url courte : focusclimat.eu
COPERNICUS – Mises à jour
Pour voir les références d’un(e) auteur(e), cliquez sur son nom. Pour revenir à la page, utilisez le bouton refresh ci-dessous.
Résultats pour:
record
Wildfires that blazed around the world in 2024 helped to drive a record annual leap in carbon dioxide levels in the atmosphere, surprising scientists. The data shows humanity is moving yet deeper into a dangerous world of supercharged extreme weather.
Chaque semaine, Jean-Louis Caffier (journaliste spécialiste des questions énergétiques) interroge un membre de notre comité scientifique, avec 3 questions faisant écho à l'actualité.Invité cette semaine : Christian de Perthuis, fondateur de la Chaire Économie du Climat à l'université Paris-Dauphine-PSL.
Les niveaux de dioxyde de carbone (CO2) dans l'atmosphère ont augmenté en 2024 à une vitesse jamais égalée auparavant, dépassant les prévisions du Bureau britannique de météorologique, a indiqué ce dernier vendredi.
L'électricité d'origine nucléaire va atteindre un niveau record en 2025, représentant un peu moins de 10% de la production mondiale, affirme l'Agence internationale de l'énergie jeudi.Plus de 70 gigawatts de nouvelles capacités nucléaires sont en cours de construction dans le monde, ce qui représente l'un des niveaux les plus élevés des 30 dernières années, indique l'AIE dans un rapport intitulé "La voie vers une nouvelle ère pour l'énergie nucléaire".
Le service Copernicus et les autres centres d'observation de la température mondiale viennent de le confirmer. 2024 est bien l’année la plus chaude jamais enregistrée. Ce qui n’était qu’anticipation est devenu réalité : la hausse de la température mondiale relativement à l’ère préindustrielle a légèrement excédé 1,5 °C en 2024.
2024 est officiellement l’année la plus chaude jamais enregistrée, dépassant en moyenne 1,5 °C au-dessus des niveaux préindustriels, selon les agences de surveillance climatique.
Le principal moteur de la surchauffe réside dans l’accumulation des gaz à effet de serre dans l’atmosphère, essentiellement en raison de la combustion de charbon, de pétrole et de gaz. Elle a entraîné une multiplication des canicules, inondations, sécheresses et incendies.
Chaud must go on. L’année dernière a été la plus chaude jamais enregistrée, et la première à dépasser le seuil symbolique des +1,5°C par rapport au 19ème siècle, révèle l’observatoire européen Copernicus ce vendredi.
Si le thermomètre affiche une hausse de 1,5 °C sur un an, on ne peut affirmer que la cible de l’accord de Paris a été dépassée. Comprendre les causes de ce pic de température reste pourtant précieux.
2024 est officiellement l’année la plus chaude jamais enregistrée, selon Copernicus. Les températures ont franchi le seuil symbolique de 1,5 °C, la limite la plus ambitieuse de l’Accord de Paris.
Les températures records mesurées en 2024 ne s’expliquent que partiellement par les activités humaines émettrices de gaz à effet de serre. Celles-ci surprennent jusqu’aux scientifiques.
2024 restera dans les annales comme la première année à avoir franchi la barre symbolique des 1,5°C, contenue dans l'Accord de Paris.
Contrairement à l’Europe et l’Amérique du Nord, où les ventes de voiture à zéro émission stagnent, Pékin a annoncé ce jeudi des chiffres records. Et anticipe une année 2025 encore plus faste.
Globalement, 2024 devrait être la septième année la plus pluvieuse depuis 1959, selon Météo-France, avec plus de 1 075 mm de précipitations en moyenne sur le pays. La Corse est la seule région à connaître un déficit de pluies sur l’année.
L'année 2024 a été la plus chaude jamais enregistrée en Chine, ont annoncé les autorités, sur fond de phénomènes météorologiques extrêmes qui se multiplient dans le monde avec le changement climatique.
On n'en peut pluie. Sur le point de se terminer, 2024 a été une des dix années les plus pluvieuses en France depuis 1900, selon le bilan de Météo-France. C’est également l’une des cinq plus chaudes en raison du changement climatique.
L'année 2024 a connu environ 41 jours de canicule dangereux pour la santé humaine, rapporte une nouvelle étude.
People around the world suffered an average of 41 extra days of dangerous heat this year because of human-caused climate change. The figure comes from analysis done by researchers at World Weather Attribution and Climate Central. In 2024 climate records were shattered as heat across the globe made it likely to be the hottest year ever measured, with few countries spared fatal weather events.
Sea ice extent for the Arctic overall as of mid-December is at the lowest for this point in the season in the entire satellite era record (since autumn 1978) Whether this is a transient low extent or not, expanded open water now, with the winter solstice upon us, means that there’s less time for ice, once it forms, to thicken up before the spring melt commences in a few months.
Selon le bilan de Météo-France, 2024, marquée par de nombreuses inondations, figurera parmi les dix années les plus pluvieuses et l’une des cinq plus chaudes jamais enregistrées.