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Le gouvernement a publié ce 16 avril la révision de la stratégie nationale de l'hydrogène décarboné. Partant d'un constat : le déploiement du marché depuis la première stratégie de 2020 a été « moins rapide qu’attendu, en France comme dans les autres pays du monde ».
Paris a accueilli, les 30 et 31 mars, le sommet SOS Océan, qui réunissait décideur·ses politiques, scientifiques et personnalités publiques. Dans un discours prononcé lundi midi, Emmanuel Macron a fixé huit objectifs pour la prochaine Conférence des Nations unies pour l’Océan (Unoc), qui se tiendra en juin à Nice (Alpes-Maritimes).
L’entrée en vigueur de l’accord sur la gouvernance de la haute mer, l’arrêt de la surpêche mondiale et la défense de la science font partie des priorités énoncées, lundi, par le chef de l’Etat.
Les principales compagnies aériennes européennes ont mis en doute jeudi la faisabilité des objectifs d'incorporation de carburants renouvelables dans les réservoirs de leurs avions à l'horizon 2030, estimant que leur production risquait de ne pas être suffisante. L'Union européenne, dans le cadre de ses efforts de décarbonation, impose qu'une partie croissante des carburants d'aviation soit issue de sources non-fossiles ("sustainable aviation fuels", SAF en anglais). Fixée à 2% depuis le début de l'année, cette proportion doit monter à 6% en 2030 et progressivement jusqu'à 70% en 2050.
Dans un contexte de net recul des questions climatiques à l'agenda international, les atermoiements de Bruxelles interpellent: l'UE tarde à lancer la négociation sur son objectif de réduction des émissions de gaz à effet de serre à l'horizon 2040. Depuis l'arrivée au pouvoir de Donald Trump aux Etats-Unis, les dirigeants européens sont, de fait, monopolisés par les questions de défense et de compétitivité.
La Déclaration de politique régionale wallonne (tout comme au niveau fédéral d’ailleurs) l’assure : « Le Gouvernement s’inscrit pleinement dans l’objectif de neutralité carbone en 2050 et un objectif intermédiaire de -55% de gaz à effet de serre d’ici 2030. En collaboration avec l’Autorité fédérale et les autres entités belges, le Gouvernement se donnera les moyens de les atteindre ». De grandes inquiétudes pèsent néanmoins sur l’atteinte de ces objectifs, alors que les rares dates inscrites dans le Plan Air-Climat Énergie (PACE) sont, les unes après les autres, reportées.
À rebours de ses engagements pour décarboner ses activités, la major britannique a décidé d’investir 10 milliards de dollars par an dans les énergies fossiles. Elle provoque la colère des défenseurs de l’environnement. Explications.
Le ministre français chargé de l'Industrie Marc Ferracci a prévenu jeudi dans le journal Les Échos qu'il "n'assumera pas l'objectif" européen "de réduction des émissions de 90% en 2040" si Bruxelles "n'améliore pas la copie" sur l'accompagnement prévu de l'industrie.
Où en est l’effort environnemental des États européens ? Les 27 États membres de l’UE se sont fixés des engagements pour réagir au changement climatique et à ses conséquences, aux problèmes de qualité de l’air qui provoquent des décès précoces, à la chute de la biodiversité.
La Chine a lancé l'an dernier la construction de centrales thermiques au charbon représentant la capacité combinée la plus importante depuis 2015, ce qui jette un doute sur son objectif d'atteindre un pic d'émissions carbone en 2030, selon un rapport publié jeudi.Pékin a commencé la construction d'unités combinant une capacité de 94,5 gigawatts (GW) en 2024, soit 93% du total mondial, indique le Centre de recherche sur l'énergie et l'air pur (Crea), basé en Finlande, et l'organisme américain Global Energy Monitor (GEM) dans un rapport.
Malgré quelques aspects très positifs, l'accord de gouvernement est loin d'être idyllique. Les mesures annoncées sont insuffisantes pour atteindre les objectifs climatiques que la Belgique s'est elle-même fixés.
Près de 200 pays du monde entier avaient jusqu'à lundi pour rendre leur nouvelle feuille de route climatique à l'ONU. Mais la quasi totalité ont raté le rendez-vous, suscitant des craintes d'attentisme des grandes économies dans leur lutte contre le changement climatique après le retour de Donald Trump.Selon une base de données de l'ONU, seuls 10 signataires de l'accord de Paris ont soumis leur stratégie actualisée de réduction des gaz à effet de serre d'ici à 2035 avant la date limite du 10 février.
Une dizaine de pays seulement a respecté la date fixée à lundi par l'ONU pour soumettre leur nouveau plan de lutte contre le réchauffement climatique. Parmi les retardataires, la plupart des grandes économies mondiales, pressées de présenter des stratégies exemplaires après le retrait des Etats-Unis.
Le terme apparaît à plusieurs dizaines de reprises dans le programme du nouveau gouvernement fédéral. A le lire, un nombre incalculable de choses auraient pour vocation à devenir « durables » – de l’emploi en passant par l’économie, la mobilité, la finance, la consommation, les infrastructures, et on en passe. Même l’avenir… Mais au-delà du discours (qui n’est pas propre à cet exécutif), rien de tel qu’une petite confrontation avec les chiffres pour remettre les idées en place.
La fédération des énergies renouvelables, Edora, déplore un plafonnement de la capacité éolienne en Wallonie et plaide pour un coup d'accélérateur, principalement sur l'octroi des permis, pour atteindre les objectifs de déploiement d'éoliennes fixés par la Région et l'UE, rapporte Le Soir.
Le Science based targets network devrait publier d'ici mi-2025 ses premières cibles "fondées sur la science" pour la protection des océans.
Le président américain Joe Biden a présenté jeudi sa feuille de route climatique pour les États-Unis, fixant un nouvel objectif de réduction des émissions de gaz à effet de serre, qui pourrait toutefois être rapidement balayé par son successeur Donald Trump. Le pays, deuxième plus grand pollueur au monde derrière la Chine, prévoit à présent une baisse de ses émissions de l’ordre de 61 à 66% d’ici à 2035 par rapport à 2005, selon ce plan d’action soumis aux Nations unies.
Des scientifiques appellent à exclure l'absorption de CO2 qui se fait par le milieu naturel, notamment grâce aux forêts, dans la comptabilisation par les pays de leurs objectifs climatiques, sans quoi des règles "vagues" risqueraient de voir la planète se réchauffer plus qu'anticipé.
Des scientifiques appellent à exclure l'absorption de CO2 qui se fait par le milieu naturel, notamment grâce aux forêts, dans la comptabilisation par les pays de leurs objectifs climatiques, sans quoi des règles "vagues" risqueraient de voir la planète se réchauffer plus qu'anticipé.
La COP n’atteint plus ses objectifs et un changement est nécessaire, disent les dirigeants du climat
(16/11) - lesactualites,Un groupe d’anciens dirigeants et experts engagés dans des activités d’opposition changement climatique Ce vendredi, ils ont publié une lettre ouverte affirmant que la conférence annuelle de l’ONU : climat Il n’est plus adapté à son objectif et doit être réformé. Le groupe contient des électrons. Le secrétaire général de l’ONU, Ban Ki-moonL’ancienne présidente irlandaise Mary Robinson, l’ancienne chef du climat de l’ONU Christiana Figueres et le célèbre climatologue Johan Rockstrom.