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Donald Trump a estimé dimanche soir, sur son réseau Truth Social, qu'il serait "dans l'intérêt de la liberté nationale et mondiale" que les États-Unis obtiennent le contrôle du Groenland. Lors de son premier mandat l'ancien et futur président états-unien avait déjà laissé entendre qu'il voulait racheter le territoire autonome danois.
Le président russe Vladimir Poutine a reçu dimanche au Kremlin le Premier ministre slovaque Robert Fico, l'un des seuls dirigeants européens à être restés proches de lui, a annoncé la présidence russe, en pleine incertitude sur l'avenir du transit de gaz russe vers l'UE.
La Cour interaméricaine des droits de l'Homme a condamné vendredi la Colombie pour avoir violé les droits du peuple indigène U'wa en autorisant des projets d'extraction de pétrole, de gaz et de minerais sur leur territoire ancestral." La Colombie (est responsable) d'avoir violé les droits de propriété collective, de participation politique, d'accès à l'information, de participation à la vie culturelle, le droit à un environnement sain" et d'autres droits "du peuple autochtone U'wa", a déclaré la CIDH dans son arrêt.
Le Parlement moldave anticipe un arrêt au 1er janvier 2025 des livraisons de gaz russe. Une façon pour le Kremlin de saper la popularité de la présidente Maia Sandu, une pro-européenne qui vient de se faire réélire, pour un second mandat.
Technip Energies a remporté un important contrat auprès du britannique NZT Power Limited en vue de la construction et du captage de CO2 d'une centrale électrique au gaz dans le nord-est de l'Angleterre, a-t-il annoncé mardi.
Outre-Atlantique, si chaque État a sa propre histoire, les modes de production d’électricité ont bien changé en vingt ans. Mais les énergies fossiles dominent encore.
Les soixante-trois projets de terminaux d’exportation de GNL prévus d’ici à 2030 pourraient émettre plus de 10 milliards de tonnes de CO2 à cet horizon, quasiment l’équivalent des émissions annuelles des centrales à charbon, selon l’ONG Reclaim Finance.
La Lituanie a célébré vendredi l'acquisition formelle d'un terminal flottant de gaz naturel liquéfié (GNL), une nouvelle étape sur le parcours de ce pays balte visant à mettre fin à sa dépendance vis-à-vis du gaz russe.Baptisé Independence, le terminal a déjà été exploité pendant dix ans sur la base d'un contrat de location. Il est considéré dans ce pays balte comme une pierre angulaire de sa stratégie de sécurité énergétique.
Le géant pétrolier britannique BP a annoncé jeudi un investissement groupé de sept milliards de dollars pour démultiplier les ressources gazières d'une usine existante dans la province indonésienne de Papouasie, dans l'extrême est du pays."L'investissement devrait permettre de débloquer environ 3.000 milliards de pieds cubes de ressources gazières supplémentaires", a annoncé dans un communiqué BP, opérateur de cette installation de production de gaz naturel liquéfié, Tangguh LNG, au nom d'un consortium dont il détient un peu plus de 40%.
À l’occasion de la COP29, qui se tient actuellement en Azerbaïdjan, France 24 a enquêté sur les fuites de méthane en Roumanie, pays qui abrite les plus grandes réserves de pétrole d’Europe. Le méthane est un puissant gaz à effet de serre, en partie responsable du réchauffement climatique.
Climat : les émissions de CO2 ont atteint un record historique en 2024, en hausse de 0,8 % sur un an
(13/11) - Anaïs MoranLes rejets issus du pétrole, du gaz et du charbon ont continué d’augmenter cette année, même si le rythme de la hausse ralentit, selon le consortium scientifique Global Carbon Project.
Les émissions de CO2 issues des énergies fossiles ont augmenté de 0,8 % par rapport à 2023, estiment les scientifiques du Global Carbon Project dans un rapport. Ce qui augure d'un réchauffement de 2 °C atteint dans 27 ans.
La production d'hydrocarbures du secteur pétrogazier a atteint en 2023 son record absolu et il a investi en moyenne 61,1 milliards de dollars pendant 3 ans dans l'exploration de gisements, selon un rapport de l'ONG Urgewald.Le rapport, publié mardi, est dévoilé au moment où le monde se retrouve à la COP29 de Bakou en Azerbaïdjan (11-22 novembre) avec un enjeu crucial: s'accorder sur un nouvel objectif d'aide financière que les pays développés doivent fournir au monde en développement pour assurer leur transition écologique et s'adapter au changement climatique.
Le président de l'Azerbaïdjan, Ilham Aliev, qui accueille cette année la COP de l'ONU sur le climat à Bakou, a répété et assumé mardi son expression de "cadeau de Dieu" pour désigner les hydrocarbures, qui ont fait la richesse de son pays.
Pollueur-payeur: l'administration du président américain sortant Joe Biden a annoncé mardi la finalisation d'une nouvelle réglementation imposant des amendes aux entreprises pétrolières et gazières qui émettent en quantité excessive du méthane, un très puissant gaz à effet de serre.L'annonce a été faite au lendemain de l'ouverture de la COP29 à Bakou, en Azerbaïdjan.
Le Brésil a augmenté son objectif de réduction des gaz à effet de serre de 59 % à 67 % d'ici à 2035, a annoncé le gouvernement du président de gauche Luiz Inácio Lula da Silva.La nouvelle "contribution déterminée au niveau national" (CDN) du Brésil, basée sur les niveaux de 2005, tente de s'aligner sur les engagements de l'Accord de Paris sur le changement climatique, selon une note officielle publiée vendredi soir.
Le gaz naturel liquéfié (GNL), ressource très disputée dans le monde, est souvent présenté comme une énergie de "transition" pour remplacer le charbon, terriblement polluant. Mais son bilan climatique est alourdi par sa production très gourmande en énergie et les fréquentes fuites de méthane dans l'air.Pourquoi le GNL a-t-il le vent en poupe ?En 2024, la demande mondiale de gaz devrait augmenter de plus de 2,5% à un nouveau record historique, soutenu par les besoins de GNL, selon l'Agence internationale de l'énergie (AIE).
Trajectoire de réchauffement, émissions, concentration de gaz à effet de serre, financements : tous les signaux sont au rouge avant la COP29.
Si le dioxyde de carbone (CO2) est le plus connu des gaz à effet de serre, d'autres moins familiers du grand public jouent un rôle important dans le réchauffement climatique et font l'objet d'une attention croissante des chercheurs et des responsables politiques.Ainsi le méthane (CH4), le protoxyde d'azote (N2O) ou des gaz fluorés participent également au réchauffement mondial.
À quelques jours de l'élection présidentielle, l'EIA américaine (US Energy Information Administration) a annoncé que la production de gaz de schiste(1) des États-Unis avait « légèrement diminué au cours des neuf premiers mois de 2024 par rapport à la même période en 2023 ».
La Commission européenne s'est réjouie jeudi d'une baisse des émissions nettes de gaz à effet de serre de 8,3% en 2023 dans l'UE, par rapport à l'année précédente, grâce au développement des énergies renouvelables.Un niveau d'émissions inférieur de 37% au niveau de 1990"Il s'agit de la plus forte baisse annuelle depuis des décennies, à l'exception de 2020, lorsque le Covid-19 a entraîné une réduction des émissions de 9,8%", souligne Bruxelles dans un communiqué.
Le spécialiste français de l'eau et du traitement des déchets Veolia a inauguré mardi une unité de production de biométhane issu de l'assainissement de l'eau, qui doit permettre d'alimenter en énergie l'équivalent de plus de 10.000 foyers en région parisienne.Fruit d'un investissement d'une vingtaine de millions d'euros du Syndicat interdépartemental pour l'assainissement de l'agglomération parisienne (SIAAP), cette unité de méthanisation fonctionne à partir des boues d'épuration issues de l'assainissement des eaux usées de quelque 2,2 millions de franciliens.
Le développement des concessions pétrolières et gazières dans le "Triangle du corail" de l'océan Pacifique, surnommé "l'Amazonie des mers", multiplie le trafic maritime et fait courir des risques de "marées noires", a dénoncé samedi un collectif d'ONG.Cette espace maritime de 10 millions de kilomètres carrés contient plus de 600 aires marines protégées (AMP), chevauchées sur 16% de leur surface par des blocs pétroliers et gaziers en grande majorité en phase d'exploration, alerte Earth Insight.
Alors que l’Agence internationale de l’énergie s’apprête à publier son rapport annuel, mercredi, les pays producteurs qualifient de « fantasme » ses prévisions qui annoncent une diminution de la consommation de charbon, de pétrole et de gaz d’ici à 2030.
Du bois à la place du charbon ? Malgré les engagements d’Emmanuel Macron, les projets de reconversion par la biomasse pour les centrales électriques semblent mal engagés à Cordemais et Saint-Avold.
Si le dioxyde de carbone (CO2) est le plus connu des gaz à effet de serre, d'autres moins familiers du grand public jouent un rôle important dans le réchauffement climatique et font l'objet d'une attention croissante des chercheurs et des responsables politiques.Ainsi le méthane (CH4), le protoxyde d'azote (N2O) ou des gaz fluorés participent également au réchauffement mondial.
La consommation mondiale de gaz connait une forte hausse en 2024 mais la croissance limitée de l'offre de GNL et les tensions géopolitiques rendent la sécurité d'approvisionnement plus délicate, indique l'Agence internationale de l'énergie (AIE) dans un rapport publié ce 3 octobre(1).
Devant un parterre d'investisseurs à New York, le géant pétrogazier français TotalEnergies a annoncé qu'il comptait encore augmenter sa production de pétrole et de gaz jusqu'en 2030, malgré le consensus scientifique qui presse le monde d'accélérer la sortie des énergies fossiles.Les prévisions de croissance de la production relevéesCette grand-messe était scrutée des deux côtés de l'Atlantique, dans un contexte de baisse du prix des énergies - pétrole, gaz, électricité.
Le géant pétrolier français TotalEnergies va annoncer mardi un contrat d'investissement de dix milliards de dollars pour exploiter du pétrole et du gaz au Suriname, ainsi que signer un plan de développement d'un gisement, ont indiqué lundi à l'AFP des sources proches des négociations.Un investissement prévu en hausseLe contrat concerne le Bloc 58, une zone située à environ 140 kilomètres des côtes du Suriname où Total a fait d'"importantes" découvertes d'hydrocarbures depuis 2020, selon ces sources.
Un groupe de physiciens, de chimistes et de métrologistes(1) du CNRS, de l’Université Claude Bernard Lyon 1, du CEA et de l’ENS de Lyon ont mis au point une nouvelle méthode « à la fois plus rapide et plus économique » pour suivre en temps réel les émissions de gaz radioactifs dans les centrales nucléaires.
Kamala Harris, qui a besoin de remporter la Pennsylvanie, haut lieu d’exploitation du gaz de schiste, ne s’oppose plus au « fracking ». Donald Trump continue de moquer les effets du changement climatique.
Un gazoduc a pris feu lundi dans une zone résidentielle de Houston, au Texas (sud des Etats-Unis), entraînant l'évacuation des habitants de la zone, a-t-on appris auprès des autorités locales.
Chef des opérations d'un producteur de gaz de schiste en Pennsylvanie, Jason John Mounts compte voter à l'élection présidentielle américaine de novembre pour "quiconque rendra notre activité florissante", dans cet Etat clé de l'est des Etats-Unis.
Dans les fermes verdoyantes de Pennsylvanie, les moutons broutent l'herbe parmi les puits de gaz utilisés pour la fracturation hydraulique, une méthode controversée de production, devenue un enjeu de la campagne présidentielle américaine entre Donald Trump et Kamala Harris.Les deux candidats ne ménagent pas leurs efforts pour séduire cet Etat clé de l'est. Mais, à 85 ans, George Wherry, qui dirige la ferme familiale du comté de Washington, a déjà fait son choix: il votera pour le républicain Donald Trump.
Quelque 86 recours ont à ce jour été engagés dans le monde contre les grandes compagnies du pétrole, du gaz et du charbon, accusées de dérégler le climat, et plus du tiers impliquent désormais des demandes d'indemnisation, selon un rapport publié par Oil Change International et Zero Carbon Analytics.
Gaz: la filière prévoit une baisse de 30% de la consommation d'ici 2035 | Connaissances des énergies
(12/09) - Afp,Moins mais mieux: les acteurs français du gaz prévoient une baisse de 30% de la consommation de gaz en France d'ici 2035, avec en parallèle une augmentation significative de la part de gaz renouvelable, selon une étude prospective publiée jeudi.Le but est de limiter les émissions de CO2, conformément au programme européen "Fit for 55", qui vise à réduire les rejets de gaz à effet de serre d'au moins 55% d'ici à 2030 par rapport au niveau de 1990.
Kaboul et Achkhabad ont célébré mercredi en grande pompe l'aboutissement du côté turkmène des travaux du gazoduc TAPI (Turkménistan-Afghanistan-Pakistan-Inde)- et leur lancement en territoire afghan.Plus de 33 milliards de m3 par anCe mégaprojet d'au moins 10 milliards de dollars doit permettre d'acheminer, sur plus de 1 800 km, 33 milliards de mètres cubes de gaz naturel par an, extraits de Galkynysh, dans le sud-est du Turkménistan, l'un des plus grands champs du monde et qui serait le premier en termes de réserves.
Les données d’Eurostat indiquent que l’industrie française a émis 31% de gaz à effet de serre de plus que l’industrie allemande en 2021 (380 g éq. CO2 par euro de valeur ajoutée en 2021 contre 290 g éq. CO2/€ VA outre-Rhin).L'industrie allemande émet proportionnellement moins de gaz à effet de serre que sa concurrente française, mais la France affiche une nette avance en matière d'électrification des procédés, indique jeudi une étude qui jauge les performances environnementales des deux puissances industrielles.
Le président russe Vladimir Poutine a reconnu jeudi que l'annonce de Kiev de ne pas prolonger le contrat avec Gazprom pour livrer du gaz russe aux Européens via l'Ukraine au-delà du 31 décembre entraînera des "pertes" financières pour Moscou.Or les revenus tirés de la vente de ses hydrocarbures sont vitaux pour la Russie afin de poursuivre notamment son offensive en Ukraine, opération militaire qui a entraîné une pluie de sanctions occidentales contre le pays.
Guerre en Ukraine : Kiev veut arrêter complètement le transit du gaz et du pétrole russes - La Libre
(30/08) - Belga,L'Ukraine prévoit d'arrêter complètement le transit de gaz et de pétrole en provenance de Russie à partir du 1er janvier 2025, a indiqué vendredi le conseiller au président ukrainien Volodymyr Zelensky, Mykhaïlo Podoliak, dans une interview avec la chaîne de télévision Novyny.LIVE.