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Gregory Fobe
La pêche sera donc interdite jusqu’au 1er juin sur une bonne partie de la Mellier, de la Rulles et sur un tronçon de la Semois. Pour rappel 17.000 litres d’huile se sont écoulés d’un site désaffecté d’Infrabel à Marbehan. Une partie de cette huile contient du PCB, un polluant très toxique pour l’environnement. Pour la société de pêche locale, l’impact financier sera énorme puisqu’aucune cotisation ne rentrera dans les caisses cette année. Autre problème : il faudra récupérer les pécheurs qui auront déserté les rives quand l’interdiction sera levée. " C’est un problème qui s’était déjà posé il y a une trentaine d’années lors d’une précédente pollution au mazout provenant de chez Fina", se rappelle Albert Piquard, le secrétaire et trésorier de la société de pêche de Marbehan. "A l’époque, nous avons perdu 20 pécheurs sur 70 et nous avons mis 5 ans pour les récupérer. ".
Dans les régions les plus venteuses de Wallonie, les projets éoliens se multiplient. C’est le cas au nord de Namur. Luminus aimerait installer sur le territoire de Meux (La Bruyère) quatre éoliennes d’une hauteur maximale de 200 mètres. Pour Stéphane Cornet, le porte-parole du producteur d’électricité, le site est idéalement situé tout en respectant la réglementation wallonne : " Les éoliennes généreraient une bonne production tout en étant situées à bonne distance des habitations. Ça permettrait d’économiser 6600 tonnes de CO2 et de fournir l’équivalent de la production l’électricité nécessaire pour 13.000 familles ! Par ailleurs, les citoyens qui le désirent pourront investir dans l’une des éoliennes via une coopérative " La Bruyère reste relativement neutre dans ce dossier pour l’instant mais son bourgmestre Yves Depas le reconnaît : ces éoliennes qui seraient installées sur un terrain communal sont intéressantes financièrement puisqu’elles rapporteraient environ 200.000 euros par an. " C’est un avantag