Inondations

De nombreuses victimes ont aussi péri dans l’effondrement de leur maison ou ont été emportées par les crues soudaines, tandis que cette saison de la mousson, qui a commencé plus tôt que les autres années, est qualifiée d’« inhabituelle » par les autorités.

Il a plu ce mercredi soir par endroits jusqu’à 80 litres d’eau par mètre carré en quelques heures sur la région de Sambreville. Une situation "exceptionnelle" précisent les autorités le système d’égouttage n’a pas pu tout absorber. Les pompiers de la zone Val de Sambre ont reçu près de 200 appels.

La mousson a débuté dès juin cette année, entraînant un lourd bilan humain «habituellement observé en août». 104 enfants comptent parmi les victimes.

Des dizaines de milliers de personnes autour de Manille se sont réfugiées dans des écoles ou des salles municipales tandis que d’autres ont été évacuées des villes de Quezon City et Caloocan.

Le comté de Kerr, où 135 personnes ont trouvé la mort le 4 juillet, n’avait pas de système d’alerte, les contribuables ayant refusé de le financer. Convoqués en session extraordinaire à partir du 21 juillet par le gouverneur républicain, les parlementaires doivent examiner une refonte de la gestion des catastrophes naturelles.

Le bilan pourrait encore s’alourdir avec 12 personnes portées disparues après cinq jours d’averses intenses. La plupart des victimes ont été recensées dans le comté de Sancheong, comté rural de 33 000 habitants.

Dans la province de Chungcheong du Sud, les inondations ont provoqué des évacuations massives et des dégâts matériels considérables. Ce genre de phénomène météorologique extrême est devenu plus fréquent à cause du dérèglement climatique, constatent les scientifiques.

Compte tenu des pluies torrentielles inédites, les autorités pakistanaises multiplient les alertes et mesures d’urgence pour protéger la population, déjà éprouvée par les catastrophes passées.

Des pluies diluviennes provoquées par un système orageux stationnaire sont à l’origine de cet épisode, qui a fait deux morts.

Les services météorologiques ont enregistré des cumuls de précipitations exceptionnels, provoquant d’importantes perturbations dans les transports et plusieurs opérations de secours.

Après que des crues subites ont entravé les déplacements, bloqué les automobilistes et entraîné des sauvetages d’urgence dans la nuit du lundi 14 à ce mardi 15 juillet, de nouvelles fortes pluies sont prévues le long de la côte Est des États-Unis.

De nouvelles pluies sont prévues le long de la côte est des États-Unis, déjà détrempée mardi, après que des crues subites ont entravé les déplacements, bloqué les automobilistes et provoqué des sauvetages d'urgence.

Entre le 26 juin et le 14 juillet, 111 personnes, dont 53 enfants, ont péri en raison d’électrocution et de crues subites, selon les autorités.

Les pompiers ont réalisé une centaine d’interventions permettant de mettre à l’abri une vingtaine de personnes. Les Pyrénées-Orientales et l’Aude avaient été placées en alerte orage pluie-inondation et orages par Météo-France.

L'agence météorologique nationale et les autorités du comté de Kerr se reprochent mutuellement le défaut d'information qui a coûté la vie à plus de cent personnes.

Les fouilles, qui mobilisent des hélicoptères, des drones et des équipes cynophiles, sont toujours en cours pour retrouver d’autres victimes. Les recherches se poursuivent dans des conditions difficiles, au milieu de la boue et des décombres.

Dans le centre du Texas, la crue soudaine de la rivière Guadalupe, gonflée par des pluies torrentielles, a emporté camps d’enfants et familles de touristes. Les recherches se poursuivent au milieu d’un paysage apocalyptique.

Les recherches se poursuivent pour retrouver dix fillettes et un moniteur portés disparus. Le président Donald Trump dit avoir « signé une déclaration de catastrophe » et devrait se rendre sur place vendredi.

Le centre du Texas a été frappé par une catastrophe naturelle d’une ampleur dramatique. Des crues soudaines, d’une intensité rarement observée, ont submergé la région de la rivière Guadalupe, emportant tout sur leur passage, faisant plus de 80 victimes et ravageant notamment des camps d’été, dont le tristement célèbre Camp Mystic. Ce désastre, qui a profondément choqué la population locale, soulève aujourd’hui une question majeure : les alertes météorologiques ont-elles été à la hauteur de l’urgence ?

Alors que la météo nationale a mis en garde dès le 3 juillet, ces avertissements semblent avoir été mal relayées localement. La coordination avec les responsables locaux des situations d’urgence a pu pâtir d’un manque de personnel expérimenté, après le vaste plan de retraites anticipées planifié par la nouvelle administration fédérale.