Articles 2020

OA - Liste
Uniquement les Articles de la décennie 2020

Les champs auteur(e)s & mots-clés sont cliquables. Pour revenir à la page, utilisez le bouton refresh ci-dessous.

filtre:
robot

novembre 2025

Dans les entrailles d’une usine nucléaire française, une machine vient de franchir un cap que l’industrie attendait depuis des décennies. Son nom : Hoxo. Sa particularité : elle ne se contente plus d’exécuter des ordres, elle comprend son environnement et prend des décisions. Bienvenue dans l’ère où l’intelligence artificielle s’invite là où l’humain ne peut plus aller.
L’androïde, connu sous le nom d’Aidol, a titubé avant de s’effondrer lors d’une présentation technologique à Moscou. Les organisateurs ont attribué cet incident à des problèmes de calibrage et d’éclairage.
Les acteurs de la tech mondiale se réunissent à partir de mardi au Web Summit à Lisbonne pour présenter leurs dernières innovations, de l'intelligence artificielle (IA) aux robots, sur fond de tensions géopolitiques et commerciales qui affectent le secteur.
Elon Musk veut transformer le rêve des robots humanoïdes en réalité avec Optimus. Entre promesses technologiques, ambitions commerciales et fascination pour la science-fiction, le droïde de Tesla pourrait bien entrer dans nos maisons et nos vies.
La société chinoise de technologie Xpeng présente le robot Iron, qui se distingue par une esthétique et des mouvements aussi humains que possible. L'entreprise prévoit de produire ce robot en grande quantité à partir de 2026.
Du haut de son 1,35 m, Hoxo sera-t-il le nouveau compagnon des travailleurs du nucléaire? Le géant français du cycle du combustible Orano (ex-Areva), en partenariat avec Capgemini, va tester durant 4 mois un robot humanoïde boosté à l'intelligence artificielle pour soutenir ses collaborateurs dans les tâches répétitives. "Sur une installation nucléaire, c'est la première fois dans le monde qu'on met en oeuvre un robot humanoïde y compris pour un test", indique à l'AFP Pierre Simonnet, directeur qualité et performance à Orano Melox, l'usine dédiée à la fabrication de MOX (combustible nucléaire recyclé), à Marcoule (Gard).
La société 1X Technologies fait actuellement le buzz et pour cause : son robot humanoïde baptisé Neo peut effectuer de nombreuses tâches ménagères. En revanche, une journaliste américaine a découvert que la machine ne pouvait pas se lancer parfaitement sans l’intervention d’un opérateur à distance. Comment interpréter cette étrange nouvelle ?

octobre 2025

Neo, la société norvégienne 1X Technologies, soutenue par OpenAI, promet le premier véritable humanoïde domestique. Haut de 1,67 mètre, élégant et étonnamment fluide, Neo sait marcher, ranger, saisir des objets ou se recharger tout seul. Mais derrière cette prouesse technologique se cache une réalité bien moins autonome : la plupart de ses gestes sont en fait pilotés à distance par un humain en réalité virtuelle.
Des chercheurs sud-coréens ont mis au point un muscle artificiel destiné aux robots humanoïdes, capable de soulever jusqu’à 4 400 fois son poids. Composé de polymères recouverts de microparticules magnétiques contrôlables, ce matériau imite la contraction et le relâchement des muscles naturels. Il offrirait ainsi un haut degré de flexibilité tout en supportant d’importantes densités de travail – une combinaison jusqu’ici difficile à atteindre pour cette technologie.
Présenté il y a à peine quelques semaines, le robot Figure 03 est déjà une véritable star ! En effet, ce dernier s’est retrouvé dans la liste des meilleurs inventions de l’année 2025 du célèbre magazine Time. Pour la jeune start-up à l’origine de cette machine, il s’agit d’une véritable consécration avant la prochaine étape de son projet.
Derrière son écran, l'opérateur donne le top départ: une tête laser montée sur un bras robotique s'attaque à la découpe d'une tuyauterie, une opération-test en réalité virtuelle menée au Commissariat à l'énergie atomique pour répondre aux enjeux du démantèlement des vieilles centrales nucléaires. Des outils de découpe robotisés aux drones d'investigation, ces assistants permettent aux intervenants d'"être moins exposés radiologiquement", explique Hubert-Alexandre Turc, ingénieur-chercheur au CEA, à plusieurs journalistes, lors d'une visite du site de Marcoule (Gard), berceau de l'industrie nucléaire française.
Une simple vidéo suffit parfois à bouleverser nos certitudes sur l’avenir technologique. C’est exactement ce qui se produit avec la dernière création d’AheadForm, une startup chinoise qui vient de dévoiler une tête robotique aux expressions si naturelles qu’elle déconcerte les spectateurs du monde entier. Clignements d’yeux fluides, regards interrogateurs, micro-expressions subtiles : ce robot franchit une barrière psychologique que beaucoup pensaient encore infranchissable. Décryptage d’une prouesse technique qui divise autant qu’elle fascine.
Le roboticien Rodney Brooks ne croit pas vraiment aux vertus du développement robots humanoïdes. L’intéressé a récemment remis en question les grandes promesses de Tesla et autres start-up œuvrant dans ce domaine. Le spécialiste estime que ces machines sont trop dangereuses pour les humains.
“Ukraine sous le feu : la guerre bascule dans l’enfer avec trois fronts qui saignent”. Ce titre vous donne envie de cliquer ? Peut-être même que certains d’entre vous l’ont fait, depuis le portail MSN installé sur Bing et Microsoft. Il s’agit d’un article d’un site canadien, nommé “Votre Dose Quotidienne”. Ces articles qui couvrent la géopolitique internationale ou les guerres sont, selon notre enquête, générés à l’aide de robots et d’intelligence artificielle. Leur contenu est souvent largement déformé et/ou amplifié pour pousser au clic. Nous vous emmenons dans l’univers du "clickbait" où tous les coups sont permis.
Depuis presque vingt ans, la Chine développe un réacteur de fusion nucléaire que l’on surnomme « soleil artificiel ». Dans le cadre de ces travaux, les ingénieurs ont récemment fabriqué un robot dont la mission sera d’assurer la maintenance complexe et couteuse de cette installation. Équipée de trois bras, cette machine est notamment capable de soulever une charge d’une soixantaine de tonnes.
Le géant de l’automobile électrique vient de franchir une étape que personne n’attendait si tôt. Dans une vidéo publiée par Elon Musk, le robot humanoïde Optimus exécute des mouvements de kung-fu avec une fluidité qui redéfinit les standards de la robotique grand public. Cette démonstration inattendue soulève une question cruciale : sommes-nous en train d’assister à l’émergence du produit le plus disruptif de la décennie ?
Dans les laboratoires de l’Université de Twente, aux Pays-Bas, une équipe de chercheurs vient de franchir une frontière que beaucoup pensaient infranchissable. Ils ont réussi à transformer de véritables spermatozoïdes en microrobots pilotables à distance, capables de naviguer avec précision dans le système reproducteur féminin. Cette prouesse technologique, qui relève autant de la science-fiction que de la médecine de pointe, pourrait révolutionner notre approche des traitements de fertilité et ouvrir des perspectives thérapeutiques inédites.

septembre 2025

Pour voyager en toute sécurité à l'aéroport de Liège, des patrouilles sont organisées, pas par des humains, mais bien par un robot. C'est une première en Belgique.
Dans un laboratoire d’Unitree, un robot humanoïde de 35 kilos subit l’impensable : coups de pied, bousculades violentes, chutes brutales. Mais au lieu de s’effondrer comme ses prédécesseurs, le G1 fait quelque chose d’extraordinaire. Il anticipe, s’adapte et se relève avec une fluidité quasi-humaine grâce à son « mode anti-gravité ». Cette prouesse technique, qui ressemble à de la science-fiction, cache en réalité une révolution industrielle en marche. Car derrière ces démonstrations spectaculaires se profile l’avenir du travail collaboratif homme-machine, où la résilience robotique pourrait transformer nos usines et laboratoires.
Giada Pistilli, responsable de l’éthique dans la start-up d’intelligence artificielle Hugging Face, a exposé, dimanche, dans le cadre du Festival du « Monde », les dérives possibles liées aux nouveaux usages des robots conversationnels.