies.
Population likely to peak sooner and lower than expected with beneficial results – but environment is priority
Thème de ce premier épisode, la démographie ! J'ai collecté et commenté une quinzaine de graphiques qui me semblaient pertinents (sans prétention évidemment à être exhaustifs, ou même concluants) : ...
Pour Stéphane Madaule, la progression forte de la population mondiale depuis cinquante ans n’est pas sans peser sur l’environnement, sur le problème du changement climatique et de la perte de la biodiversité.


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Démographie

mai 2024

En seulement deux ans, la pandémie de Covid-19 a anéanti plus de dix ans de progrès en termes d'espérance de vie à la naissance et d'espérance de vie en bonne santé (EVBS), selon le dernier rapport de l'Organisation mondiale de la Santé (OMS) sur les statistiques sanitaires mondiales.
Les exponentielles, il faut arrêter leur course dès le départ, ou sinon c'est fichu. Le tort de Malthus aura sans doute été de formaliser des cycles de population sur une ou deux générations et pas sur le temps très long. Compte tenu de temps qu'il faut pour accélérer et ralentir des mouvements de croissance de population, n'est-ce pas sur un siècle ou deux que l'on devrait vérifier l'intuition de Malthus ?

mars 2024

Une étude publiée ce jeudi 21 mars dans «The Lancet» affirme que «la fertilité décline à travers le monde» à tel point que de nombreux pays ont des taux trop faibles pour maintenir leur niveau de population.
La fertilité est insuffisante pour maintenir la population en l'état dans la majorité des pays, souligne une vaste étude publiée jeudi, mettant en garde sur des déséquilibres qui s'annoncent de plus en plus marqués d'une région du monde à l'autre.
Selon une étude publiée jeudi, d'ici à 2050, trois quarts des pays du monde auront un taux de fertilité insuffisant pour maintenir leur population en l'état. D'ici à 2100, la plupart des pays seront concernés.
Il y a de moins en moins de bébés. C’est ce que confirme une étude publiée aujourd’hui. Et le phénomène est presque mondial. Seuls quelques pays tirent leur épingle du jeu. Mais pour eux aussi,...
Selon une étude publiée dans « The Lancet » mercredi, l’indice de fécondité moyen en 2050 pourrait se situer autour de 1,8 enfant par femme à l’échelle de la planète, soit au-dessous du seuil de renouvellement de la population.

février 2024

Quelle place pour la technologie sur une planète qui devrait selon l'ONU avoisiner les 9,7 milliards d'individus en 2050 ? Tentative de réponses du philosophe Alexandre Monnin.
Bruxelles et la Wallonie verront leur population diminuer respectivement à partir de 2030 et 2040, tandis que la population flamande continuera de croître, prévoit le Bureau fédéral du Plan dans une nouvelle étude.
En 2023, environ 110.400 naissances ont été enregistrées en Belgique, selon des chiffres provisoires publiés par...

janvier 2024

La population chinoise a baissé en 2023 pour la deuxième année consécutive, a indiqué mercredi le Bureau des statistiques, le taux de natalité ralentissant face notamment au coût de l'éducation et du changement des comportements sociaux.
Entre janvier et novembre 2023, 621 691 bébés sont nés, soit 45 000 de moins qu’en 2022 sur la même période. Cela représente un recul du nombre de naissances de 6,8 % sur les onze premiers mois de l’année, selon l’Insee.
En recul de 6,8% sur les onze premiers mois de 2023 par rapport à la même période de 2022, le nombre de naissances devrait atteindre un nouveau point bas historique sur l'ensemble de l'année, selon des données de l'Insee publiées jeudi.

décembre 2023

An easy way to start a long, heated debate is to mention global population. Thomas Malthus famously ignited furious arguments in the eighteenth century when

septembre 2023

La légère hausse des naissances enregistrée en 2021, à la suite des confinements liés à la crise du Covid-19, n’a pas été renouvelée en 2022.