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Microplastiques
PFAS, pesticides, microplastiques… La qualité de l’eau en bouteille ou au robinet ne va plus de soi et oblige chacun à trouver des solutions pour boire sans trembler. Mais la filtration miracle ne coule pas de source.
La pollution plastique ne se contente plus d’envahir les océans et l’atmosphère : elle s’insinue dans notre propre organisme, y compris dans notre cerveau. Une étude récente, publiée le 5 février 2025 dans la revue Nature Medicine, révèle une accumulation inquiétante de microplastiques et nanoplastiques dans le cerveau humain, posant de nombreuses questions sur ses impacts sur la santé.
Des chercheurs ont analysé des échantillons de cerveau obtenus lors d'autopsies aux États-Unis et ont fait plusieurs découvertes.
On savait que de toutes petites particules de plastique pénétraient dans le corps humain. Une nouvelle étude montre que leur concentration a augmenté au fil du temps, en particulier dans le cerveau, en même temps que la production de ces matériaux continue de croître.
Après avoir travaillé sur la récupération de pétrole dans l’eau, une équipe coréenne a adapté son outil pour aspirer les billes de plastique présentes en surface.
Dans une étude publiée ce jeudi 26 décembre, l’Agence de la transition écologique met pour la première fois en lumière l’ampleur de cette pollution dans les forêts, prairies, vignes et zones de grandes cultures du pays.
De nombreuses études se sont déjà penchées sur la contamination qu'ils génèrent dans les océans, mais la contamination des sols est moins connue et n'a fait l'objet que de peu de travaux en France.
Pour la première fois, l’Ademe a mesuré la concentration de microparticules de plastique dans la terre en France. Prairies, vignes, vergers ou grandes cultures, aucun type de sol n’est épargné.
L’addiction de nos sociétés vis-à-vis du plastique ne se dément pas. Or, les preuves de la toxicité de ce matériau, auquel il est désormais impossible d’échapper, s’accumulent depuis quelques années.
Une étude de la VUB chiffre pour la première fois les concentrations de ce polluant dans la Senne, le canal, les égouts. En tête des microplastiques les plus fréquemment retrouvés ? Les fibres textiles.
Ces petites particules de plastique, avec leurs milliers d'additifs, peuvent engendrer des inflammations, perturber la réponse immunitaire ou encore le système endocrinien. Si les mécanismes précis demeurent flous, les connaissances progressent.
Une étude à partir des bulbes olfactifs de 15 personnes décédées montre que des microplastiques peuvent y être détectés, suggérant une voie potentielle de translocation des microplastiques vers le cerveau.
Une étude révèle que les microplastiques s’accumulant dans l’atmosphère pourraient avoir un impact sur les régimes de précipitation et le climat global.
Alors que les représentants de près de 200 pays se réunissent en Colombie cette semaine pour discuter de la mise en œuvre d'un pacte mondial visant à inverser la perte de biodiversité, une autre menace environnementale majeure, la pollution plastique, est au centre d'un autre sommet de l'ONU.
Peu connue, la pollution des sols par les microplastiques est en fait importante. Elle a des effets négatifs sur les petits habitants du sol, sur les cultures mais aussi sur les volailles. Le site “Chemistry World” fait le point.
Dans une nouvelle étude, des scientifiques ont fait une découverte choquante : pour la première fois au monde, des microplastiques ont été retrouvés dans la respiration des dauphins.
L’accumulation de nano- et microplastiques dans les organismes marins, notamment les poissons, se reflète dans nos assiettes. Avec quels dangers pour la santé ?
Les micro et nanoplastiques envahissent notre environnement et notre corps, mais une nouvelle technologie portable développée par des chercheurs de l’Université de la Colombie-Britannique permet enfin de les détecter rapidement et à faible coût. Un outil indispensable pour protéger notre santé et nos écosystèmes. Les micro- et nanoplastiques sont partout : dans nos aliments, notre …
Une étude publiée ce lundi dans le «Journal of the American Medical Association» par des chercheurs brésiliens assure que des particules et fibres de plastiques peuvent gagner le cerveau via les cavités nasales.
Après le cœur, les poumons, la moelle osseuse, les testicules ou encore le sperme, ils se répandent maintenant dans notre cerveau. Et c'est un problème.