Recherche : Articles Audio – podcast Fiches Livres Sites Vidéos retour Veille
Uniquement les Articles de la décennie 2020
Pour voir les références d’un(e) auteur(e), cliquez sur son nom. Pour revenir à la page, utilisez le bouton refresh ci-dessous.
Cela fonctionne également avec les mot-clés de chaque référence.
Résultats pour:
O2
Pour faire face à la hausse de ses émissions, l'aérien s’apprête à augmenter la part des carburants alternatifs pour faire voler ses avions. Une stratégie dont les résultats pourraient être affaiblis si le trafic n’est pas maîtrisé.
La réduction de la consommation d'énergies fossiles en Belgique reste insuffisante pour être en ligne avec l'objectif obligatoire de 2030 et un chemin vers la neutralité climatique, lit-on samedi dans Le Soir.
Wildfires that blazed around the world in 2024 helped to drive a record annual leap in carbon dioxide levels in the atmosphere, surprising scientists. The data shows humanity is moving yet deeper into a dangerous world of supercharged extreme weather.
Un armateur norvégien a annoncé avoir modifié un de ses navires pour en faire "le premier au monde" doté à bord d'un système de captage et de stockage du CO2 à grande échelle afin de réduire ses émissions.Alimenté au fioul lourd, un carburant décrié pour ses émissions élevées de soufre, particules fines et dioxyde de carbone, le Clipper Eris devrait voir ses rejets de gaz à effet de serre (GES) réduits de jusqu'à 70%, a indiqué son propriétaire, le groupe Solvang.
Chaque semaine, Jean-Louis Caffier (journaliste spécialiste des questions énergétiques) interroge un membre de notre comité scientifique, avec 3 questions faisant écho à l'actualité.Invité cette semaine : Christian de Perthuis, fondateur de la Chaire Économie du Climat à l'université Paris-Dauphine-PSL.
Les niveaux de dioxyde de carbone (CO2) dans l'atmosphère ont augmenté en 2024 à une vitesse jamais égalée auparavant, dépassant les prévisions du Bureau britannique de météorologique, a indiqué ce dernier vendredi.
Les émissions de CO2 du transport routier mondial pourraient atteindre leur pic en 2025 au lieu de 2050, à la faveur de l'essor des véhicules électriques et des règlementations carbone, indique le rapport d'une ONG allemande publiée mardi. Selon le Conseil international du transport propre (ICCT), les émissions de dioxyde de carbone des véhicules routiers pourraient culminer cette année, autour de 9 gigatonnes.
C’est un mot en 9 lettres qui fend le ciel bleu que la météo hivernale (certes froide) nous offre depuis quelques jours : "exécrable". On ne parle évidemment pas de la lumière, carburant essentiel de nos réserves en vitamine D, mais de ce qui ne se voit pas au premier coup d’œil : la qualité de l’air. Or, elle est "exécrable" donc dans les principales villes du pays.
Dans un rapport publié ce lundi, l'ONG Transport & Environment estime que la trajectoire du monde de l’aviation met en péril les objectifs climatiques que l’UE s’est fixés. Et aimerait des mesures contre le développement des aéroports.
En quelques jours, les grands patrons français ont gagné autant que leurs employés en un an, tout en épuisant leur budget carbone annuel.
Le 31 décembre dernier, le gouvernement a lancé un nouveau dispositif de soutien afin d’accélérer la décarbonation de l’industrie dans le cadre du plan d’investissement « France 2030 »(1). Cette annonce témoigne, malgré l’absence de l’adoption d’un budget pour 2025 à ce jour, de l’attention portée à cette thématique.
Alors que 2024 est officiellement la première année à avoir dépassé les 1,5°C de réchauffement et que l'objectif de se maintenir sous ce seuil de l'Accord de Paris semble de plus en plus inatteignable, certains s'interrogent sur la possibilité de revenir plus tard à des températures plus clémentes à grand recours de géo-ingénierie. Un scénario qui n'empêcherait pas certaines conséquences irréversibles du réchauffement climatique, alertent les spécialistes.
En seulement dix jours, les 1 % les plus riches de la planète ont émis, chacun, plus de 2 tonnes de CO₂. Soit la totalité du budget carbone annuel dont dispose chaque humain si l’on veut contenir le réchauffement climatique.
Les températures records mesurées en 2024 ne s’expliquent que partiellement par les activités humaines émettrices de gaz à effet de serre. Celles-ci surprennent jusqu’aux scientifiques.
La baisse a été de 3 % en 2024, grâce à une forte progression des renouvelables dans la production d’électricité. Le revers est une plus grande variabilité des prix, dans une économie en stagnation.
Les États-Unis, deuxième pollueur mondial, n'ont réduit leurs émissions de gaz à effet de serre que de 0,2% en 2024 par rapport à l'année précédente, bien loin de leurs objectifs climatiques, estime jeudi un rapport indépendant.Après un recul estimé à 3,3% en 2023, la baisse de ces émissions a quasiment stagné, selon une première estimation du centre de recherche américain Rhodium Group. Une projection qui écarte dangereusement les Etats-Unis de leur trajectoire, et ce avant même l'entrée en fonction le 20 janvier de Donald Trump, grand défenseur des énergies fossiles.
La coentreprise Northern Lights, financée par Shell, TotalEnergies et Equinor, a inauguré, en septembre 2024, ses douze réservoirs, à Oygarden, sur la côte sud-ouest du pays. Mais, pour l’heure, les industriels censés procéder au captage du CO₂ ne se pressent pas.
Le gouvernement britannique a prévu d’investir près de 22 milliards de livres dans cette industrie, afin d’atteindre ses objectifs climatiques. Reportage dans l’une des premières unités pilotes du pays, près de Leeds.
Nos usages numériques ne sont pas sans conséquence sur le climat. TikTok, la plateforme de vidéos virale, en est la preuve.
Les émissions de gaz à effet de serre en France sont reparties à la hausse au troisième trimestre 2024 par rapport à 2023. Une tendance inquiétante, qui met en danger l'objectif d'une diminution de 4,7 % par an jusqu'à 2030.