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Sakhaline
19 janvier 2023
Le Japon, qui préside cette année le G7, participe aux sanctions internationales contre Moscou mais reste impliqué dans des projets pétrogaziers russes: une exigence de sécurité énergétique pour Tokyo, posant toutefois des problèmes de "vulnérabilité" et de crédibilité pour certains experts.D'un côté, dans le sillage de l'invasion de l'Ukraine, le Japon a promis l'an dernier de renoncer au charbon russe et de réduire à terme sa dépendance énergétique vis-à-vis de Moscou.
29 août 2022
(29/08/2022) - Philippe Mesmer
Quelque 60 % des 10 millions de tonnes de gaz extraites au large de l’île de l’Extrême-Orient sont achetés par les Japonais, ce qui couvre près de 10 % des besoins nippons.
02 juillet 2022
(01/07/2022) - Le Courrier International
Vladimir Poutine a signé un décret pour former une entreprise russe reprenant les actifs de l’installation située dans l’Extrême-Orient russe, où le britannique Shell et les japonais Mitsui et Mitsubishi sont engagés. Sans compensation.
01 juillet 2022
Le Japon a déclaré vendredi que ses intérêts énergétiques ne devaient pas être "entravés", alors qu'un nouveau décret du Kremlin prévoit le transfert à une société russe des droits d'un projet pétro-gazier dans lequel des sociétés japonaises sont impliquées. Mitsui & Co et Mitsubishi Corp détiennent à eux deux 22,5% des parts du projet Sakhaline-2, situé dans l'Extrême Orient russe, et dont le gaz naturel liquéfié (GNL) est principalement livré au Japon. Peu après le déclenchement de la guerre en Ukraine fin février, le géant britannique des hydrocarbures Shell a décidé de se séparer de ses actifs en Russie, y compris de sa part de 27,5% dans Sakhaline-2. Tout en se joignant aux sanctions occidentales contre Moscou, le Japon avait dit vouloir rester à bord de ce projet stratégique, en tant que pays très dépendant de ses importations d'énergies fossiles. Quelque 8% du GNL importé par le Japon provient de Russie. Le décret signé jeudi par le président russe Vladimir Poutine prévoit le transfert de l'inté